Richard Lynn "The global bell curve"
Richard Lynn "The global bell curve"
Bonjour,
J'aurais aimé soumettre certaines données à votre considération, car je suis convaincu qu'elles sont fondamentales.
Certains d'entre vous ont-ils déja pris connaissance du dernier ouvrage de Richard Lynn "The global bell curve", 2008 ?
Richard Lynn est docteur en psychologie de Cambridge, il est professeur à l'université d'Ulster et chef du département psychologie de l'université de Dublin. Il a gagné deux années les US mensa awards pour son travail sur l'intelligence.
http://intelligence.wikeo.be/erter.html
Richard Lynn montre que quelque soit le pays à travers le monde, la hiérarchie reste rigoureusement identique, avec un ordre dicté par le Q.I moyen racial :
1. Juifs Ashkénazes (112)
2. Asiatiques de l’est (105)
3. Européens (100)
4. Asiatiques du sud est (92)
5. Inuits (91)
6. Métis caucasiens-africain (81-90)
7. Amérindiens (86)
8. Nord africains et sud asiatiques (84-88)
9. Africains (67-80)
10. Aborigènes d’Australie (62)
Les différences sont bien sur plus marquées entre les races dont le Q.I diffère sensiblement et est plus ténue entre les races d’intelligence proche.
cette hiérarchie se vérifie immanquablement pour :
1. L’éducation.
2. Les salaires moyens.
3. Le taux de crime et délit (le taux augmente par ordre croissant tandis que le Q.I diminue)
4. Le statut socio-économique.
5. La fécondité (le taux de fécondité augmente par ordre croissant tandis que le Q.I diminue)
Il y a toutefois des exceptions dans ce taux de fécondité, montrant la place de certains facteurs culturels comme le haut taux de fécondité des hispaniques de religion catholique.
6. L’arriération mentale (augmente par ordre croissant tandis que le Q.I diminue)
7. La réussite scolaire.
8. La délinquance juvénile (augmente par ordre croissant tandis que le Q.I diminue)
9. Le pourcentage de mères célibataires (augmente par ordre croissant tandis que le Q.I diminue)
10. Le taux de chomage ((augmente par ordre croissant tandis que le Q.I diminue)
11. La réussite au SAT (test d’entré de la plupart des universités américaines)
12. La prévalence de personnes douées.
La capacité cranienne moyenne décroit linéairement (Est-asiatiques 1416 cm cubes, européens 1369, Amérindiens 1310 cm cubes, Nord africains 1290, africains 1270, aborigènes d'Australie 1200)
Les juifs ashkénazes, les asiatiques et les caucasiens se démarquent par un haut taux d’accomplissements culturels, des salaires élevés, un taux de crimes et délits faible, un statut socio économique élevé, un taux de fécondité faible, une réussite scolaire valable, une délinquance juvénile faible, un taux de mères célibataires peu élevé, un taux de chomage limité, une réussite au SAT élevée et une prévalence importante de personne douées.
A l’inverse, les nord africains, les africains et les aborigènes d’Australie se caractérisent par une aptitude intellectuelle moindre, des salaires moins élevés, un taux de crimes et délits important un statut socio économique moins élevé, une fécondité supérieure, une réussite scolaire moindre avec de plus importants troubles juvéniles, un pourcentage important de mères célibataires, un taux de chomage élevé, une réussite au sat faible et une prévalence de personnes douées faible.
Son ouvrage précédent, "race differences in intelligence", Lynn, 2006, est disponible gratuitement sur internet:
http://www.velesova-sloboda.org/antrop/ ... .html#_pdf
C'est un des livres les plus marquant que j'ai pu lire.
Vous avez la table des matières et vous pouvez accéder directement au chapitre qui vous intéresse ça vaut vraiment le détour car il démonte très bien les manipulations idéologiques qui ont été entreprises.
J'aurais aimé soumettre certaines données à votre considération, car je suis convaincu qu'elles sont fondamentales.
Certains d'entre vous ont-ils déja pris connaissance du dernier ouvrage de Richard Lynn "The global bell curve", 2008 ?
