Vathar a écrit :Et je décris le gâteau au chocolat comme un empilement d'os de suricates recouvertes d'un coulis d'emmental parfumé à la moutarde et à l'ananas. Ça n'en fait pas une description pertinente pour autant.

Vathar a écrit :Et je décris le gâteau au chocolat comme un empilement d'os de suricates recouvertes d'un coulis d'emmental parfumé à la moutarde et à l'ananas. Ça n'en fait pas une description pertinente pour autant.
La sourceest disponible sur le web.LoutredeMer a écrit :Aulnay : La thèse de l'accident privilégiée.![]()
Tu as des cas à présenter ou est-ce encore une bataille contre une entité aussi terrifiante qu'imaginaire?Etienne Beauman a écrit :En anglais désolé
Where rapists can gain parental rights
Malheureusement, en Inde il vaut mieux être une vache qu'une femme...richard a écrit :J'ai trouvé ça. Vivement que ça vienne en France!
Qu'il y ait eu un cas ou mille...Kraepelin a écrit :Tu as des cas à présenter ou est-ce encore une bataille contre une entité aussi terrifiante qu'imaginaire?Etienne Beauman a écrit :En anglais désolé
Where rapists can gain parental rights
""In 2012, he applied for visitation rights to the girl but was turned down""Etienne Beauman a écrit :Qu'il y ait eu un cas ou mille...Kraepelin a écrit :Tu as des cas à présenter ou est-ce encore une bataille contre une entité aussi terrifiante qu'imaginaire?Etienne Beauman a écrit :En anglais désolé
Where rapists can gain parental rights
...ça change quoi au fait qu'une loi devraient les protéger ?
Ton argumentation m’intéresse !
Pas très logique ton affaire!unptitgab a écrit :Outre le fait que la sentence soit scandaleuse, la cause l'est tout autant. Bordel de merde, quand les religieux cesseront de s'occuper de ce qui se passe entre les cuisses des femmes en les laissant libres d'en disposer selon leurs envies peut être mériteront ils un peu de respect pour l'heure ils méritent juste un grand coup de lattes dans ce qui leur pendouille entre les jambes.
L'idée de cette loi est de protéger les femmes et leur enfant d'une procédure judiciaire absurde.Kraepelin a écrit :Ton "un cas" devient zéro.
J'attends toujours un début d'argumentation de ta part expliquant en quoi c'est une mauvaise idée.The victim was forced to see him in family court 'many, many' times as a result
Dans ce cas la demande devrait être rejeté en amont. On ne juge pas les cas qui ne nécessite pas jugement.C'est un peu normale, il n'y a pas de cour qui lui donnerait raison et c'est pour ça qu'une loi spéciale n'est pas apparue nécessaire.
It was claimed he was only using the threat of seeing the child to get the victim to relent in demanding child support payments.
Est-ce que quelqu'un a vu le film? Moi, je ne l'ai pas vu...La mauvaise réputation du film découle d'un élément du scénario que certains observateurs ont carrément associé à la culture du viol. Le personnage qu'interprète Chris Pratt, réveillé par accident 90 ans trop tôt alors que le voyage intersidéral auquel il a pris part doit en durer 120, prend en effet l'initiative de réveiller lui-même une autre passagère (Jennifer Lawrence) afin de tromper sa solitude.
On ne prescrit pas un remède à une personne qui n'est pas malade. Inutile aussi de faire une loi pour prévenir quelque chose qui n'arrive jamais.Etienne Beauman a écrit :J'attends toujours un début d'argumentation de ta part expliquant en quoi c'est une mauvaise idée.Kraepelin a écrit :Ton "un cas" devient zéro.
Bah si ça arrive, d'après le lien d'Etienne. Une fois ou 2 par an, une nana croise son violeur devant une cour de justice.Kraepelin a écrit :Inutile aussi de faire une loi pour prévenir quelque chose qui n'arrive jamais.
Premièrement, il n'y a pas un ou deux cas. Il y a zéro cas.mcmachin a écrit :Bah si ça arrive, d'après le lien d'Etienne. Une fois ou 2 par an, une nana croise son violeur devant une cour de justice.Kraepelin a écrit :Inutile aussi de faire une loi pour prévenir quelque chose qui n'arrive jamais.
En quoi ça te chiffonnerait de faire une loi pour éviter cela ? Pour info ?
