ABC a écrit : 09 nov. 2021, 23:43Bref, relever le défi climatique et le défi écologique repose d'abord
sur une connaissance solide du problème et pas sur
de vagues considérations approximatives reposant sur l'intime conviction [...]
la première étape, demande d'abord
de nous
informer sérieusement.
Étant donné, sauf peut-être toi, que
la majorité d'entre nous n'est pas un acteur dans le domaine (
scientifique, j'entends. Et/ou concernant nos « contacts & relations »), il ne serait pas préférable
de concentrer nos éffort à persuader (oui, j'emploie le terme persuader et je l'assume) un max
de gens, dans notre entourage,
de l'importance
de mettre
de la pression sur le politique et autres?
Faut choisir nos combats, nos champs d'expertise et donc nos priorités. Je ne vois pas en quoi, moi, P. Ex., ça importerait que je me « spécialise » concernant les chiffres et tout plein
de détails techniques si je ne trempe pas dans un cadre pouvant les exploiter. C'est comme pour
la PQ, je m'y intéresse
de loin, mais je n'ai pas besoin « d'atteindre ton niveau » pour argumenter contre « le quantique à toute les sauces » avec les gens
de mon entourage.
ABC a écrit : 09 nov. 2021, 23:43...Si on ne veut pas, en toute bonne foi, se tromper en promouvant des solutions qui agravent les émissions
de GES et/ou les problèmes écologiques au lieu
de les résoudre...
Pour ce que j’en comprends, à mon sens, toute forme d’énergie (
déjà connus) ne fait que déplacer le problème (
à la limite, atténuer les déchets, dans le meilleur des cas, ce qui ne fait que repousser dans le temps).
La véritable solution étant
de diminuer les « « sujets pollueurs » (
réduire le nombre d’humains) et/ou
de changer drastiquement les modes
de vie, mais ce sont paradoxalement des « solutions » qui me paraissent utopiques à pouvoir faire accepter (
tout comme « abandonner » certaines villes, concernant mon point plus bas) et mettre en œuvre.
Une idée, comme ça (
qui me vaudra certainement quelques jugements, mais m'en fou), mais si l’on se détache un instant
de nos « affects », principes et valeurs pour analyser tout ça d’un autre point
de vue... ...Disons que rien n’est fait qui aura suffisamment d’impact pour changer quoi que ce soit. Il y aura des conséquences, des gens mourront, migreront, mais au final, l’humanité survivra et « s’adaptera » face aux faits. L’on ne parle pas d’une extinction massive et possiblement totale comme si un « astéroï
de tueur »
de plusieurs km allait percuter
la terre. Non?
J’veux dire, d’un point
de vue global, le « corpus
de connaissances » et
la « culture humaine » ne sont pas en danger d’extinction complète. Non? Une « simple guerre mondiale nucléaire » aurait déjà bcp plus d’impact et l’humanité vit pourtant relativement très bien avec ce risque (
parce qu’elle est obligée d’entretenir les rapports de force entre puissances, malgré le risque).
Aussi, depuis que je suis tout petit, je ne compte plus le nombre
de docus où il est dit (
vrai ou pas?) que les populations, les villes longent
la faille
de San Andreas (
et/ou situés sur la « ceinture de feu du Pacifique », pour le Japon) subiront, tôt ou tard, un terrible séisme qui pourrait les détruire complètement. Ok, les normes
de construction sont en adéquation (
le Japon est au top en ce domaine), mais dépasser un certain point sur l’échelle
de Richter, ça n’a plus d’importance. Pourtant l’on ne délaisse pas ces villes pour autant. Pourquoi? Tous se « croisent les doigts » en espérant que ça n’arrivera que dans plusieurs siècles (
donc encore un truc « repoussé à plus tard », malgré que tous se soucient de leurs « petits enfants » 
). Et c’est compréhensible étant donné ce que nécessiteraient~coûterait
de délaisser des grandes villes et même un pays (
pour le Japon).
Mon but ici n’est pas
de justifier
de ne rien faire, mais
de relativiser et
de réaliser que face à ce qui est nécessaire pour éviter certains trucs, les choix ne sont jamais — quand ils impliquent des milliers d'individus, plusieurs pays — mis en application avant d’être « obligé~contraint », parce que directement confronté au désastre, au moment présent.
Dans un sens, les puissances~pays, tout comme certains l’ont réalisé lors du
lockdown de la COVID, ont peut-être bcp plus intérêt et avantage (
étant donné l’absence de réelle collaboration internationale pour contrer les effets, au-delà « de l'image ») à focaliser sur leur propre survie, en mettant en place des solutions leur permettant d’être le plus autonome possible au lieu
de dépendre
de la « mondialisation~globalisation » pour survivre. Et, individuellement aussi. Dans le cas où nous échouerons collectivement (
ce qui est à considérer et prévoir, si l’on est rationnel, comme « plan B », non?)
de choisir scrupuleusement ou s’établir, loin des berges, des endroits propices aux ouragan, séismes, sécheresses, etc. Loin des grands centres où des guerres civiles pourraient éclater. Bref, l’option « survivalisme », si l’on veut.
Bref, faudrait pas non plus oublier le « plan B » qui consiste à se préparer au pire, hein! Non?
Question à tous : vous avez, tous, effectué des réflexions sur un éventuel « plan B » vous concernant, vous et votre famille? Où vous misez tous sur « l'espoir » qu'on réussira et/ou que ça n'arrivera que lorsque vous ne serez plus là?
Moi, j'envisage déjà
de quitter «
la grande ville », dans un premier temps (
pour toute sorte de raison, mais le lockdown ma fait « tilté » ).