Alors là Jean-Francois, la manière dont vous tripatouillez les choses est tout simplement hallucinante...
il n'y a pas si longtemps il prétendait encore que c'était l'objet regardé lui-même qui se trouvait dans le cerveau
....?
Depuis le tout début, j'affirme voir les choses "là où elles sont", ce que vous m'avez refusé pendant des pages et des pages, et maintenant, du haut de votre piédestal vous écrivez ça...? c'est d'une malhonnêteté intellectuelle ébouriffante....!
Parce que si vous le compreniez, vous arrêteriez de répéter qu'on voit "dans le cerveau"
Aaaaaaaaaaaaaaaaaah... vous noterez quand même que depuis le tout début je dis justement l'inverse.. et que vous avez tout fait pour me convaincre que j'avais tort...

Un exemple, de septembre 2003:
Ce n'est pas parce que nous voyons le monde dans le cerveau que le monde est dans notre cerveau. Ce que fait le cerveau, c'est prendre les éléments sensoriels qui lui arrivent et afin d'en sortir une reconstruction du monde qui nous entoure. Et, il a la capacité de placer à l'intérieur de cette reconstruction une représentation de "nous".
Jean-François
hum hum...

Ne reste donc plus qu'un léger détail... on voit où alors...?
Au schéma de l'éclair, vous aviez répondu:
On vous a déjà répondu: notre cerveau nous donne une image mentale de l'éclair, quelques millisecondes après qu'il soit apparu. Toutefois, notre cerveau utilise différents indices visuels pour nous donner une impression de profondeur, ce qui fait que l'image mentale est celle de l'éclair à peu près là où il est tombé.
Donc, le où, ça dépend de quoi vous parlez: l'"image mentale" est nulle part précisément car elle résulte de l'activité du cerveau mais l'"éclair" est perçu comme étant loin.
Quand: quelques dizaines de millisecondes après l'apparition de l'éclair (ne demandez pas de calculs quand vous ne faites aucun effort vous-même)
Comment: parce que la lumière en provenance de l'éclair frappe la rétine et excite les cellules rétiniennes. Ces cellules transforment la lumière en impulsions électriques qui sont transmises à d'autres parties du cerveau. Ces autres parties du cerveau font en sorte que l'on "voit" l'éclair sous forme d'une "image mentale". Le mécanisme exact n'est pas connu, bien que plusieurs des étapes soient bien connues.
Une image mentale...? située "nulle part précisément" quelle précision..! mdr et alors "
ce qui fait que l'image mentale est celle de l'éclair à peu près là où il est tombé." on atteint des sommets non..? non seulement il existe une image mentale de l'éclair, mais elle se situe "à peu près là où il est tombé"... au secours, ya quoi au-dessus d'empereur..? mdr
Ah oui, précision renforcée ici:
C'est plus compliqué: l'"image mentale" est là où est le cerveau mais pas vraiment dans le cerveau
houlala, de mieux en mieux non..?
Allez-vous (enfin) admettre que ce n'est ni l'objet qui va au cerveau ni le cerveau qui va à l'objet?
.....?
Ah mais je n'ai jamais dit ça... et puisque mon éclair ne vous plait pas, reprenons la bougie.
Donc la bougie est un objet, elle émet de la lumière en A, je suis en B avec mon cerveau d'idiot fini... une partie de la lumière émise par la bougie atteint mon système visuel en B, on est d'accord..? et je vois la bougie...? En A, bravo...! Donc, et c'est ce que je dis depuis mon tout premier message, je vois la bougie là où elle se trouve, séparée de moi par une certaine quantité d'espace, et.. à un endroit où je ne possède aucun organe, où, à proprement parler, je n'existe pas...
Ah oui, les rêves... mon cher JF, que viennent-ils faire ici...? serait-ce une manœuvre dilatoire..? depuis toujours je parle de la réalité banale, quotidienne, ce qui m'a valu cette réflexion que j'ai gardé en mémoire: "
Pauvre Zaber qui croit que la réalité existe"...
Alors je vais vous dire ce que je crois: le monde existe sous une forme fondamentale, que j'appelle le monde réel. Nous n'avons accès à ce monde qu'à travers l'interprétation que nous en procurent nos sens , cette interprétation je l'appelle la réalité. Cette réalité est certes subjective, mais c'est tout ce que nous avons pour appréhender le monde à l'échelle personnelle.