Kraepelin a écrit :Les mots et les émotions entrent en dynamique. Les mots que l'on choisit pour décrire une réalité sont en partie déterminés par nos émotions, mais ils conditionnent en retour notre réaction émotionnelle face à cette réalité. Par exemple, si de retour à la maison l'on remarque que la serrure a été fracturée et que le téléviseur a disparu, on peut parler de l'évènement en différents termes:
1- Mon téléviseur a été volé;
2- J'ai été volé;
3- J'ai été victime d'un larcin;
4- J'ai été victime d'une introduction par effraction;
5- J'ai été victime d'un cambriolage;
6- On a défoncé ma porte, violé mon intimité et dépossédé de mon bien;
Certains termes ont pour effet de minimiser, lénifier presque étouffer la gravité d'une situation. Ils peuvent décrire objectivement la situation, mais en lui faisant perdre la charge qui devrait y être normalement associée. Ainsi, des civile victimes d'attaques militaires deviennent des «dommages collatéraux».
Inversement, d'autres termes auront pour effet de dramatiser une réalité en l'associant à un complexe de représentations cognitives et émotionnelles plus lourdes qui conduisent à des réactions émotionnelles et comportementales disproportionnées. Il y a quelques années, la victime d'une introduction par effraction affirmait à la télévision qu'elle s'était «sentie violée». Je n'ai pas pu m'empêcher de me dire que la madame n'avait surement jamais été victime d'une agression sexuelle sérieuse dans sa vie parce qu'autrement elle aurait surement mieux mesuré toute la distance qui sépare un simple vol de téléviseur dans un appartement vide d'un viol caractérisé.
(...)
Il y a encore des chose toutes croches qui habitent nos mentalités notre société, mais il y en a bien d'autres de très honorables et lorsque l'on p=prend la mesure de nos lois, de nos règlements et des institutions qui les représentent, je trouve que de parler de «culture du viol» est une dramatisation très inappropriée pour écrire ce qui se passe vraiment dans les sociétés occidentales.
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* Je ne retiens que les faits qui pourraient se présenter en occident. Je ne retiens pas non plus ceux qui apparaissent parfois dans nos sociétés, mais seulement dans des groupes circonscrits de personnes provenant de pays non occidentaux, faits qui seraient, dans ces circonstances, les témoins d'autres cultures que la nôtre.
Analogie impossible.Kraepelin a écrit :Il n'y a pas, non plus, de loi pour interdire aux assassins de poursuivre en dommage et intérêt les héritiers de leurs victimes pour le sentiment de culpabilité que la mort de la victime leur fait vivre.
Épouvantail, personne ici n'a sonné de trompettes, tu continues à débattre avec des gens qui ne s'expriment pas sur ce forum. Tout en éludant ce que disent ceux qui y participent.Ce qui me chiffonne, c'est d'attendre sonner les trompettes du jugement dernier parce que cette invraisemblable possibilité existe.
Double standard ?Kraepelin a écrit :On prend la mesure de la «culture» d'une société par ses lois et règlements,
Toujours aussi prompt à voler au secours des pires dérives de la bigoterie, à ce que je vois. Faites-vous sciemment semblant d'ignorer que ce sont ces mêmes religieux qui inventent la volonté de leurs dieux ?Kraepelin a écrit : Pas très logique ton affaire!
Les "religieux" comme tu dis, croient véhiculer la parole de Dieu. Et Dieu, lui, se croit en droit le légiférer sur tout ce que bon lui semble, y compris à propos de "ce qui se passe entre le cuisses de femmes", comme tu dis. Finalement, Dieu s'occupe de sa création et les religieux remplissent exactement leur ministère...
En même temps, il n'y a pas vraiment lieu d'argumenter quoi que ce soit puisque lui même n'apporte aucun argument pour expliquer pourquoi il faudrait retirer d'office, sans procédure, le droit à un père de voir son fils biologique en raison du viol de la mère. Rappelons que dans l'histoire, c'est la mère la victime, pas l'enfant, et qu'un criminel a aussi des droits.Kraepelin a écrit :Tu peux ne pas aimer mon argument, mais pas prétendre que je ne t'en ai pas soumis.
C'est purement et simplement de la récupération idéologique.Kraepelin a écrit :Ce qui me chiffonne, c'est d'attendre sonner les trompettes du jugement dernierparce que cette invraisemblable possibilité existe. Ce que je dénonce, c'est la culture de l'anecdote montée en épingle, la culture de la dramatisation des cas isolés ou relativement minoritaires comparativement à la masse de lois et règlements et d'institutions misent en place pour protéger des femmes contre des agressions.
