richard a écrit : Si bien sûr on peut le dire. Ta manœuvre n'est pas très honnête, amha , car tu oublies de préciser que je ne suis pas d'accord avec le préambule: "Soit l'espace temps physique, et deux référentiels, l'un R lié à la terre, l'autre R' lié au train.". Avec celui-ci tu te places après la théorie einsteinienne —il devient alors difficile de sortir de ce cadre—
Non. Tu confonds encore formalisme et théorie. Et question malhonnêteté, tu repasseras.
richard a écrit :tandis que si l'on se place dans les prémices de la théorie, je suis d'accord pour parler de référentiel lié à la Terre (donc de l'espace euclidien lié à la Terre).
donc tu es d'accord avec ma proposition 1 ou pas ?
richard a écrit : Mais ce n'est pas parce que un phénomène physique a lieu dans l'espace et dans le temps, que l'Univers (physique) est un espace à quatre dimensions, trois d'espace physique et une de temps.
Si.
richard a écrit :bonjour tout le monde! salut Cogite! Voilà ma proposition;
Soit deux espaces physiques servant de référentiels, l'un E lié à la terre, l'autre E1 lié au train.
Non.
Il n'existe qu'un seul espace physique. La gomme de Denis n'est présente que dans un seul espace physique. Elle ne disparait pas d'un espace physique pour apparaître dans un autre quand on change de référentiel. Ta confusion sur le sujet est abyssale.
richard a écrit :1 : La position d'un point matériel (donc physique) est repéré dans E par trois coordonnées d'espace xk et sa vitesse par trois coordonnées de vitesse vk ; k ε K = {1,2,3}.
Remplace "Dans E" par "dans un référentiel E", ajoute "
à un instant t" donné, et ça ira.
richard a écrit :2 : La position d'un point matériel (donc physique) est repéré dans E1 par trois coordonnées d'espace x1k et sa vitesse par trois coordonnées de vitesse v1k.
Pareil
richard a écrit :3 : L'ensemble des points de E (resp. E1) constitue un espace isomorphe à \(\mathbb{R^3}\).
Oui,
à la confusion référentiel - espace prêt.
Une formulation correcte serait : l'ensemble des coordonnées possible dans le référentiel E, permettant de repérer toutes les positions de l'espace physique, constitue un espace mathématique isomorphe
à \(\mathbb{R^3}\).
richard a écrit :4 : L'ensemble des vitesses possibles dans E (resp. E1) constitue un espace F (resp. F1) isomorphe à \(\mathbb{R^3}\).
Oui,
à la confusion référentiel - espace prêt.
Une formulation correcte serait : l'ensemble des vecteurs vitesse possible dans le référentiel E, permettant de décrire toutes les vitesses de l'espace physique, constitue un espace mathématique
F isomorphe
à \(\mathbb{R^3}\).
richard a écrit :5 : L'espace E (resp. E1) multiplié par l'espace F (resp. F1) constitue un espace G (resp. G1) isomorphe à \(\mathbb{R^6}\) et donc à \(\mathbb{C^3}\).
Oui
richard a écrit :
6 : Les transformations de Lorentz, comme celles de Galilée, sont un isomorphisme de E dans E1.
Formellement, non.
Pour les échantillons statistiques, comme dans d'autres domaines, il n'y a pas que la taille qui compte.
Raisonner a l'instinct sur des problemes de probabilites, c'est le desastre assuré. (Spin Up)
Une graphe sans échelle, c'est bon pour la poubelle