Pas d’ironie!
richard a écrit : 16 août 2021, 11:02
J’ai en effet compris que les horloges d’un espace sont synchronisées, donc que tous les points d’un même espace sont au même temps, mais que ces horloges se désynchronisent quand cet espace est en mouvement.
mais qui peut croire une telle baliverne? Un espace est toujours en mouvement par rapport à un autre.
J’ai compris aussi qu’il n’y avait qu’un seul événement en A et donc une seule émission d’un éclair en A, sauf qu’il y en a un aussi en A’.
1 + 1 = 2. Il n’y a pas un seul événement mais bien deux.
J’ai compris que les éclairs avaient lieu en A et B respectivement aux temps TA et TB dans E tels que TA = TB = To et respectivement aux temps T’A et T’B dans E’ tels que T’A # T’B (car E’ est en mouvement), donc que la simultanéité d’événements n’est pas conservée, que le temps dépend bien des observateurs, en un mot qu’il est relatif.
Ce qui est en
jeu c’est la simultanéité d’événements, événements qui sont indiqués par l’émission
de flashs. Le moment
de leur réception n’a rien à faire dans l’étude
de la simultanéité d’événements qui peuvent être autre chose que l’émission
de flashs; par exemple deux mecs qui boivent un coup en même temps, mais l’un à Paris, l’autre à Montréal.
Je suis certain de la conservation
de la simultanéité dans un changement d’espaces et donc
de l’universalité du temps. Ce n’est pas parce que l’on va plus vite que le temps va moins vite.
Si tu m’avais dit tout ça il y a une vingtaine d’années tu aurais pu peut-être me détourner
de mon chemin. Cette discussion a d’ailleurs renforcé ma théorie. Merci à toi!
de ne pas m’avoir répondu autrefois et
de chercher à me convaincre aujourd’hui.