Peut-être "La physique selon Étienne Klein"?...J’ai ressenti le besoin d’approfondir ce sujet, d’une manière plus théorique. J’ai trouvé ces deux livres, si vous en avez d’autres à me conseiller n’hésitez pas....
Alain Riazuelo "Pourquoi E=MC2?".
Peut-être "La physique selon Étienne Klein"?...J’ai ressenti le besoin d’approfondir ce sujet, d’une manière plus théorique. J’ai trouvé ces deux livres, si vous en avez d’autres à me conseiller n’hésitez pas....
Permets-moi de t'aider, ça t'évitera de t'égarer plus avant : non, aucune validité.richard a écrit : 11 sept. 2022, 20:52 Plus exactement je voudrais vérifier si ce que à quoi j’arrive, à savoir une représentation de la réalité empirique et une autre du réel physique et la liaison entre ces deux représentation, a quelque validité.
Je suis sûr que tu dis ça pour me faire de la peine. Ce n’est pas gentil.thewild a écrit : 11 sept. 2022, 21:53 Permets-moi de t'aider, ça t'évitera de t'égarer plus avant : non, aucune validité.
Oh! mais toi, tu peux en parler, moi ce que j’en ai dit c’était juste comment j’obtenais la célèbre formule qui s’écrit plus exactement E = m c2/K, K étant le coefficient de Lorentz défini ci-dessus. Il fallait bien que je dise pourquoi j’en avais rien à faire de Riazuelo.thewild a écrit : 11 sept. 2022, 21:53La suite du message concerne le sujet tabou, je ne reprends donc pas.
"Ceux qui ne savent pas qu'ils marchent dans l'obscurité ne verront jamais la lumière."richard a écrit : 12 sept. 2022, 09:37 ...c’était juste comment j’obtenais la célèbre formule qui s’écrit plus exactement E = m c2/K, K étant le coefficient de Lorentz défini ci-dessus. Il fallait bien que je dise pourquoi j’en avais rien à faire de Riazuelo.
En effet la formule est E= m c2/K, et non pas = m c2 où la masse augmente avec la vitesse — comme le croyais Einstein — alors qu’elle diminue (aux yeux d’un observateur) en fonction de celle-ci.
L'Incroyable a écrit :— comme le croyais Einstein —
Je préfère «réalité perceptible» mais je vais peut-être utiliser le vocable réalité empirique pour me conformer à l’usage.réalité empirique : ce qui existe pour nous grâce à nos sens et notre expérience. C’est la réalité matérielle.
Je t'ai déjà précisé ce que j'en pensais.richard a écrit : 15 sept. 2022, 12:09 Salut Dominique ! Je vois que tu commences à t’intéresser à l’éthologie, discipline qui doit être passionnante. Moi, j’ai plutôt envie de m’intéresser à la philosophie et en particulier à la métaphysique. Je songe même à reprendre l’atelier philo que j’ai abandonné il y a quelques années.
On retiendra particulièrement le point 5. Rappel: un cerveau, ça ne sert pas à réfléchir mais à agir.métaphysique (défintion du Larousse).
nom féminin
(latin metaphysica, du grec meta ta phusika, après le traité de physique)
1. Science de l'être en tant qu'être, recherche et étude des premiers principes et des causes premières, connaissance rationnelle des réalités transcendantes et des choses en elles-mêmes.
2. Conception propre à un philosophe dans ces domaines : La métaphysique de Descartes.
3. Ensemble des connaissances tirées de la raison seule, indépendamment de l'expérience, chez Kant.
4. Interrogation sur la conduite humaine en général, dans l'existentialisme.
5. Spéculations intellectuelles sur des choses abstraites qui n'aboutissent pas à une solution des problèmes réels : Faire de la métaphysique au lieu d'agir.
https://dicophilo.fr/definition/metaphysique/On note que si la métaphysique conserve un lien profond et étroit à la philosophie, celui à la science est aujourd’hui plus faible. La métaphysique est alimentée par la science, mais l’impact de la métaphysique contemporaine sur la science est moins visible.
Ce qui démolit un peu plus au passage la mouvance créationniste avec ces histoires de grand horloger suprême (cf. "Dieu, la science, les preuves").Le vivant est caractérisé par un matériel génétique. De génération en génération se transmettent des molécules d'acides nucléiques (ADN et ARN) qui permettent l'édification puis le fonctionnement de l'organisme. On a coutume de parler d'un programme génétique : le génome renfermerait le plan de fabrication de la matière vivante. Mais, comme souvent en science, le langage plaque sur les phénomènes des connotations débordant d'implicites qui ne viennent que de nous et qui obstruent notre jugement et même notre questionnement.
Il faut certainement en finir avec le "programme génétique" et nous allons voir pourquoi avec le généticien Thomas HEAMS.
