La défense des pitbulls, une cabale de propagande et d’intimidation
Publié : 27 déc. 2017, 17:48
« Racisme » est un terme de propagande conçu et utilisé dans les années trente par la gauche internationaliste (marxiste) dans le but de stigmatiser toute affirmation raciale de la part des Blancs et toute critique de l'immigrationnisme et du multiculturalisme.
Or, ce terme empoisonné est couramment instrumentalisé par les porte-parole de l'industrie des animaux de compagnie comme la chroniqueuse vétérinaire de Salut Bonjour, Claudia Gilbert, pour stigmatiser toute critique des pitbulls et faire fléchir les autorités dans le sens voulu. Et ça marche. Plusieurs maires du Québec se sentant coupables sont en effet revenus sur l'interdiction des pitbulls suite à des accusations de ce genre.
D'autres termes stigmatisants visant à réprimer toute critique sont couramment déblatérés par les propitbulls et les défenseurs des animaux et de l’industrie : « le pitbull est le juif du monde canin », « gazé », « chambre à gaz », « déporté », « génocide », « les pitbulls sont les Noirs de la société et les anti-pitbulls des KKK », « minorité visible », « discrimination d'une race », « le profilage racial des chiens sanctionne le profilage racial des êtres humains ».
Avec des expressions et des termes de ce genre, les agents de désinformation et d'intimidation bien versés dans la rhétorique du multiculturalisme, des droits civiques et des droits humains font un amalgame entre la persécution des humains et la « persécution » des pitbulls. Comble de l'outrecuidance, au grand dam des associations juives qui ont fait interdire cette manifestation, les propitbulls avaient l'intention de défiler dans la rue avec des pitbulls arborant une étoile jaune !
Prenons comme exemple, Mme Goldwater, l’avocate pitbull prête à montrer les dents en cour pour défendre les pitbulls : « On utilise des mots péjoratifs pour identifier un certain sous-groupe de chiens qui ne forme pas une race », déclare Mme Goldwater dans un article du 21 septembre 2016 du journaliste Thomas Gerbet de Radio Canada et intitulé, L'avocate Anne-France Goldwater défend les pitbulls à Longueuil. « Tout comme les Noirs, les Latinos, les Arabes... ce ne sont pas des races. Il n'y a qu'une race, précise Mme Goldwater, c'est la race des êtres humains. Il n'y a qu'une race, ça s'appelle des chiens : canis lupus familiaris. […]. Le bannissement de races particulières ne fonctionne pas. Vous allez donner un faux sentiment de sécurité. »
Or, le chien est une sous-espèce domestiquée du loup, elle-même divisée en plus de 450 races ou variantes, facilement identifiables par leur phénotype et qui produisent des rejetons parfaitement conformes au phénotype des parents. Personne n’a jamais vu un couple de bergers allemands enregistrés, par exemple, produire une portée de caniches. Ainsi, Canis lupus familiarise var. terrier staffordshire est le nom scientifique de l'une des trois races de pitbull reconnues par le Club canin canadien et américain. L’homme est aussi une espèce, et non une race, divisée en races comme les Latinos, les Arabes, les Asiatiques, les Blancs, les Juifs et les Noirs. Personne n’a jamais vu un couple de Noirs africains engendrer des enfants blancs aux cheveux blonds et aux yeux bleus. Et les différences entre les races sont beaucoup plus profondes que la couleur de la peau. Que cela plaise ou non à Mme Goldwater, et par l'entrefaites à M. Trudeau, c’est une réalité étayée scientifiquement par des sommités scientifiques comme Steven Pinker de l’Université Harvard (The Blank Slate. The Modern Denial Of Human Nature).
