jroche a écrit : 16 juin 2022, 21:17
1 - Tant mieux pour toi si tu n'as jamais été confronté à des personnes réellement toxiques (paranoïa, hystérie quand elle pousse à la manipulation, psychopathie...).
2 - Putôt versus Jean Staune, accessoirement
Dambricourt. Cela posé, j'en reviens encore là, ça ne parle pas de son travail initial sur les crâne, sous l'égide du CNRS.
1 - ce n'est pas parce qu'on rencontre, qu'on subit, qu'on détecte, des personnalités que l'on juge toxiques qu'on est pourtant équipé des compétences requises pour poser un diagnostic relevant de la psychopathologie.
Les personnes toxiques, leurs impacts, je pense connaître suffisamment bien. Je me serais bien passé de leur"fréquentation". J'ai appris à développer des outils, des stratégies, ce qui n'est pas pareil, quitte à avoir recours à des spécialistes pour faire évoluer une situation
2 - Oui. J'ai commencé à m'intéresser aux travaux de
Dambricourt, via son blog, en première approche, afin de disposer d'une base de connaissance et de compréhension. Je ne dispose pas des compétences suffisantes pour apprécier ses travaux, très spécialisés, et je n'en suis aussi qu'au début. Pour l'instant, j'essaie d'avoir une approche globale de la problématique, où il faut démêler les travaux d'intérêt scientifique, les polémiques relatives aux positions des uns et des autres, ce qui entretient une certaine confusion, opacifie le débat, alors qu'il y a besoin de clarté, d'ordre scientifique, dans ce dossier pour apprécier ce qu'il en est. La démarche d'investigation est corrélée aux compétences dont on dispose pour parvenir à un niveau de compréhension minimal, pour éviter égarements et interprétations
En ce qui concerne ce dossier, au sens large, pour les sources d'information que j'apprécie, entre autres, je ne me nourris pas exclusivement d'internet, j'utilise souvent, autant que faire se peut, ce type d'ouvrages collectifs, ce qui permet de disposer d'une pluralité d'informations et de points de vue :
Pas forcément faciles à aborder, et en privilégiant, autant que possible, les références des intervenants. Comme généralement les sources, les documents, la bibliographie sont abondamment détaillés, il convient de compléter la lecture, le cas échéant, en s'orientant vers ces derniers.
A noter que les trois ouvrages cités ont déjà quelques années au compteur, mais que le fond semble encore fiable.