Tu parles toujours de curiosité et tu as dû pas mal cogité vu ta culture en philosophie. Je ne sais plus dans quelle discussion tu citais trois, quatre philosophes et tu disais grosso-modo « ce que je dis est évident, cela découle de leur pensée ». La loutre te reprochait justement de ne pas argumenter, pour toi ce n’était pas la peine puisque ces philosophes l’avaient déjà démontré. Je trouvais d’ailleurs ça dommage que vous vous bagarriez car je vous appréciais tous les deux. Content que vous soyez réconciliés, un peu moins que ça soit sur mon dos, mais pas grave!Dominique18 a écrit : 15 sept. 2022, 15:14 Rappel: un cerveau, ça ne sert pas à réfléchir mais à agir.
Dans Hôtes de passage, Malraux a écrit :La phrase de Marx que tout le monde cite «il ne s’agit pas seulement de comprendre le Monde, il s’agit aussi de le changer» commence sérieusement à me casser les pieds. Dis donc, si on cessait un peu de changer le Monde pour essayer de le comprendre purement et simplement?
Précisions : les faits existent et uniquement les faits, jusqu'à preuve du contraire, que ce soit pour le 11 septembre, la psychanalyse ou quoi que ce soit...richard a écrit : 15 sept. 2022, 20:03 Désolé Dominique mais nous n’avons pas la même opinion sur ces sujets. Tu es sûr d’avoir raison, moi aussi. Nous ne changerons ni l’un ni l’autre. Comme dans tes discussions avec Loutre tu es persuadé d’avoir raison et tu veux me convertir par la raison. Alors tu t’agaces parce que tu n’y arrives pas.
La psychanalyse n’est pas la panacée mais je me refuse de jeter le bébé avec l’eau du bain.
Pour les attentats du 11 Septembre et l’astrophysique nous ne sommes pas dans le même paradigme. Nous ne pouvons donc pas échanger.
Je ne voulais plus intervenir mais bon, tu me cites et j'ai envie de répondre (probablement une dernière fois...)richard a écrit : Comme dans tes discussions avec Loutre tu es persuadé d’avoir raison et tu veux me convertir par la raison. [...] Nous ne pouvons donc pas échanger.
Euh, ce n'est pas Dominique18, mais Richard qui a suivi tout ça. Tu t'es trompée dans la citation. On attend les effets de la sophrologie.LoutredeMer a écrit : 15 sept. 2022, 21:30Tu nous dis que tu as vécu trois analyses, dont une transactionnelle et deux psychanalytiques? Enfin on ne sait pas. On nage. Donc on n'arrive nulle part. Et à chaque fois, tu redémarres la discussion au début et ensuite tu fais du remplissage.Dominique18 a écrit : 15 sept. 2022, 20:07 Comme dans tes discussions avec Loutre tu es persuadé d’avoir raison et tu veux me convertir par la raison. [...] Nous ne pouvons donc pas échanger.
PhD Smith a écrit : 15 sept. 2022, 21:48 Euh, ce n'est pas Dominique18, mais Richard qui a suivi tout ça. Tu t'es trompée dans la citation. On attend les effets de la sophrologie.![]()
Désolé !LoutredeMer a écrit : 15 sept. 2022, 21:30 On nage. Donc on n'arrive nulle part. Et à chaque fois, tu redémarres la discussion au début et ensuite tu fais du remplissage.
Il y a aussi que tous ces blablas font complètement disparaitre les éléments interessants des discussions (les tiens et ceux des autres), à nos yeux et ceux des lecteurs (alors en plus, sans Recherche fonctionnelle ici...). On se perd dans des pages et des pages de querelles, de redits, de platitudes, où les interventions intéressantes seront noyées pour toujours et pour tout le monde.
Pas de souci
Je ne sais plus qui avait dit que sa philosophie est l’idéalisme alors que d’après moi c’est le réalisme.Au vu de la physique contemporaine je dis que s'il nous faut, à toute force, une explication nous avons à la chercher dans ce qui est plus élevé que nous-mêmes, et qui nous est, par conséquent, mystérieux. C'est le Réel, l'Être, le Divin. C'est de ce côté là que l'on peut espérer discerner le sens.
Comme quoi nombre de mes contradicteurs disent des céohaineries depuis longtemps.il se distingue par ses travaux sur les enjeux philosophiques de la mécanique quantique et, en particulier, par sa conception du « réel voilé », qui constitue une approche originale du Réalisme en physique.
C'est bien pour cela qu'il semble s'être un peu égaré du côté de l'UIP de Jean Staune....Au vu de la physique contemporaine je dis que s'il nous faut, à toute force, une explication nous avons à la chercher dans ce qui est plus élevé que nous-mêmes, et qui nous est, par conséquent, mystérieux. C'est le Réel, l'Être, le Divin. C'est de ce côté là que l'on peut espérer discerner le sens...