De fait, si nous sommes égaux devant la loi nous ne sommes pas égaux en aptitudes. Il est évident que certaines personnes, races et cultures sont plus performantes que d’autres dans différents domaines. Pourquoi pensez-vous que le tiers monde au complet veut habiter en Occident dans des sociétés modernes créées par des Blancs ? L’inné (les gènes) joue un rôle important notamment dans l’agressivité et l’intelligence, même si l’acquis joue également un rôle. Tous les chiens ne sont pas nés égaux et tous les chiens ne se valent pas en docilité et en intelligence. L’adage favori des pro-pitbulls, un copié-collé de la théorie du bon sauvage de Jean Jacques Rousseau, « il n’y a pas de mauvais chiens, mais seulement de mauvais maîtres » est archi-faux. Tous les vétérinaires dignes de ce nom le savent. Le comportement n'est pas strictement une construction sociale. Mais c’est un autre sujet. Que viennent faire les humains dans cette galère ? On parle de chiens, Mme Goldwater. De grâce, pas d’amalgames.
Enfin, Mme Goldwater tombe dans la désinformation en prétendant sans citer ses sources que le bannissement des pitbulls ne fonctionne pas. Les épidémiologistes, Malathi Raghavan, Patricia J. Martens, Dan Chateau et Charles Burchill ont pourtant montré dans un article de la revue scientifique, Injury Prevention, qu'au Manitoba, les lois visant les races particulières (LRP) ont eu un impact significatif sur l'incidence des hospitalisations dues aux morsures de chiens. C'est aussi vrai pour la ville de Toronto où selon les journalistes, Eric Andrew-Gee et Joel Eastwood du Toronto Star, les résultats du bannissement des pitbulls en 2005, sont aujourd'hui retentissants de succès. En Catalogne aussi, les LRP ont porté fruit affirment les épidémiologistes, Joan R Villalbi et ses collègues, dans un autre article de la revue Injury Prevention. Ce n'est pas pour rien, souligne la journaliste, Barbara Kay, du National Post, « que les pitbulls sont interdits dans plus de 40 pays, dans toutes les bases militaires américaines de même que dans 700 localités états-uniennes ». Les LRP fonctionnent partout où elles sont correctement appliquées sur le terrain.
« Je suis pour tout règlement qui demande de stériliser, vacciner, garder en laisse et enregistrer un chien », déclare Anne-Marie Goldwater dans un article de la journaliste, Amélie Pineda, du Journal de Montréal. « Même les muselières, je suis assez ouverte, mais “jamais je ne vais appuyer un projet qui cible une minorité visible de chiens. [...] Avec tout mon ADN d’avocate, je suis contre cette idée de discriminer une race. On est en 2016, on ne juge pas les humains par leur apparence, alors comment pourrait-on accepter de le faire avec les chiens ? »
Mais Mme Goldwater, ces chiens que vous défendez avec tout votre ADN comme si c’était des êtres humains en bonne et due forme ne sont pas des êtres humains, mais des animaux domestiques créés par l'homme précisément pour le servir. Il est tout à fait justifié par conséquent, compte tenu de leur mauvaise réputation et du danger qu’ils représentent pour les humains, notamment les enfants et les personnes âgées, de prendre certaines mesures de prévention, voire de précaution pour se protéger. Saviez-vous que selon un article d’Alexandre Sirois publié dans La Presse du 23 décembre 2017, 38% des morsures chiens à Montréal sont dues à des pitbulls et que ces chiens ne représentent que 3 % de chiens enregistrés à Montréal. De plus, on ne cible pas une « minorité visible », car encore une fois, les chiens ne sont pas des êtres humains, mais des animaux domestiques. Pourquoi faites-vous un amalgame entre ces animaux et les humains ? Est-ce pour culpabiliser les gens afin de les pousser à accepter vos divagations ?
De toute évidence, Mme Goldwater, si vous êtes pour la stérilisation, la vaccination, la contention et l’identification obligatoire des animaux, vous êtes en flagrant délit de contradiction, car vous admettez de facto que les animaux ne sont pas des êtres humains. Ne savez-vous pas qu’on ne stérilise pas de force des êtres humains, on ne leur enlève pas la liberté, on ne leur passe pas une muselière et on ne les identifie pas non plus par un tatouage ? Vous employez des termes et des arguments propres aux humains pour culpabiliser le public et le convaincre que vous avez raison. Cela s’appelle du chantage psychologique et de l'intimidation.
