J'ai poursuivi un peu la lecture d''articles qu'elle a écrit sur son site.Jean-Francois a écrit : 17 juin 2022, 16:34D'après son site elle publie pas mal mais dans des revues faiblement cotées. Il faut dire qu'elle publie beaucoup en français, pas un reproche mais une faiblesse dans le contexte actuel de la recherche.
Quand je disais "ses (son?) articles" je pensais à ceux qui ont entrainé la polémique.
Jean-François
J'interprète ou il y a bien une tonalité qui rappelle le new agisme?
https://www.annedambricourt.com/evidence..Dans cet entretien, il était question de la face et aussi de la base du crâne qui communique avec le reste du corps par la colonne vertébrale, de la complexité de notre système nerveux, en montrant que, non seulement l’ensemble est étroitement intriqué, mais que grâce à l’agencement des formes verticalisées, cette organisation est capable de nommer et donc de signifier tout ce qui l’entoure jusqu’à chercher à se signifier. C’est ainsi que sont nés les mythes cosmogoniques qui fondent les religions, ils traduisent la nécessité de s’inscrire dans une causalité et de se reconnaître dans une histoire universelle qui est signifiante. Mais qui peut signifier l’ensemble sinon une grande abstraction universelle ?
Mon propos n’est pas de dire que les cosmogonies comblent les blancs incompris des seuils du processus de l’hominisation, il est de dire que cette capacité de représentation symbolique émerge de ces seuils qui évoquent pour l’intelligence, des propriétés d’abstraction. Je n’entre pas dans le détail de cette problématique, elle sera développée dans mon livre Embryogenèse et phylogenèse de la posture humaine...