Psyricien a écrit :(1)-->Souscris-tu aux définitions suivantes (valable en RR) de vitesse et célérité (jusque là tu prétendais qui OUI) ?
kiwi?!
Je vais me placer dans le cadre de la RR
vitesse :
\(v = \frac{dx_1}{dt_1}\)
normalement on l'appelle vélocité mais bon! va pour vitesse!
célérité :
\(u = \frac{dx_1}{dt_2}\)
Tu disais, je te cite de mémoire, que la vitesse
et la célérité se mesure de la même manière chez toi qu'en RR ... à toi de voir si tu est consistant avec tes déclarations !
Bon, on sait déjà que non, puisque certaines sont contradictoires

.
(2)-->Soutiens-tu ton hypothèse \(dt_1 = dt_2\) (que tu soutenais jusque là) ?
1°) ce n'était pas une hypothèse mais une conclusion.
Non, il n'y a aucune démonstration dans ton "manuscrit" ... tu le suppose !
2°) Faudrait voir à ne pas tout mélanger: soit on se place dans le cadre de la RR soit dans celui de ma —géniale— thèse.
Qui mélange quoi ? C'est toi qui dit que:
-->Tu mesure la vitesse
et la célérité comme en RR !
-->Que ton facteur K est posé comme par magie, à partir un résultats issue de la RR ...
Bon, tu aura réussit à répondre à 2 questions sur 7 ... de nouveau on vois que tu ne veut pas faire face à tes incohérences ! On n'y peut rien, on ne transforme pas un fuyard en interlocuteur honnête

.
Bon! on va faire encore plus simple, si tu veux. On se place dans le cadre de la RR et on prend une longueur étalon Lo, le mètre par exemple, ou la coudée royale si tu veux, mesurée dans un référentiel R, la Terre, par exemple.
Si tu veut ...
Dans un autre référentiel R' cette longueur étalon mesurée par un observateur situé dans ce référentiel est désignée par L'o; cette même longueur étalon mesurée par un observateur de R est une longueur L.
De même la longueur étalon Lo mesurée par un observateur de R' est une longueur L'.
Idem, L'o = L', les deux objet on la même définition ...
Il faudrait que tu exprimes les différentes relations entre ces quatre grandeurs (du point de vue de la RR). On a donc quatre longueurs, deux longueurs propres Lo, L'o et deux longueurs impropres, L et L'.
Résumons ton problème de façon intelligible:
Soit L
o une longueur de R, qui vaut L' vu depuis R'.
Soit L'
o une longueur de R', qui vaut L vu depuis R.
idem avec
Soit t
o un temps de R, qui vaut t' vu depuis R'.
Soit t'
o un temps de R', qui vaut t vu depuis R.
C'est t-y pas plus simple dit comme ça ? Ah bah si !
Allons y expliquons, voici les transfo de Lorentz à utiliser:
En fait on va démontrer que si l'on pose L'
o = L', alors naturellement via les TL, L
o = L
Tout d'abords calculons L', qui est la mesure de L
o dans R':
\(c \Delta t' = \gamma(c\Delta t_o - \beta \Delta L_o)\)
\(\Delta L' = \gamma(\Delta L_o - \beta c \Delta t_o)\)
avec
\(\gamma = \left( 1 - \beta^2\right)^{-1/2}\)
\(\beta = \frac{v}{c}\)
notons
\(v\) la vitesse de R' par rapport à R, soit
\(-v\) la vitesse de R par rapport à R'.
Remarquons que
\(\gamma\), est invariant par changement du signe de la vitesse, hors
\(\beta\) ne l'es pas.
Par la suite
\(\beta\) est défini via la vitesse de R' par rapport à R.
On pose donc L'
o = L',
et l'on va de donc de R' vers R
et l'on calcul donc L ... si tout se passe bien, on doit retrouver L
o, établissant la relation L
o = L.
on dérive donc (en pensant que la déplacement de R par rapport R' est dans le sens inverse du déplacement de R' par rapport à R ... juste un petit signe "-" qui se promène, mais tellement important ...