Richard Lynn est docteur en psychologie de Cambridge, il est professeur à l'université d'Ulster et chef du département psychologie de l'université de Dublin. Il a gagné deux années les US mensa awards pour son travail sur l'intelligence.
http://intelligence.wikeo.be/erter.html
Richard Lynn montre que quelque soit le pays à travers le monde, la hiérarchie reste rigoureusement identique, avec un ordre dicté par le Q.I moyen racial :
1. Juifs Ashkénazes (112)
2. Asiatiques de l’est (105)
3. Européens (100)
4. Asiatiques du sud est (92)
5. Inuits (91)
6. Métis caucasiens-africain (81-90)
7. Amérindiens (86)
8. Nord africains et sud asiatiques (84-88)
9. Africains (67-80)
10. Aborigènes d’Australie (62)
Les différences sont bien sur plus marquées entre les races dont le Q.I diffère sensiblement et est plus ténue entre les races d’intelligence proche.
cette hiérarchie se vérifie immanquablement pour :
1. L’éducation.
2. Les salaires moyens.
3. Le taux de crime et délit (le taux augmente par ordre croissant tandis que le Q.I diminue)
4. Le statut socio-économique.
5. La fécondité (le taux de fécondité augmente par ordre croissant tandis que le Q.I diminue)
Il y a toutefois des exceptions dans ce taux de fécondité, montrant la place de certains facteurs culturels comme le haut taux de fécondité des hispaniques de religion catholique.
6. L’arriération mentale (augmente par ordre croissant tandis que le Q.I diminue)
7. La réussite scolaire.
8. La délinquance juvénile (augmente par ordre croissant tandis que le Q.I diminue)
9. Le pourcentage de mères célibataires (augmente par ordre croissant tandis que le Q.I diminue)
10. Le taux de chomage ((augmente par ordre croissant tandis que le Q.I diminue)
11. La réussite au SAT (test d’entré de la plupart des universités américaines)
12. La prévalence de personnes douées.
La capacité cranienne moyenne décroit linéairement (Est-asiatiques 1416 cm cubes, européens 1369, Amérindiens 1310 cm cubes, Nord africains 1290, africains 1270, aborigènes d'Australie 1200)
Les juifs ashkénazes, les asiatiques et les caucasiens se démarquent par un haut taux d’accomplissements culturels, des salaires élevés, un taux de crimes et délits faible, un statut socio économique élevé, un taux de fécondité faible, une réussite scolaire valable, une délinquance juvénile faible, un taux de mères célibataires peu élevé, un taux de chomage limité, une réussite au SAT élevée et une prévalence importante de personne douées.
A l’inverse, les nord africains, les africains et les aborigènes d’Australie se caractérisent par une aptitude intellectuelle moindre, des salaires moins élevés, un taux de crimes et délits important un statut socio économique moins élevé, une fécondité supérieure, une réussite scolaire moindre avec de plus importants troubles juvéniles, un pourcentage important de mères célibataires, un taux de chomage élevé, une réussite au sat faible et une prévalence de personnes douées faible.
Son ouvrage précédent, "race differences in intelligence", Lynn, 2006, est disponible gratuitement sur internet:
http://www.velesova-sloboda.org/antrop/ ... .html#_pdf
C'est un des livres les plus marquant que j'ai pu lire.
Vous avez la table des matières et vous pouvez accéder directement au chapitre qui vous intéresse ça vaut vraiment le détour car il démonte très bien les manipulations idéologiques qui ont été entreprises.
- LePterodactyle
- Messages : 78
- Inscription : 15 janv. 2011, 07:30
Re: Richard Lynn "The global bell curve"
Je vais essayer de rester zen même si c'est pas facile en la circonstance, je suis à moitié irlandais et issu de l'université concurrente de Lynn.
Le fait est qu'il n' y a pas de surprise dans les résultats quand l'outil de mesure est conçu en fonction de l"esperance en sa signification.
Pour un psychologue l'intelligence correspond grosso modo en la faculté d'adaptation empreinte au darwinisme social. Pour un neuroscientifique ou un cognitif, c'est déjà autre chose.
De la même manière que le neo-darwinisme a redefini l'adaptation, beaucoup de scientifiques qui planchent sur l'intelligence humaine ont remis en question beaucoup de dogmes, sauf Lynn.
