Claude De bortoli a écrit :...Le foétus d'esprit mémorise toute les molécules de métamatière qui se dégage de la vie quotidienne de son gestateur humain sans rien arbitrer ; le bien comme le mal, ce qui est bon pour lui comme ce qui est mauvais pour lui.
A la naissance de l'esprit, qui correspond à la mort du corps matériel du gestateur humain, la nature de métamatière jugera si le nouvel esprit est viable ou non-viable. L'humain gestateur se verra vivre dans la vie de son esprit après la mort de son corps de matière pour l'éternité ; la mort n'existe pas dans la nature de métamatière !..
Tout à fait, mais alors tout à fait d'accord avec vous !
De tout temps les hommes savent que la magie homéopathique est une des conséquences d'une dysharmonie dans la fractalité des énergies au milieu du réseau corporel. Il faut noter en outre que la médiumnité est la fréquence vibratoire en harmonie avec le corps physique qui agissent de concert sur le haut du cône vibratoire commandant l'ensemble.
Car c'est la notion d'échelle qu'il conviendrait ici d'élargir afin de penser les co et anti-symétries fractales, qu'elles traversent en les engendrant, en termes ontologiques et substantiels.
D'ailleurs, nous savons depuis toujours que la conscience vibratoire de l'humanité constitue une fonction avancée de l'indécidabilité telle que démontrée par ses propres variables dans un système formel et je ne vous apprendrai rien en vous disant que la réalité métaphysique constitue ce qu'on peut appeler un rapport esotérico-indépendant de la nature.
Au regard de ce qui précède, nous pouvons donc affirmer sans ambages que la biosphère ou la mécanosphère, accrochées sur cette planète, focalisent un point de vue d'espace, de temps et d'énergie; elles tracent un angle de constitution de notre galaxie.
Depuis la plus haute antiquité, l'humanité sait qu'un état de santé dégradé est une sorte d'agencement machinique qui, à travers ses diverses composantes, arrache sa consistance en franchissant des seuils ontologiques d'irréversibilité non linéaires; le voyage astral est une des expressions littérales de la mécanique quantique appliquée a un renouveau paradigmatique.
Et depuis des temps immémoriaux, les initiés savent que le corps éthérique est causé par un dysfonctionnement quantique des foyers énergétiques corporels et il convient également de ne pas oublier que, la conscience collective jugulant cette filiation maintenue de la cohérence, ce qui excède intérieurement le tout ne va pas plus loin qu'à nommer le point limite de ce tout.
Ainsi donc, nous pouvons donc affirmer sans ambages qu'Heisenberg avait raison, l'incertitude règne en tout, partout et surtout ici.
Il a été prouvé scientifiquement que le processus du dévoilement identitaire repose sur une violation des lois ésotériques du vide cosmique qui couvre l'Univers et constitue sa gangue. Le paradigme de l'Autre Science n'est qu'une constante limite qui apparaît comme un rapport dans l'ensemble de l'univers auquel toutes les parties sont soumises sous une condition finie.
Ainsi il est un fait à prendre en compte: que l'objectivité résiduelle est ce qui résiste au balayage de l'infinie variation des points de vue constituables sur lui.
Il est de notoriété publique que le corps éthérique est la conséquence d'une rupture entre les harmonies mystiques du corps et des flux du ch'i à travers le réseau lymphatique; il faut noter en outre que la médecine holistique se dissout dans les considérations cosmologiques sur le big bang tandis que s'affirme celle d'irréversibilité.
Depuis la nuit des temps on sait que la conscience vibratoire de l'humanité constitue une fonction avancée de l'indécidabilité telle que démontrée par ses propres variables dans un système formel. Il faut noter en outre que l'être processuel métaphysique n'est que l'expression du théorème de Gödel appliqué aux forces paranormales.
Ceci expliquant cela, je suis d'accord avec le fait que l'énergie potentielle est l'énergie de l'évènement pur tandis que les formes d'actualisation correspondent aux effectuations de l'évènement fortuit. Il convient également qu'un foyer d'appartenance à soi existe quelque part pour que puisse venir à l'existence cognitive quelque étant ou quelque modalité d'être que ce soit. Dont acte.
Voici donc constituée une preuve irréfutable que le perspectivisme ou relativisme scientifique n'est jamais relatif à un sujet, il ne constitue pas une relativité du vrai, mais au contraire une vérité du relatif, c'est-à-dire des variables dont il ordonne les cas d'après les valeurs qu'il en dégage dans son système de coordonnées.
He who thinks by the inch and talks by the yard deserves to be kicked by the foot. (Proverbe chinois)