Je t'avais gardé un lien il y a quelques mois, j'oublie tout le temps de le donner, c'était suite à une enfilade où je posais la question à savoir si les anciens avaient faits des découvertes avant que la science n'y arrive. Excuse-moi ce n'est pas les bons mots, mais je suis un peu fatiguée ce soir. Voilà. Je ne me suis pas envoyé le bon lien, je te le donnerai demain.
Hello Mireille,
N’hésite pas ! Si les sources sont honnete et ne défendent pas uniquement un seul point de vue.
En se moment j'essaye de comprendre qu'elle fut la mécanique qui tournais dans la tète de Démocrite pour défendre si fermement sa théorie atomique du monde.
Et se il y à 2300 ans.
Je ne comprend pas comment on peux tomber si juste sur un détail si complexe en étant dans une "simple" croyance...
Il y à surement de l'intuition mais aussi surement des réflexions raisonnées qui l'on conduit à cela.
Mais je me demande dans qu'elle mesure on peux dire qu'il fut dans une croyance...était-ce une "croyance raisonné" ? Dans le sens ou il à émis une hypothèse qui peut-être viens d'une réflexion de se qui est illogique ou improbable, en retenant des probabilités.
Dire qu'il s'agissait que d'une croyance me parait donc gros...mais s'en était bien une, je croie.
Seulement, le jugement "croyance" manque de nuance pour moi.
Les mécaniques qui peuvent permettre à se genre d'individu de rendre leurs esprit acéré a des hypothèses qui ne peuvent même pas etre vérifier mais qui sont plus probables que les choses illogiques me fascine.
Une partie de moi, j'avoue, pense qu'on peux parfois comprendre le monde sans preuves. Ou se délecter d'une méthode de recherche et de réfutation logique qui amène a des hypothèses viable.
Mais cette compréhensions ne peux pas devenir une connaissance "pure" si elle n'est pas supporter par des preuves.
Ça reste une croyance pour les autres aussi !
Ainsi, avant que je connaisse le mot "rêve conscient", je savais que c’était possible.
Avant les année 1960 toutes les personnes qui firent des rêves conscient était possiblement dans une croyance.
La preuves scientifiques les en à libérer.
Mais était t'il croyant ? Ou est-ce que l’expérience se suffisait à elle même pour être une connaissance, même sans preuves du fonctionnement exacte ?
Surement que le terme croyance est trop fort, et connaissance aussi...la subjectivité joue, mais la subjectivité n'est pas un monstre.
Une connaissance pare souvent d'une compréhension subjective (souvent biaisée) qu'on élargie par des outils et des tests...
Se genre de complexité dans la dynamique de la pensé puis dans le jugement sociale entre connaissance et croyance est passionnant.
La question est : Démocrite considérait sa théorie comme une hypothèse et une croyance ou un savoir, ou autre ?
Par exemple il considérait peut-être cela comme comme une "simple" idée à explorer, qui même sans fondement scientifique avait une valeur philosophique, voir épistémologique ? Donc utile.
Plus utile que d'autre hypothèses qui n'apportait rien philosophiquement.
Qui sais ?
L'autre question est : si vous pensez savoir une chose, que vous êtes le seul à savoir mais que vous n'en avez pas la preuve alors cela fait de vous un croyant ou une personne qui sais ?
Avant d'etre lue par un commitée de lecture...on sais ou on croie ?
La sociologie, les autres...sont notre fardeaux...et nos libérateurs...
Que faire, si on sais une chose, et que personne ne le comprend ?
Imaginez par exemple Einstein qui aurait pas réussit à expliquer la relativité générale...ou qui serait mort avant de pourvoir la prouver par des calculs et nous aurait laisser uniquement un erritage expliquant le principe de manière orale voire même philosophique...
On aurais considéré son "savoir" comme une croyance, jusqu’à preuve du contraire...c'est triste, mais c'est le jeu de la science.
Einstein, avant de pondre la relativité est surement passée par des stades de la pensées qui n’était pas mathématique ou qui ne comportait pas de calculs ou de preuves scientifiques...il a du passer par la philosophie, l'observation, l'observation libre (l'imagination, et il en avait), la pensée classique (questions), le ressentit, puis la raison, les tests, les remises en questions, la logique, l'aide des autres, l’expérimentation...etc La science c'est une pratique humaine.
De toute façon, pour observer la lumière et se dire "à qu'elle vitesse elle va", il faut avant de faire de la science, se poser la question, et être douer d'imagination.
L'imagination ne permet pas de faire de la science, mais de trouver un cadre à une question...afin d'y répondre.
Ensuite c'est une autre affaire, mais la science molle se rumine avant de rentrer dans le bloc opératoire.
Ensuite, il faut la raison, la logique, la neutralité et d'autres outils pour apporter une preuve...
La dernière question est : Comment se structure la construction sociale qui juge le savoir comme tel ou la croyance comme telle. Cette construction sociale n'a telle pas ignorance de quelques nuances qui peuvent se trouver entre ses deux états ?
Vraiment, Démocrite et certain mathématiciens "intuitif" (et d'autres) on tout à gagner à être étudier.
Non pas pour soutenir ses croyances ou pour leurs autorités.
Mais pour comprendre en quoi un humain, douer d’émotion, d'intuitions, de sens, même biaiser peux t'il crée une dynamique de découverte a condition que la raison prennent le relais.
Les plus intuitif chercheurs, les scientifique ayant le plus fait de l'intuition une "idéologie dorée" ne peuvent pas oublier la raison.
L'intuition ne pourrais être qu'un signal provenant de l’environnement, et seulement l’interprétation est libre...ainsi l'intuition ne ment pas forcement, la raison lui empêchera de mentir en tout cas.
Meme si la raison elle même est faillible.
On a inventer la méthode scientifique pour évité les biais.
Donc pour moi, le combat entre l'intuition et la raison n'est pas stérile, mais il l'est trop souvent quand il s'agit de savoir si l'un est BIEN ou l'autre et MAL.
Seulement ceux qui pensent pouvoir tout régler par la seul raison ou la seul intuition ignorent qu'ils sont en realité soumis par ses deux choses.
Et pas que par ses deux concept (qui demeure des concept).
Bien loin de moi de vouloir rendre l'intuition plus importante que la raison, car souvent elle s'enlisent, je pense que bien utilisé, et pas mélanger a la science, elle peux s’avérer très pratique.
Comme l'imagination, a la qu'elle on est obliger de se soumettre.
Le plus important et que chaque outils humain servent le spectre qu'il doit servir en sachant deja que l'un et l'autre se biaise ou s’influence peut-être mutuellement.
L'humain à inventer des outils de recherche externe à lui même, c'est pas pour rien.
Ils sont limités bien sure, comme nous d’ailleurs...et ils évoluent, comme nous.
Sinon on aurait un savoir total, et on pourrait tout vérifier par des outils surpuissant.
On se poserait plus de questions.