J'imagine que si je proclame qu'un dodo est plus crétin qu'un requin parce-que ce dernier bénéficie de plus de longévité, tu me prendras pour un blaireau, et tu auras bien raison ! Le raisonnement s'applique aussi à l'intelligence humaine.
Qu'une société donnée produise plus de misères qu'une autre n'a rien à voir avec l'intelligence, tu pourras trouver des explications bien plus sérieuses chez Jared Diamond par exemple.
Pour certain neuroscientifique ou cognitiviste, l'intelligence n'a plus de sens et c'est la cognition qui est significative. Que dans tel ou tel environement (société), telle ou telle cognition amène au bien-être ou à la tragédie relève de la politique, la géographie et la sociologie (les sciences molles), mais n'a rien a voir avec l'intelligence.
Le fait est qu'il n' y a pas de surprise dans les résultats quand l'outil de mesure est conçu en fonction de l"esperance en sa signification.
Pour un psychologue l'intelligence correspond grosso modo en la faculté d'adaptation empreinte au darwinisme social. Pour un neuroscientifique ou un cognitif, c'est déjà autre chose.
De la même manière que le neo-darwinisme a redefini l'adaptation, beaucoup de scientifiques qui planchent sur l'intelligence humaine ont remis en question beaucoup de dogmes, sauf Lynn.
J'imagine que si je proclame qu'un dodo est plus crétin qu'un requin parce-que ce dernier bénéficie de plus de longévité, tu me prendras pour un blaireau, et tu auras bien raison ! Le raisonnement s'applique aussi à l'intelligence humaine.
Qu'une société donnée produise plus de misères qu'une autre n'a rien à voir avec l'intelligence, tu pourras trouver des explications bien plus sérieuses chez Jared Diamond par exemple.
Pour certain neuroscientifique ou cognitiviste, l'intelligence n'a plus de sens et c'est la cognition qui est significative. Que dans tel ou tel environement (société), telle ou telle cognition amène au bien-être ou à la tragédie relève de la politique, la géographie et la sociologie (les sciences molles), mais n'a rien a voir avec l'intelligence.
Re: Richard Lynn "The global bell curve"
Merci de votre opinion :-)
Mais ne pensez-vous pas que votre vision des choses est en quelque sorte biaisée par votre idéale d'égalité entre les hommes ? Que penser sinon de la corrélation interpellante avec la capacité cranienne ? Pourquoi ne pas rester zen et considérer les choses avec froideur, ce n'est pas affirmer l'égalité qui contribuera à plus de justice.
Lynn donne l'explication suivante:
"L'explication de ces différences raciales dans l'intelligence, aujourd'hui largement acceptée, est que l'homme a évolué à partir de l'Afrique de l'Est équatorial. Il y a environ 100.000 ans, certains groupes ont émigré vers le nord, en Afrique du Nord, puis en Asie et en Europe. Ces groupes ont rencontré un environnement difficile dans lequel il n'y avait pas de plantes ou d'insectes pour se nourrir toute l'année, de sorte qu'ils ont du chasser de grands animaux comme les mammouths pour obtenir leur nourriture. Ils ont également eu à se chauffer et donc ils ont du apprendre à faire des vêtements et des abris. Ces problèmes sont devenus beaucoup plus grand durant la première époque glaciaire qui a commencé il y a environ 28.000 années et a duré jusqu'il y a environ 11.000 ans. Tous ces défis ont demandé une intelligence plus élevée. Seuls les plus intelligents ont été capables de survivre dans ces environnements difficiles alors que les moins intelligents ont péri. Un résultat visible est que la taille du cerveau en Europe et en Asie de l'Est a augmenté pour tenir compte de la plus grande intelligence nécessaire pour surmonter ces problèmes.
Ces différences raciales dans l'intelligence sont l'une des plus importantes raisons des différences dans la richesse et la pauvreté des nations qui sont présentes à travers le monde (l'autre raison principale étant la présence d'une économie de marché ou à contrario d'une certaine forme de socialisme ou le communisme, préjudiciable au développement). L'intelligence est un déterminant majeur de la compétence et de la capacité de gain, de façon inévitable l'Europe et les peuples d'Extrême-Orient dont les populations sont intelligentes atteignent des normes plus élevées de vie que les autres peuples, qui sont moins intelligents.