La Coalition pour la promotion de la sécurité des personnes et des chiens, fondée par les avocats Geneviève et Julius Grey de même que Sabrina Sabbah, ne fait pas non plus dans la dentelle. « Je ne comprends pas, se lamente M. Grey dans une émission du 21 septembre d’Ici Radio-Canada, pourquoi, contrairement à tous les rapports des vétérinaires, on insiste pour dire que les règlements qui choisissent d'éliminer certaines races sont efficaces. » Eh bien comme l’a rapporté la journaliste Marie-Claude Malbœuf dans un article mémorable de La Presse intitulé, Pitbulls. De quel côté penche la science, les rapports des vétérinaires, M. Julius, n’ont aucune crédibilité. Ces agents de désinformation patentés ne servent ni le public ni les animaux qu'ils soignent, mais leurs propres intérêts et ceux de leur industrie. Vous seriez plus crédible si vous citiez des études d’épidémiologistes.
« La coalition, insiste M. Julius Grey, s'appuie sur des études qui démontrent que le bannissement de ces chiens n'a pas amélioré la sécurité des personnes en Ontario. » Or, c'est faux. L'Ontario est au contraire un exemple à suivre. La journaliste d'investigation du National Post, Barbara Kay, qui se consacre à la question des pitbulls depuis au moins une décennie a décrit de long en large les résultats sans équivoques des lois visant des races particulières de l'Ontario.
M. Julius Grey termine sa diatribe par des menaces de poursuites judiciaires et l'avertissement suivant : « Montréal sera pointée du doigt dans le monde entier pour son intolérance et son manque d'humanisme. » On croirait entendre Hillary Clinton traiter Donald Trump de raciste et de xénophobe !
Ces tactiques d'intimidation cousues de mensonges et d'amalgames aux relents d'antisémitisme, de xénophobie, de racisme, de fascisme, de nazisme et d'holocauste sont des outils de propagande hostiles à ceux qui voudraient faire valoir leurs droits pour des raisons parfaitement légitimes que le public réclame de tout cœur. Sans ces boules puantes, les opposants aux lois visant des races particulières seraient forcés de défendre leur point de vue avec des arguments objectifs, et ils échoueraient à coup sûr, car ils n'ont pas d'arguments raisonnables.
Or, ce terme empoisonné est couramment instrumentalisé par les porte-parole de l'industrie des animaux de compagnie comme la chroniqueuse vétérinaire de Salut Bonjour, Claudia Gilbert, pour stigmatiser toute critique des pitbulls et faire fléchir les autorités dans le sens voulu. Et ça marche. Plusieurs maires du Québec se sentant coupables sont en effet revenus sur l'interdiction des pitbulls suite à des accusations de ce genre.
D'autres termes stigmatisants visant à réprimer toute critique sont couramment déblatérés par les propitbulls et les défenseurs des animaux et de l’industrie : « le pitbull est le juif du monde canin », « gazé », « chambre à gaz », « déporté », « génocide », « les pitbulls sont les Noirs de la société et les anti-pitbulls des KKK », « minorité visible », « discrimination d'une race », « le profilage racial des chiens sanctionne le profilage racial des êtres humains ».
Avec des expressions et des termes de ce genre, les agents de désinformation et d'intimidation bien versés dans la rhétorique du multiculturalisme, des droits civiques et des droits humains font un amalgame entre la persécution des humains et la « persécution » des pitbulls. Comble de l'outrecuidance, au grand dam des associations juives qui ont fait interdire cette manifestation, les propitbulls avaient l'intention de défiler dans la rue avec des pitbulls arborant une étoile jaune !