Je n'aurais pas osé cet argument, mais tu as parfaitement raison. Il existe un nombre incalculable de possibilités. Je ne parviens pas à imaginer un cas de figure où les droits d'un père violeur l'emporteraient sur les droits de la mère à ne plus jamais entendre parler de son agresseur ou un cas de figure où les intérêts de l'enfant seraient de le fréquenter, mais ce n'est pas parce que je n'en imagine pas que ça ne peut pas exister.Greem a écrit :
En plus d'être unique, on est face à un cas complexe où le droit et les libertés individuelles des uns et des autres se mêlent à des considérations morales et légales contradictoires. C'est le genre de situation qu'on ne peut juger qu'au cas par cas.
Greem a écrit :C'est purement et simplement de la récupération idéologique.Kraepelin a écrit :Ce qui me chiffonne, c'est d'attendre sonner les trompettes du jugement dernierparce que cette invraisemblable possibilité existe. Ce que je dénonce, c'est la culture de l'anecdote montée en épingle, la culture de la dramatisation des cas isolés ou relativement minoritaires comparativement à la masse de lois et règlements et d'institutions misent en place pour protéger des femmes contre des agressions.
La procédure c'est le jugement qui a condamné un homme pour viol.Greem a écrit :En même temps, il n'y a pas vraiment lieu d'argumenter quoi que ce soit puisque lui même n'apporte aucun argument pour expliquer pourquoi il faudrait retirer d'office, sans procédure, le droit à un père de voir son fils biologique en raison du viol de la mère.
Si ! Si un juge pense comme Greem, cette loi est absolument nécessaire.Kraepelin a écrit :il n'y a pas de cour qui lui donnerait raison et c'est pour ça qu'une loi spéciale n'est pas apparue nécessaire.
LolJusqu'au cou
Grrem a écrit :Rappelons que dans l'histoire, c'est la mère la victime, pas l'enfant, et qu'un criminel a aussi des droits.
Au hasard : le fait de priver sans aucune forme de procès un père de voir son fils au motif qu'il a violé la mère ? Alors oui, c'est très vilain le viol et je sais qu'au yeux de certains cela est suffisant pour lui retirer tout droit, toute liberté, toute défense, mais il se trouve qu'on vit dans un état de droit et qu'il me faut un peu plus que des accusations sournoises et des cris d'indignations pour être convaincu par une telle législation.Etienne Beauman a écrit :1) Qu'est ce qui dans ce cas pose problème concrètement si cette loi passe ?
Etienne Beauman a écrit :Si tu penses qu'un violeur devrait avoir le droit de voir le fruit de son crime, c'est ton droit.
Oh, l'enfant sera certainement victime de bien des choses : être un enfant non-désiré c'est jamais facile à vivre, avoir une mère célibataire non-plus, surtout si celle-ci n'arrive pas à se remettre de son agression et commence à développer toutes sortes de troubles psychiques. D'ailleurs, on peut se demander si la victime était elle-même bien saine d'esprit pour avoir fait le choix de garder l'enfant au lieu d'avorter.Etienne Beauman a écrit :Grrem a écrit :Rappelons que dans l'histoire, c'est la mère la victime, pas l'enfant, et qu'un criminel a aussi des droits.![]()
Comment Kraepelin peux tu laisser passer ça sans réagir ?
Tu dis n'avoir aucun problème avec cette loi mais tu critiques qu'un groupe la réclame.Kraepelin a écrit :Ta question: »1) Qu'est ce qui dans ce cas pose problème concrètement si cette loi passe ?» suppose que je trouve que la loi pose problème alors que je n'ai rien affirmé de tel. J'ai même bien expliqué deux fois ce qui posait problème pour moi, réponse que tu as esquivée pour te donner beau genre avec tes questions pas rapport.
Pour savoir ce que tu en penses, quelle question !Kraepelin a écrit : Ton autre question n'est pas meilleure: «2) Y a t il un problème avec le fait que celle n'obligeant plus les victimes à prouver qu'elles se sont débattues soit passée ?» Pourquoi me demander ça? J
Kraepelin a écrit :Tu as un petit côté "pardalis". Tu aimes plus jouer de rhétorique que chercher la vérité.
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