Ceci est souvent appelé le fossé Nord-Sud, composée de la richesse du nord de l'Europe, de l'Amérique du Nord et du Japon, et les pauvres du sud, l'Asie du Sud, l'Afrique et l'Amérique latine, mais ce n'est qu'un euphémisme par rapport aux richesses de l'Europe et de l'Extrême-Orient, peuples qui vivent principalement dans l'hémisphère nord et les pays pauvres d'Asie du sud, d'Afrique et de l'Amérique latine qui vivent dans le sud. Ces écarts de richesse sont en grande partie causés par les différences raciales dans l'intelligence.
L'idée que la pauvreté puisse être éliminée par l'annulation de dettes et la fourniture de d'avantage d'aide est vouée à l'échec.
Lorsque les peuples non-européens migrent vers l'Europe et l'Amérique du Nord, leurs faibles QI a pour conséquence qu'il est difficile pour eux de faire face dans les sociétés économiquement évoluées. L'effet des différences raciales de QI sur la capacité à faire face a été démontré pour les États-Unis par Richard Herrnstein et Charles Murray dans son livre The Bell Curve. Ils ont montré que les Noirs avec un QI moyen de 85 obtenaient de piètres résultats en matière d'éducation et de revenus, alors qu'ils ont des taux élevés de criminalité, de dépendance sociale et de chômage. Les Hispaniques sont un peu plus élevés avec un quotient intellectuel moyen généralement à environ 89 et ils font un peu mieux, alors que les Blancs et les Asiatiques (model minority) font le mieux.
Mais ne pensez-vous pas que votre vision des choses est en quelque sorte biaisée par votre idéale d'égalité entre les hommes ? Que penser sinon de la corrélation interpellante avec la capacité cranienne ? Pourquoi ne pas rester zen et considérer les choses avec froideur, ce n'est pas affirmer l'égalité qui contribuera à plus de justice.
Lynn donne l'explication suivante:
"L'explication de ces différences raciales dans l'intelligence, aujourd'hui largement acceptée, est que l'homme a évolué à partir de l'Afrique de l'Est équatorial. Il y a environ 100.000 ans, certains groupes ont émigré vers le nord, en Afrique du Nord, puis en Asie et en Europe. Ces groupes ont rencontré un environnement difficile dans lequel il n'y avait pas de plantes ou d'insectes pour se nourrir toute l'année, de sorte qu'ils ont du chasser de grands animaux comme les mammouths pour obtenir leur nourriture. Ils ont également eu à se chauffer et donc ils ont du apprendre à faire des vêtements et des abris. Ces problèmes sont devenus beaucoup plus grand durant la première époque glaciaire qui a commencé il y a environ 28.000 années et a duré jusqu'il y a environ 11.000 ans. Tous ces défis ont demandé une intelligence plus élevée. Seuls les plus intelligents ont été capables de survivre dans ces environnements difficiles alors que les moins intelligents ont péri. Un résultat visible est que la taille du cerveau en Europe et en Asie de l'Est a augmenté pour tenir compte de la plus grande intelligence nécessaire pour surmonter ces problèmes.
Ces différences raciales dans l'intelligence sont l'une des plus importantes raisons des différences dans la richesse et la pauvreté des nations qui sont présentes à travers le monde (l'autre raison principale étant la présence d'une économie de marché ou à contrario d'une certaine forme de socialisme ou le communisme, préjudiciable au développement). L'intelligence est un déterminant majeur de la compétence et de la capacité de gain, de façon inévitable l'Europe et les peuples d'Extrême-Orient dont les populations sont intelligentes atteignent des normes plus élevées de vie que les autres peuples, qui sont moins intelligents.
Ceci est souvent appelé le fossé Nord-Sud, composée de la richesse du nord de l'Europe, de l'Amérique du Nord et du Japon, et les pauvres du sud, l'Asie du Sud, l'Afrique et l'Amérique latine, mais ce n'est qu'un euphémisme par rapport aux richesses de l'Europe et de l'Extrême-Orient, peuples qui vivent principalement dans l'hémisphère nord et les pays pauvres d'Asie du sud, d'Afrique et de l'Amérique latine qui vivent dans le sud. Ces écarts de richesse sont en grande partie causés par les différences raciales dans l'intelligence.
