Zwielicht a écrit :jpm a écrit :"La A n'étant pas un privatif, mais engage l'idée de fondement, de base. de là, par la lecture: ramener à ses fondements,à son état essentiel." A votre place j'aurai demandé des explications: mais non, poubelle: charabia.
Un privatif, vous connaissez?
J'avais bien lu.
jpm a écrit :"Le mot strangulation contient les lettres "str", et après?" pas d'autre argumentation?
Complètement superflu comme affirmation puisque je disais plus tôt que
stringere, d'où vient astreindre, restreindre et étreindre, avait ce sens de reserrement.
strangulation vient de
strangulare, du grec
strangalan, qui est relié à
stringere entre autres par la racine qui donne en anglais
string ou l'allemand
strang qui signifie
corde. Bref, racine commune avec
stringere si on remonte, rien à voir avec astre.
En fait, ça confirme en plein ce que je disais, que le "a" de astreindre n'est pas intrinsèque au sens restrictif que possède le verbe astreindre.
Donc, que astre et astreindre n'ont le "astr" en commun que par coincidence.
Ensuite, quand Littré parle du radical sanscrit "str", il ne dit pas que TOUS les mots des langues latines qui comportent "str" impliquent "disperser". Comme le souligne JF avec chastrer ou comme structure, construire....
Zwielicht a écrit :jpm a écrit :"La A n'étant pas un privatif, mais engage l'idée de fondement, de base. de là, par la lecture: ramener à ses fondements,à son état essentiel." A votre place j'aurai demandé des explications: mais non, poubelle: charabia.
Un privatif, vous connaissez?
J'avais bien lu.
jpm a écrit :"Le mot strangulation contient les lettres "str", et après?" pas d'autre argumentation?
Complètement superflu comme affirmation puisque je disais plus tôt que
stringere, d'où vient astreindre, restreindre et étreindre, avait ce sens de reserrement.
strangulation vient de
strangulare, du grec
strangalan, qui est relié à
stringere entre autres par la racine qui donne en anglais
string ou l'allemand
strang qui signifie
corde. Bref, racine commune avec
stringere si on remonte, rien à voir avec astre.
En fait, ça confirme en plein ce que je disais, que le "a" de astreindre n'est pas intrinsèque au sens restrictif que possède le verbe astreindre.
Donc, que astre et astreindre n'ont le "astr" en commun que par coincidence.
Ensuite, quand Littré parle du radical sanscrit "str", il ne dit pas que TOUS les mots des langues latines qui comportent "str" impliquent "disperser". Comme le souligne JF avec chastrer ou comme structure, construire....
"que le "a" de astreindre n'est pas intrinsèque au sens restrictif que possède le verbe astreindre." Il ne s'agit pas d'un aspect privatif, mais d'une réduction de
puissance d'action personnelle, par ex. Evidemment je ne fais par appel au sanscrit, pourquoi d'ailleurs le sanscrit? (Cela semble un effet de mode chez les chercheurs), pourquoi ne pas choisir le nostratique très en cours actuellement? Mais non! en prenant les voies commerciales, comme sources véhiculaires du langage et de la pensée, vous aurez plus de chance d'approcher le sens exact des mots.
hors donc, les phéniciens ont sillonnés les mers les mers....
Vous n'aviez tien dit au sujet du A. J'ai mis en avant cette lettre pour distinguer dans le mot astre , la racine trilitère STR décrivant un resserrement d'un corps, (la coïncidence n'existe pas) , ce A dont j'ai dit qu'il exprime un idée de fondement, de base (AS). Le A emprunté au phénicien, désigne ce qui est puissant (un boeuf, taureau, Aleph) ce qui rayonne de la puissance, voilà le sens exact de du terme Astre : rayonnement et resserrement.
L'idée même de la puissance attachée à la lumière était synthétisée depuis fort longtemps: Ci joint un planche du Panthéon Egyptien. Champollion. D'ailleurs le taureau symbole de la puissance est attesté dans tous le bassin méditerranée.
Scan1.gif
Taureau consacré au dieu Phré (soleil)
La cosmologie moderne a repris ce terme, en particulier j. Kepler, qui son Harmonia Mundi, décrit les Astres, par des corps géométriques, de l'espace mis en forme, un resserrement. Et puisque c'es le thème du post initial, les astres-étoiles étaient représentés par des formes radiées à cinq branches, ossature d'un pentagone.
Le terme irradié, dans Christ et Lucifer, n'existe pas, il s'agit de lumière. mais celle émise par tous les corps, astres ou pas. Ce terme de lumière évoquant tous les volumes se transformant en corps. Un volume étant vu comme un corps en puissance d'être (: exemple: volumes platoniciens , expression de leurs homologues dans la réalité.
ps: l'on pense aujourd'hui sur des concepts anciens sans entrer dans l'architecture mentale de l'époque. De fait les astres brillent, uniquement.
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