Ben il serait intéressant de se rappeler, de citer et d'analyser, quand on balance des pavés du genre : les wokes ont des psychopathologies, les wokes seraient des sado-masochistes etc... Bref, pour Valentin les wokes sont des malades mentaux potentiellement dangereux... Ca se justifie ce genre d'énormité non? Et pas qu'un peu.Dominique18 a écrit : 27 nov. 2021, 15:33 @ Loutre
Pierre Valentin la cite dans son étude éditée par Fondapol. C'est disponible sur le site, volume 1 ou 2, je ne me rappelle plus
Ce que j'y vois ce sont des interprétations libres de Valentin ayant pour base des études de 2008 entre autres... :
Tiens donc. Valentin ferait-il de la récupération? Parlons donc de "culture de la victimisation", si l'on veut être un peu plus sérieux. A rapprocher de la réflexion de Kraepelin "Existe-t-il une culture du viol?". Et ça ne va pas se résoudre en deux phrases ou deux pages...Valentin a écrit : Bradley Campbell et Jason Manning, dans un ouvrage paru en 2018. Le terme « woke » y apparaît peu, car ils lui préfèrent celui de « culture de la victimisation".