L'idée que la pauvreté puisse être éliminée par l'annulation de dettes et la fourniture de d'avantage d'aide est vouée à l'échec.
Lorsque les peuples non-européens migrent vers l'Europe et l'Amérique du Nord, leurs faibles QI a pour conséquence qu'il est difficile pour eux de faire face dans les sociétés économiquement évoluées. L'effet des différences raciales de QI sur la capacité à faire face a été démontré pour les États-Unis par Richard Herrnstein et Charles Murray dans son livre The Bell Curve. Ils ont montré que les Noirs avec un QI moyen de 85 obtenaient de piètres résultats en matière d'éducation et de revenus, alors qu'ils ont des taux élevés de criminalité, de dépendance sociale et de chômage. Les Hispaniques sont un peu plus élevés avec un quotient intellectuel moyen généralement à environ 89 et ils font un peu mieux, alors que les Blancs et les Asiatiques (model minority) font le mieux.
- LePterodactyle
- Messages : 78
- Inscription : 15 janv. 2011, 07:30
Re: Richard Lynn "The global bell curve"
Ce qui finit bien par confirmer comme Jared Diamond le décrit que les resultats des tests de QI montrent que l'environnement et plus précisemment les conditions géographiques sont causales dans le développement historique des populations et les aptitudes des individus.
Mais tu sembles ignorer mon propos précédent qui était que justement les tests de QI de Lynn (par ailleurs contestés dans leurs élaboration mais je laisserai ce point de côté) démontrent ce qu'ils veulent prouver.
Je suis donc d'accord pour dire qu'ils sont significatifs d'une trajectoire historique dépendante de préconditions géographiques. Mais là où Lynn va trop loin, c'est qu'il réduit l'intelligence aux tests et donc se plie à la definition obsolète de capacité à l'adaptation comme si il existait une prédetermination raciale.
Les neo-darwinistes ne sont même pas aussi categoriques et parlent plutôt circonstances heureuses.
Là où ça devient sérieux, c'est quand ça aboutit à des idées comme celle que l'annulation de dettes est vouée à l'echec. Si tu acceptes que l'environnement est determinant, alors l'annulation de dettes est certainement un facteur causal dans la course des événements.
Ton post est malgré tout très intéressant et sujet à un débat de fond et tu le formule bien, Nicolas, j'espère lire d'autres avis...
Mais tu sembles ignorer mon propos précédent qui était que justement les tests de QI de Lynn (par ailleurs contestés dans leurs élaboration mais je laisserai ce point de côté) démontrent ce qu'ils veulent prouver.
Je suis donc d'accord pour dire qu'ils sont significatifs d'une trajectoire historique dépendante de préconditions géographiques. Mais là où Lynn va trop loin, c'est qu'il réduit l'intelligence aux tests et donc se plie à la definition obsolète de capacité à l'adaptation comme si il existait une prédetermination raciale.
Les neo-darwinistes ne sont même pas aussi categoriques et parlent plutôt circonstances heureuses.
Là où ça devient sérieux, c'est quand ça aboutit à des idées comme celle que l'annulation de dettes est vouée à l'echec. Si tu acceptes que l'environnement est determinant, alors l'annulation de dettes est certainement un facteur causal dans la course des événements.
Ton post est malgré tout très intéressant et sujet à un débat de fond et tu le formule bien, Nicolas, j'espère lire d'autres avis...
Re: Richard Lynn "The global bell curve"
Merci beaucoup :-) Au moins vous êtes ouvert d'esprit.
Je n'aime vraiment pas Jared Daimond car il a un parti pris idéologique. Dans "Guns, Germs, and Steel", il ne prend nullement en considération les différences intellectuelles entre les races. Il écrit "Je connais beaucoup trop d'aborigènes d'Australie intelligents pour penser qu'ils pourraient avoir une faible intelligence innée"
C'est un argument extrêmement faible: de la même manière on pourrait dire "je connais suffisament de femmes très grandes pour penser que la plus petite taille des femmes n'est pas génétique".