Prenons comme exemple, Mme Goldwater, l’avocate pitbull prête à montrer les dents en cour pour défendre les pitbulls : « On utilise des mots péjoratifs pour identifier un certain sous-groupe de chiens qui ne forme pas une race », déclare Mme Goldwater dans un article du 21 septembre 2016 du journaliste Thomas Gerbet de Radio Canada et intitulé, L'avocate Anne-France Goldwater défend les pitbulls à Longueuil. « Tout comme les Noirs, les Latinos, les Arabes... ce ne sont pas des races. Il n'y a qu'une race, précise Mme Goldwater, c'est la race des êtres humains. Il n'y a qu'une race, ça s'appelle des chiens : canis lupus familiaris. […]. Le bannissement de races particulières ne fonctionne pas. Vous allez donner un faux sentiment de sécurité. »
Or, le chien est une sous-espèce domestiquée du loup, elle-même divisée en plus de 450 races ou variantes, facilement identifiables par leur phénotype et qui produisent des rejetons parfaitement conformes au phénotype des parents. Personne n’a jamais vu un couple de bergers allemands enregistrés, par exemple, produire une portée de caniches. Ainsi, Canis lupus familiarise var. terrier staffordshire est le nom scientifique de l'une des trois races de pitbull reconnues par le Club canin canadien et américain. L’homme est aussi une espèce, et non une race, divisée en races comme les Latinos, les Arabes, les Asiatiques, les Blancs, les Juifs et les Noirs. Personne n’a jamais vu un couple de Noirs africains engendrer des enfants blancs aux cheveux blonds et aux yeux bleus. Et les différences entre les races sont beaucoup plus profondes que la couleur de la peau. Que cela plaise ou non à Mme Goldwater, et par l'entrefaites à M. Trudeau, c’est une réalité étayée scientifiquement par des sommités scientifiques comme Steven Pinker de l’Université Harvard (The Blank Slate. The Modern Denial Of Human Nature).
De fait, si nous sommes égaux devant la loi nous ne sommes pas égaux en aptitudes. Il est évident que certaines personnes, races et cultures sont plus performantes que d’autres dans différents domaines. Pourquoi pensez-vous que le tiers monde au complet veut habiter en Occident dans des sociétés modernes créées par des Blancs ? L’inné (les gènes) joue un rôle important notamment dans l’agressivité et l’intelligence, même si l’acquis joue également un rôle. Tous les chiens ne sont pas nés égaux et tous les chiens ne se valent pas en docilité et en intelligence. L’adage favori des pro-pitbulls, un copié-collé de la théorie du bon sauvage de Jean Jacques Rousseau, « il n’y a pas de mauvais chiens, mais seulement de mauvais maîtres » est archi-faux. Tous les vétérinaires dignes de ce nom le savent. Le comportement n'est pas strictement une construction sociale. Mais c’est un autre sujet. Que viennent faire les humains dans cette galère ? On parle de chiens, Mme Goldwater. De grâce, pas d’amalgames.
Enfin, Mme Goldwater tombe dans la désinformation en prétendant sans citer ses sources que le bannissement des pitbulls ne fonctionne pas. Les épidémiologistes, Malathi Raghavan, Patricia J. Martens, Dan Chateau et Charles Burchill ont pourtant montré dans un article de la revue scientifique, Injury Prevention, qu'au Manitoba, les lois visant les races particulières (LRP) ont eu un impact significatif sur l'incidence des hospitalisations dues aux morsures de chiens. C'est aussi vrai pour la ville de Toronto où selon les journalistes, Eric Andrew-Gee et Joel Eastwood du Toronto Star, les résultats du bannissement des pitbulls en 2005, sont aujourd'hui retentissants de succès. En Catalogne aussi, les LRP ont porté fruit affirment les épidémiologistes, Joan R Villalbi et ses collègues, dans un autre article de la revue Injury Prevention. Ce n'est pas pour rien, souligne la journaliste, Barbara Kay, du National Post, « que les pitbulls sont interdits dans plus de 40 pays, dans toutes les bases militaires américaines de même que dans 700 localités états-uniennes ». Les LRP fonctionnent partout où elles sont correctement appliquées sur le terrain.
