spin-up a écrit : 15 avr. 2018, 00:19Des acteurs non parties du conflit, qui n'ont rien fait contre Assad en 6 ans, organisent une attaque sous faux drapeau à l'arme chimique pour justifier une "Intervention", mais en guise d'intervention pour renverser Assad se limitent a frapper des hangars évacués 3 jours plus tot.
Non on parle des groupes rebelles et islamistes qui sont en guerre contre
le régime syrien depuis
le début. Et si jamais rien n'indique qu'ils n'aient pas accès aux armes chimiques
bien au contraire. À partir de là je m'abstiendrais de toutes conclusions sur ce qui s'est passé à Douma car de fait on ne sait pas.
spin-up a écrit : 15 avr. 2018, 00:19Si tu ne te rends pas compte que la charge de la preuve est sur toi, tu es complotiste : tu privilegies l'hypothese du complot par défaut aussi peu plausible soit elle. Mais je m'y attends, tu nous a deja fait
le même coup avec
le pizzagate.
Non la charge de la preuve pèse sur tout
le monde, et ici tu parles de complotistes comme une insulte, comme si dans des conflits il n'y a jamais eu de complots,
bordel renseignez-vous. De fait on parle ici d'un événement ayant eu lieu sur un terrain où avoir compte rendu claires et neutres, est quasiment impossible. Et autant au pizzagate je m'adonnais à une spéculation sans affirmer de manière définitive quoi que ce soit, autant tu sembles ici être sûre de ce qu'il se passe alors je te pose une simple question sais-tu ce qui s'est passé à Douma et comment
le sais-tu? Ou plutôt comment
le sait-on? On ne parle pas d'un attentat dans une ville où des enquêteurs peuvent établir ensuite les faits en toute quiétude avec tous les moyens nécessaires.
spin-up a écrit : 15 avr. 2018, 00:19Sa base électorale se fout royalement de la Syrie, ils l'ont élu pour 2 raisons:
le mur et Clinton.
Non car aller faire la guerre à l'autre bout du monde avec
le coup financier mais aussi humain, fut une part importante de son programme, c'est
le fameux «America First», Donald Trump a également séduit sur d'autres sujets les classes populaires, cela ne se limite pas au mur et à Clinton.