Il explique ensuite que l'absence de civilisation des aborigènes d'Australie est due à "l'abscence d'animaux domesticables" puis trois lignes plus loin il parle d'un animal domestiqué par les européens sitot arrivés... Il n'y a aucune mention de la capacité cranienne des aborigènes d'Australie, 1180 cm cubes contre 1369 pour un européen... ni des résultats aux tests de Q.I montrant que les aborigènes d'Australie ont en moyenne un Q.I de 62, l'age mental d'un européen de 10 ans !! Les aborigènes ont une durée gestationnelle plus courte... la taille du pelvis des aborigènes est plus étroite car la taille du crane à la naissance est plus petite... tout montre que les aborigènes sont plus proches des homo erectus.
Il traite Lynn et Rushton de "raciste" (un peu faible comme argument...) et affirme que "The bell curve est tendancieux" (alors que c'est quand même écrit par Hernstein, professeur en sciences politiques à Harvard).
La question de ce qu'est l'intelligence est difficile... je ne sais pas y répondre qualitativement mais bien quantitativement: l'intelligence est une caractéristique organique qui est davantage présente chez un grand singe (Q.I de 20-25) que chez un chien (Q.I de 15), chez un européen de 5 ans (Q.I de 35) plus que chez un européen de 10 ans (Q.I de 70), plus présent chez un européen de 14 ans (Q.I de 88) que chez un européen de 10 ans et plus présent chez un européen adulte (100) que chez un européen de 14 ans.
Sur cette échelle les différentes races n'arrivent pas au même stade: les aborigènes n'arrivent en moyenne qu'au niveau intellectuel d'un européen de 10 ans, les africains 13 ans (80 de Q.I moyen), les nord africains 14 ans (88). Dans le traité "mainstream science on intelligence" signé par 52 spécialistes de l'intelligence on peut lire que en Amérique les afro-américains de 17 ans réussissent en moyenne de la même manière que des européens de 13 ans en math, science et anglais.
Il y a de nombreuses preuves montrant une causalité génétique, je peux vous donner une liste si vous voulez.
Je n'aime vraiment pas Jared Daimond car il a un parti pris idéologique. Dans "Guns, Germs, and Steel", il ne prend nullement en considération les différences intellectuelles entre les races. Il écrit "Je connais beaucoup trop d'aborigènes d'Australie intelligents pour penser qu'ils pourraient avoir une faible intelligence innée"
C'est un argument extrêmement faible: de la même manière on pourrait dire "je connais suffisament de femmes très grandes pour penser que la plus petite taille des femmes n'est pas génétique".
Il explique ensuite que l'absence de civilisation des aborigènes d'Australie est due à "l'abscence d'animaux domesticables" puis trois lignes plus loin il parle d'un animal domestiqué par les européens sitot arrivés... Il n'y a aucune mention de la capacité cranienne des aborigènes d'Australie, 1180 cm cubes contre 1369 pour un européen... ni des résultats aux tests de Q.I montrant que les aborigènes d'Australie ont en moyenne un Q.I de 62, l'age mental d'un européen de 10 ans !! Les aborigènes ont une durée gestationnelle plus courte... la taille du pelvis des aborigènes est plus étroite car la taille du crane à la naissance est plus petite... tout montre que les aborigènes sont plus proches des homo erectus.
Il traite Lynn et Rushton de "raciste" (un peu faible comme argument...) et affirme que "The bell curve est tendancieux" (alors que c'est quand même écrit par Hernstein, professeur en sciences politiques à Harvard).
La question de ce qu'est l'intelligence est difficile... je ne sais pas y répondre qualitativement mais bien quantitativement: l'intelligence est une caractéristique organique qui est davantage présente chez un grand singe (Q.I de 20-25) que chez un chien (Q.I de 15), chez un européen de 5 ans (Q.I de 35) plus que chez un européen de 10 ans (Q.I de 70), plus présent chez un européen de 14 ans (Q.I de 88) que chez un européen de 10 ans et plus présent chez un européen adulte (100) que chez un européen de 14 ans.