Tes contradicteurs ne racontent pas forcément des âneries comme tu le crois. Ils critiquent le contexte que tu proposes, en faisant intervenir un d'Espagnat (cf. les remarques d'ABC) à tes fins métaphysiques....On ne saurait tout de même passer sous silence que la fondation Templeton sent le soufre pour certains. En effet, si Sir John Templeton était un philanthrope respecté et richissime, c'était aussi un esprit profondément religieux et sa fondation se propose explicitement de favoriser un dialogue et une réconciliation entre science et spiritualité. Elle le fait pour le moment sans prosélytisme ni dogmatisme et c'est pourquoi une bonne partie de la communauté scientifique, notamment celle ouverte aux questions philosophiques, continue à collaborer avec la fondation, notamment lors de colloques qu'elle organise et finance. Mais les scientifiques restent vigilants...
https://www.mondedesgrandesecoles.fr/be ... aphysique/La physique quantique semble par là emmener le débat sur le terrain métaphysique. Bat-elle en brèche le matérialisme? Les travaux de Pauli ont ainsi été rapprochés de la spiritualité orientale, ce qu’on l’a pu résumer par l’expression de « Tao de la physique »…
Dans ce domaine soyons prudents. Telle qu’elle se présente aujourd’hui il me paraît clair que la physique ne débouche de façon certaine sur aucune métaphysique particulière. Toutefois elle nous apprend quand même beaucoup, car si elle ne peut pas dire ce que le « fond des choses » vraiment est, en revanche elle n’est pas muette sur ce qu’il n’est pas. Et en particulier elle élimine un certain matérialisme scientifique que, du temps de la physique dite « classique » elle paraissait favoriser et qui reste encore très vivace. Malheureusement les philosophes qui jugent utile de prendre en considération l’évolution des idées en science ne sont pas chez nous très nombreux. C’est pourquoi, par exemple, tel ou tel d’entre eux (je ne le cite pas nommément car il s’exprime manifestement en toute bonne foi sur la base de ses connaissances) a-t-il pu suggérer que ce fond des choses (qu’il appelle « matière ») est de nature physique c’est à dire (selon lui) « comparable, mais bien sûr pas identique, à l’expérience que nous avons, au niveau macroscopique, des corps ou des forces que nous appelons matérielles ». Or s’il est une chose que la physique actuelle pense pouvoir affirmer avec assurance c’est bien, tout au contraire, que si ce fond des choses existe il n’est en rien comparable à notre expérience au niveau macroscopique ! De sorte qu’aux yeux des physiciens la notion même de matière est en train de devenir au moins aussi nébuleuse que ne l’est, à ceux de certains neurologues, celle d’esprit. Cela est important car aussi longtemps que le matérialisme a paru conciliable sans heurts avec l’expérience il était normal, pour un esprit rationnel, d’y voir une élucidation simple et crédible du fond des choses, reléguant dans la catégorie des tentatives dépassées les constructions fragiles des religions et des philosophies. Ce qui fait que sa chute rouvre la possibilité d’accorder du crédit à ces dernières. Mais attention ! J’estime qu’en la matière la science fournit quand même une sorte de démarcation (vague mais précieuse) entre ce qu’on peut croire (comme l’on croit à la parole d’un ami, c’est à dire par opposition à « savoir prouver ») et ce qu’on ne peut pas, sérieusement, croire (démarcation qui, au reste, est totalement différente de celle que le sens commun et la vie courante peuvent suggérer).
Ce que vous disiez tout à l’heure quant aux difficultés auxquelles se heurte le réalisme en physique pose la question de l’accès à la vérité : la science est-elle la voie la plus efficace?
L’art et la poésie ne peuvent-ils constituer des moyens privilégiés, en ce qu’ils permettent de donner à ressentir la part invisible, non-réductible aux calculs mathématiques? Dali parlait d’une dimension quantique de sa peinture, Proust – influencé par Bergson – a réussi à traduire une perception unique du temps… La question se pose autant du point de vue de l’investigation que de la restitution de la Vérité.
Sur le cas de Dali je ne me prononcerai pas ! Mais, cela dit, si vraiment la science ne peut plus soutenir que le fond des choses est rationnellement accessible et qu’elle seule est qualifiée pour, quelque jour, y accéder, alors, oui, il devient non absurde de conjecturer que concernant l’art et la poésie ce que vous venez de dire est vrai. Que n’est pas illusoire la conviction intime, éprouvée par nous quelquefois, que les émotions suscitées par la très belle musique ou certains poèmes majeurs, ou même par une simple sensation comme dans les situations décrites par Proust, ouvrent comme une fenêtre vers une sorte de saisie du vrai. Et, pour répondre – enfin! – à votre question du début, ceci vous explique peut-être pourquoi par exemple, bien que physicien, je ne peux récuser comme illégitimes les intuitions bergsoniennes concernant le temps ressenti.
Utilisateurs parcourant ce forum : Aucun utilisateur inscrit