Dominique18 a écrit : 01 nov. 2025, 09:06
À travers ces rumeurs ineptes (Kate Middleton, Michelle Obama, Brigitte Macron,...)
Sauf qu'il y en a une qui ne se défend pas mais attaque furieusement...
Dominique18 a écrit :La différence entre la critique et la haine repose sur la charge émotionnelle qui conduit à des comportements exacerbée, voire incontrôlables.
Menaces non dissimulées, appels au meurtre,... sont couramment répandues sur les réseaux sociaux (Rey, Roy, Sagan, Owen, Poussard... dans leurs œuvres multiples, documentées).
Poussard, pour ne citer que lui, aurait lancé des appels au meurtre et ce ne serait pas poursuivi ??
Dominique18 a écrit :Le visionnage de la vidéo remet les éléments en perspective en dressant un cadre avec des rappels historiques et sociologiques.
Les accusés sont avant-tout des harceleurs.
Des harceleurs qui ne se sont jamais adressés directement à leur victime ? Le concept est nouveau, et inquiétant. Big Brother n'est plus très loin surtout quand on voit comment les médias dominants (et discrédités) reprennent docilement le discours et les éléments de langage du pouvoir. Ils ne demandent même pas en quoi cette rumeur serait "transphobe", il ne parlent pas, autant que je sache, de la plainte d'Alexandra Brazzainville, vraie trans (elle était hermaphrodite au départ) qui attaque Brigitte Macron en justice pour transphobie (il y a une logique : s'il est si infamant et diffamatoire que ça d'être qualifié de trans, les trans déclaré(e)s peuvent se sentir visé(e)s).
A part ça, tant qu'à faire de la psychopathologie : "
L’analyse que j’ai faite sur Emmanuel Macron provient à la fois des images que j’ai en ma possession et de la biographie dont le candidat se revendique. Le jeune Emmanuel Macron à l’âge de 15 ans a subi une grave agression sexuelle via sa professeure qui à l’époque avait 39 ans. Au lieu de la vision à l’eau de rose de cette union que l’on pourrait définir comme un mariage réparateur (pour réparer le viol), j’y vois plutôt le fait que s’est bloqué prématurément le développement d’Emmanuel Macron en pleine adolescence à cause d’une opération de séduction à la fois psychique et physique. Ce qui s’est passé, c’est à la fois dépasser un tabou et dépasser une limite. La limite même que prescrit le tabou. Donc le premier passage a été la conviction que tout était permis. (...) Une fois les limites du tabou dépassées, il s’est passé que l’idée d’omnipotence propre à chaque enfant a été ultérieurement encouragée. Jusqu’à dépasser un propre chevauchement de la réalité qui, renforcé par des avantages intellectuels, lui font extrapoler ses propres limites personnelles. Le paradoxe veut qu’il semble pathologiquement normal mais nous sommes en plein narcissisme. Macron depuis sa jeunesse nourrit une ambition hors norme. Il a besoin du regard et de l’admiration des autres pour se compenser un complexe d’infériorité. Donc nous sommes confrontés à 3 paradigmes qui définissent un certain type de personnalité :
- L’idée qu’il n’existe pas de limite.
- Un sentiment d’omnipotence dès l’enfance mais encore plus présente à l’âge adulte.
- Un narcissisme qu’il n’est pas interdit de définir comme malveillant.
Qu’est-ce que structurent ces 3 paradigmes ? Ça structure ce qu’on appelle une psychopathie car nous sommes confrontés à un individu, Emmanuel Macron, qui comme organisation psychique est parfaitement définissable comme psychopathe..." (Adriano Segatori, dès l'élection de Macron en 2017, qui l'a toujours réitéré depuis et n'est pas attaqué en justice... enfin, il y aurait eu des velléités).
Faut-il rappeler comment il parlait des gilets jaunes ou des réfractaires au vaccin qu'il avait "
envie de faire chier" ? De Gaulle, Pompidou, Giscard, Mitterrand, Chirac, Sarkozy, Hollande, n'étaient pas toujours tendres pour parler de leurs contestataires et gêneurs, on peut leur reprocher beaucoup de choses par ailleurs, mais jamais ils n'ont rien dit d'équivalent que je sache.
Enfin, pour ce qui est de la haine, regarde-toi...
Demander du paranormal ou psi répétable, conforme aux critères scientifiques les plus courants, c'est demander les villes à la campagne.