Sur cette échelle les différentes races n'arrivent pas au même stade: les aborigènes n'arrivent en moyenne qu'au niveau intellectuel d'un européen de 10 ans, les africains 13 ans (80 de Q.I moyen), les nord africains 14 ans (88). Dans le traité "mainstream science on intelligence" signé par 52 spécialistes de l'intelligence on peut lire que en Amérique les afro-américains de 17 ans réussissent en moyenne de la même manière que des européens de 13 ans en math, science et anglais.
Il y a de nombreuses preuves montrant une causalité génétique, je peux vous donner une liste si vous voulez.
- HarryCauvert
- Messages : 1188
- Inscription : 26 juin 2010, 15:57
Re: Richard Lynn "The global bell curve"
Des gens qui opèrent une classification entre les "races", quel autre mot conviendrait mieux pour les décrire? Martyrs de la science? Galilées persécutés? Mères Teresa de la crâniologie?Nicolas a écrit :Il traite Lynn et Rushton de "raciste" (un peu faible comme argument...)
Petite remarque: la tarte à la crème "QI/intelligence/races" a déjà été abordée en long en large et en travers ici. Ce serait peut-être bien d'aller y jeter un œil

[edit: essayons avec une taille de caractères plus lisible.]
Dernière modification par HarryCauvert le 18 janv. 2011, 04:03, modifié 1 fois.
Juste pour le fun: Fitz And The Tantrums, The Walker
Re: Richard Lynn "The global bell curve"
Je remarque que vous n'avez pas d'argument à mettre en avant. Il y a des différences raciales en terme d'intelligence. D'ailleurs Serge Larivée, professeur à l'université de Montréal, a signé le traité mainstream science on intelligence.
Il y a 12 arguments majeurs qui démontrent l'existence et l'importance de facteurs génétiques innés dans les différences intellectuelles. Cette liste s'allonge chaque année.
Prenons la comparaison entre la race noire et la race caucasienne, car c'est celle qui est le plus détaillée dans l'ouvrage de Richard Lynn, il va de soit que les arguments sont extrapolables à d'autres comparaisons.
1. Les deux races ont évolué indépendamment l'une de l'autre et dans des milieux différents pendant une période de cent mille ans. (Stringer, 1989; Cavalli-Sforza, 2000) Quand deux populations évoluent isolément l'une de l'autre pendant une telle période il y a des différences qui apparaissent dans tous les domaines dans lesquels il y a des possibilités de variations génétiques. La position environnementaliste extrême, postulant qu'il n'y a pas de différences intellectuelles entre deux races défie le principe général de l'évolution biologique et peut être vu comme impossible.
2. Les africains obtiennent des Q.I assez semblables dans de nombreuses localisations différentes, que ce soit en Afrique sub-saharienne, en Amérique du sud ou du nord ou en Europe cela doit être considéré comme la preuve d'un fort facteur génétique.
3. Le haut niveau d'héritabilité trouvé chez des vrais jumeaux en Amérique, en Europe, au Japon et en Inde montre que l'intelligence est fortement déterminée par des facteurs génétiques. L’héritabilité de l’intelligence atteint 0,83 à l’âge adulte, ce qui signifie que quelque soit la race 83 pourcent de la variance intellectuelle est causée par des facteurs génétiques, l'héritabilité de l'intelligence chez les noirs est également de 0,83.
4. Les africains ont une capacité crânienne moyenne inférieure de 90 cm cubes à celles des caucasiens. Ces différences de volume crâniens entre caucasiens et noirs démontrent l'existence de facteurs génétiques, car l'héritabilité des volumes crâniens est de 0,9 et la corrélation entre l'intelligence et les volumes crâniens est de 0,4.
5. De nombreux égalitaristes ont proposé que le racisme des blancs pouvait diminuer le Q.I des noirs, mais il n'y a pas d'explication qui puisse expliquer comment le racisme pourrait diminuer le Q.I, et pourquoi alors le Q.I des africains d'Afrique noire serait il de 67 ? Si le racisme diminue l'intelligence, il est curieux que les juifs d'Amérique et d'Angleterre aient un Q.I de 108, alors qu'ils ont été exposés au racisme depuis des siècles. Le haut Q.I des juifs américains est bien connu depuis 1930.