« Je suis pour tout règlement qui demande de stériliser, vacciner, garder en laisse et enregistrer un chien », déclare Anne-Marie Goldwater dans un article de la journaliste, Amélie Pineda, du Journal de Montréal. « Même les muselières, je suis assez ouverte, mais “jamais je ne vais appuyer un projet qui cible une minorité visible de chiens. [...] Avec tout mon ADN d’avocate, je suis contre cette idée de discriminer une race. On est en 2016, on ne juge pas les humains par leur apparence, alors comment pourrait-on accepter de le faire avec les chiens ? »
Mais Mme Goldwater, ces chiens que vous défendez avec tout votre ADN comme si c’était des êtres humains en bonne et due forme ne sont pas des êtres humains, mais des animaux domestiques créés par l'homme précisément pour le servir. Il est tout à fait justifié par conséquent, compte tenu de leur mauvaise réputation et du danger qu’ils représentent pour les humains, notamment les enfants et les personnes âgées, de prendre certaines mesures de prévention, voire de précaution pour se protéger. Saviez-vous que selon un article d’Alexandre Sirois publié dans La Presse du 23 décembre 2017, 38% des morsures chiens à Montréal sont dues à des pitbulls et que ces chiens ne représentent que 3 % de chiens enregistrés à Montréal. De plus, on ne cible pas une « minorité visible », car encore une fois, les chiens ne sont pas des êtres humains, mais des animaux domestiques. Pourquoi faites-vous un amalgame entre ces animaux et les humains ? Est-ce pour culpabiliser les gens afin de les pousser à accepter vos divagations ?
De toute évidence, Mme Goldwater, si vous êtes pour la stérilisation, la vaccination, la contention et l’identification obligatoire des animaux, vous êtes en flagrant délit de contradiction, car vous admettez de facto que les animaux ne sont pas des êtres humains. Ne savez-vous pas qu’on ne stérilise pas de force des êtres humains, on ne leur enlève pas la liberté, on ne leur passe pas une muselière et on ne les identifie pas non plus par un tatouage ? Vous employez des termes et des arguments propres aux humains pour culpabiliser le public et le convaincre que vous avez raison. Cela s’appelle du chantage psychologique et de l'intimidation.
La Coalition pour la promotion de la sécurité des personnes et des chiens, fondée par les avocats Geneviève et Julius Grey de même que Sabrina Sabbah, ne fait pas non plus dans la dentelle. « Je ne comprends pas, se lamente M. Grey dans une émission du 21 septembre d’Ici Radio-Canada, pourquoi, contrairement à tous les rapports des vétérinaires, on insiste pour dire que les règlements qui choisissent d'éliminer certaines races sont efficaces. » Eh bien comme l’a rapporté la journaliste Marie-Claude Malbœuf dans un article mémorable de La Presse intitulé, Pitbulls. De quel côté penche la science, les rapports des vétérinaires, M. Julius, n’ont aucune crédibilité. Ces agents de désinformation patentés ne servent ni le public ni les animaux qu'ils soignent, mais leurs propres intérêts et ceux de leur industrie. Vous seriez plus crédible si vous citiez des études d’épidémiologistes.
« La coalition, insiste M. Julius Grey, s'appuie sur des études qui démontrent que le bannissement de ces chiens n'a pas amélioré la sécurité des personnes en Ontario. » Or, c'est faux. L'Ontario est au contraire un exemple à suivre. La journaliste d'investigation du National Post, Barbara Kay, qui se consacre à la question des pitbulls depuis au moins une décennie a décrit de long en large les résultats sans équivoques des lois visant des races particulières de l'Ontario.
M. Julius Grey termine sa diatribe par des menaces de poursuites judiciaires et l'avertissement suivant : « Montréal sera pointée du doigt dans le monde entier pour son intolérance et son manque d'humanisme. » On croirait entendre Hillary Clinton traiter Donald Trump de raciste et de xénophobe !
Ces tactiques d'intimidation cousues de mensonges et d'amalgames aux relents d'antisémitisme, de xénophobie, de racisme, de fascisme, de nazisme et d'holocauste sont des outils de propagande hostiles à ceux qui voudraient faire valoir leurs droits pour des raisons parfaitement légitimes que le public réclame de tout cœur. Sans ces boules puantes, les opposants aux lois visant des races particulières seraient forcés de défendre leur point de vue avec des arguments objectifs, et ils échoueraient à coup sûr, car ils n'ont pas d'arguments raisonnables.