Dominique18 a écrit : 16 mai 2024, 21:52
Pourquoi Mercator, précisément ? Quel fut son rôle ?
J’ai longtemps cherché une représentation graphique de la RR, j’ai fait des dizaines et des dizaines de dessins, et puis je suis arrivé à quelque chose de très simple, un point mobile M’
p est situé sur un cercle de rayon c, la célérité de la lumière, qui devient une grandeur complexe, ce point est défini par ses coordonnées polaires M’
p = (c, β), soit z = c e
iβ
avec sin β = v
p/c, v
p étant la vitesse perceptible, mesurable.
Mais je cherchais toujours je ne sais quoi en remplissant des pages et des pages d’équations, et puis un jour, en sortant de mon bain, j’ai vu flotter devant moi une sphère en acier poli. J’ai suivi cette intuition, j’avais déjà le cercle des latitudes qui concerne la relativité, j’ai donc cherché à quoi pouvait correspondre les longitudes, j’ai cherché des jours et des jours, des semaines et peut-être des mois. Très simple aussi, c’est relatif à la distance, la difficulté venait que j’avais des vitesses en latitude et que ce sont des distances en longitude, alors finalement je suis passé aux longueurs pour toute la sphère, elle est maintenant de rayon de longueur R et non plus de célérité c. Chaque observateur a sa propre sphère, je les avais appelé espaces visibles, j’ai choisi ensuite le terme d’espaces perceptibles car ils sont relatifs à tout le spectre électromagnétique. J’obtenais donc des longueurs apparentes comparables aux longueurs impropres de la RR. Pour passer aux longueurs propres j’ai fouillé dans mon cours de maths de deuxième année d’école d’ingénieurs où il est question de transformations en particulier de la projection de Mercator. Alors je me suis retrouvé avec un espace où les longueurs propres sont invariantes, je l’ai appelé espace tangible au départ, parce que les points sont perçus par contact, ensuite espace général car il décrit tout l’univers et enfin espace réel car il concerne le réel.
Voilà comment j’ai élaboré élaboré mon truc, j’ai beaucoup cherché avec les maths, j’ai trouvé avec des intuitions qui ont été confirmées par les maths et enfin confortées par une réflexion métaphysique. C’est fait de bric de et de broc, mais j’en ai fait quelque chose de présentable d’une quarantaine de pages que j’ai soumis à quelques autorités scientifiques pour savoir s’il n’y avait pas d’erreurs.
"En essayant continuellement, on finit par réussir. Donc : plus ça rate, plus on a de chances que ça marche. »
Effectivement des milliers de pages pleines d’erreurs ou de trucs inutiles, pour quarante pages qui fonctionnent.
Les "scientistes" n'aiment pas les sciences humaines ? Ah bon ?...
Au contraire, j’ai dit que les scientistes ne juraient que par la science, les sciences dures pour la réalité physique (la matière) et les sciences humaines pour la réalité psychique (l’immatériel).