Comorbidités acceptées ne veut pas dire qu'il y ait eu des volontaires limite maso/suicidaires ou inconscients avec un panel représentatif certainement difficile à constituer. Si presque tous sont en bonne santé et de bonne constitution, les résultats négatifs ne seront pas aussi abondants que si vous faites les mêmes essais avec des diabètes, des immunodéprimés, des cancéreux, des allergiques, des cardiaques, des sujets plus susceptibles de faire une thrombose ou un AVC. Je doute que ces groupes ont été étudiée d'une manière plus minutieuse. Sans oublier de mentionner les plus vieux plus faibles.Inso a écrit : 18 mai 2021, 18:02Vous vous posez des questions à partir de données très incomplètes.julien99 a écrit : 18 mai 2021, 11:59 Quant à la question que vous venez de soulever je me demande comment les labos pharmaceutiques évaluent le risque de vaccination sur des personnes avec comorbidités, allergiques, immunodéprimées, sur des enfants ou des personnes de plus de 64 ans si ces groupes sont exclus de l’étude.
Si on prend comme exemple Pfizer (phase 3 effectuée en 2020), seuls ont été exclus de l'étude les enfants de moins de 16 ans, les femmes enceintes et les immunodéprimés sévères.
La liste des comorbidités acceptées dans l'étude est assez longue (voir ce pdf page 9) : Cancer, sida, diabètes, pb cardio, pulmonaires, rénaux, du foie etc...).
Et des personnes de plus de 64 ans ont bien été intégrées dans l'étude.
Depuis, des essais cliniques ont été réalisés et validés sur des jeunes de 11 à 16 ans et des essais cliniques ont débuté sur des enfants de moins de 11 ans.
Edit : le CDC a mené une étude sur plus de 35000 femmes enceintes ayant reçues le vaccin Pfizer ou Moderna : aucun problème.
Concernant les personnes de plus de 64 ans, pourquoi Astrazeneca a d'abord préconisé d'administrer le vaccin à toutes les personnes en-dessous de 64 ans, alors ? Maintenant il se trouve que c'est exactement l'inverse ! Est-ce cela que vous appelez une étude digne de ce nom ?