):
\(c \Delta t = \gamma (c\Delta t'_o %2b \beta \Delta L'_o) = \gamma (c\Delta t' %2b \beta \Delta L')\)
\(\Delta L = \gamma (\Delta L'_o %2b \beta c \Delta t'_o) = \gamma (\Delta L' %2b \beta c \Delta t')\)
réinjectons les équations précédente allant de R vers R' dans les équation ci-dessus allant de R' vers R, afin d'obtenir L en fonction de L
o:
\(c \Delta t = \gamma \left[ \gamma (c\Delta t_o - \beta \Delta L_o) %2b \beta \gamma (\Delta L_o - \beta c \Delta t_o) \right]\)
\(\Delta L = \gamma \left[\gamma (\Delta L_o - \beta c \Delta t_o) %2b \beta \gamma (c\Delta t_o - \beta \Delta L_o) \right]\)
ce que l'on peut réécrire:
\(c \Delta t = \gamma^2 \left[ 1 - \beta^2 \right] c\Delta t_o = c\Delta t_o\)
\(\Delta L = \gamma^2 \left[ 1 - \beta^2 \right] \Delta L_o = \Delta L_o\)
On vient donc d'établir les relation liant les 4 quantité proposé, on a aussi démontré que les TL de R vers R' puis de R' vers R était consistantes.
Ces prédictions ont été maintes fois confronté aux observations
et sont en parfait accord avec ces dernière.
Ensuite on peut faire pareil avec les temps: on appellera temps propre étalon dans R (respec. R') \(\tau\) (respec. \(\tau'\)) le temps mis par une onde lumineuse pour parcourir la longueur étalon Lo (respec. L'o) dans le repère R (respec. R'). De même que pour les longueurs on se retrouve avec quatre temps, deux temps propres \(\tau\), \(\tau'\), et deux temps impropres, t, t'. Le jeu consiste à relier toutes ces valeurs (on pourra introduire la célérité de la lumière).
Voir démo au dessus, marche aussi pour la variable temporel, d'ailleurs je l'ai fait en parallèle ... ma bonté me perdra !
En tout cas merci, j'aurais encore bien rit ... il était évident que tu croyais que la TL de R vers R' n'était pas l'inverse de la TL de R' vers R ... pourtant c'est encore plus évidant en notation matricielle,
et complètement obvious en notation matricielle diagonalisé !
Mais bon, inverser une matrice ne semble pas à ta porté ... même quand elle est diagonale ...
J'ai été gentil, je t'ai fait la démo, comme on la fait aux enfants de Lycée, en prenant les variables qu'ils ont l'habitude de manipuler ... histoire de ne pas te perdre.
On démontre donc que contrairement à tes assertions la RR est consistante
et ne produit pas d'incohérences ... contrairement à ta théorie, qui au choix:
-->Suppose les résultats de la RR
et donc ne démontre rien
et est en désaccord avec les postulats de base
\(dt_1 = dt_2\) implique
\(v=u\), par définitions (étant donnée que pour toi célérité
et vitesse se mesure de façon identique dans ta théorie
et en RR). Tu confond allègrement "velocity"
et "celerity" soit dit en passant.
-->Si tu suit tes hypothèses alors
\(v=u\),
et tu est incohérent avec ton expression de de l'énergie qui implique qu'un électron ne peut pas dépasser 713 keV ... alors que l'on sait les accélérer à plusieurs GeV. Qui plus est tes hypothèses sont invalidé par les expériences (y compris des expériences veilles de plus d'un siècle).
Pauvre Richou ... il croit révolutionner la science en nous amenant des concept connus comme érroné depuis 100 ans

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Sur ce, comme tu remarquera j'ai répondu à tes questions ... maintenant osera tu finir mon questionnaire (les question 3 à 7, celles qui font mal, où continuera tu de fuir ?)
G>, qui se délecte en cette fin de journée ensoleillé.