6. Les enfants noirs adoptés par des parents blancs obtiennent les mêmes scores que la prédiction raciale. Il persiste une différence de 17 points de Q.I entre blancs et noirs élevés dans les mêmes conditions. Etre élevé par des parents adoptifs blancs n'a pas d'effet positif sur l'intelligence des noirs.
7. Le Q.I des hybrides est intermédiaire entre celui des deux races parentales, de même que le volume cranien, qui est lui aussi intermédaire entre celui des deux races parentales.
8. Il a été montré une différence significatives entre les européens et les africains en terme de temps de réaction. Le temps de réaction est corrélé au Q.I, car l'un comme l'autre sont des signes d'efficience du système nerveux central. Les caucasiens réagissent en moyenne plus vite à un stimulus.
Les temps de réaction sont mesurés comme suit: L'individu est placé devant une petite lampe qui va s'allumer. Chaque fois que c'est le cas, il appuie simplement sur le bouton placé devant lui.
C'est un signe de l'efficience du système nerveux puisque c'est en quelque sorte un traitement basique de l'information qui doit remonter jusqu'au cerveau puis redescendre pour appuyer sur le bouton. Les temps de réaction sont mesurés en millisecondes.
9. Plus l’admixture blanche est importante, plus le poids cérébral moyen d’un africain est élevé (tests génétiques indépendants de la couleur de la peau). Plus l’ad mixture blanche est importante et plus le Q.I des noirs est important.
10. Les différences raciales de capacité cranienne sont corrélées à 76 traits musculo squelettiques identifiés dans des ouvrages standards d’anatomie évolutive comme étant systématiquement liés à une augmentation de la capacité cranienne chez les hominidés.
A consulter absolument:
http://www.ssc.uwo.ca/psychology/facult ... lution.pdf
Parmi ces différences, on retrouve :
-Le diamètre transversal du pelvis : L’augmentation de la capacité crânienne et de l’intelligence a été de paire avec une augmentation du diamètre transversal du pelvis, pour permettre le passage du crâne à la naissance. Les africains ont un diamètre pelvien significativement plus petit que celui des européens. (27,4 cm contre seulement 24,6 pour les africains)
-En conséquence d’un pelvis plus large, le fémur, (l’os de la cuisse) qui s’insère au niveau du bassin, s’est incurvé puisqu’en dépit d’un bassin qui grandissait, espaçant les insérions fémorales et provoquant un angle plus large pour la sortie des deux fémurs, il fallait impérativement que le genou fasse une jonction correcte avec le péroné, provoquant une incurvation du fémur. Les européens une incurvation fémorale significativement plus importante que celle des africains.
-Tandis que l’intelligence et la capacité crânienne ont augmenté, les crânes sont devenus plus sphériques et profonds. Les européens ont des cerveaux significativement plus sphériques, plus profonds et plus gros.
-L’augmentation de la sphéricité a donc réduit les protubérances, notamment le processus mastoïde. Les blancs ont un processus mastoïde significativement plus petit que les noirs.
-L’augmentation de la capacité crânienne s’est produite vers l’avant du crâne, il en a résulté une diminution du prognathisme et une augmentation de l’orthognathisme (face plus plate). Les européens ont une face significativement moins prognathe et plus orthognathes que les africains.
11. Les africains n'ont pas qu'un cerveau de plus petite taille identique à celui des blancs, il y a également des différences qualitatives:
-Le cortex des africains est en moyenne moins circonvolué.
-Le cortex des africains est en moyenne 15 pourcent plus fin que celui des européens.
-Les africains ont un lobe frontal et occipital plus petit et un lobe pariétal plus large.
-Les africains ont une proportion de neurones pyramidaux moindre à celle des européens.
12. Si l'intelligence est génétique, c'est donc qu'elle est dictée par certains gènes qui doivent avoir une plus grande fréquence chez les européens que chez les africains.
Certains gènes ont déjà été liés à un gain intellectuel et ils montrent de fait une fréquence supérieure chez les européens.
-Le gène de la myopie congénitale (myopie de naissance), trait qui se transmet de façon homozygote récessive, montre une fréquence supérieure chez les européens et moindre chez les africains. Les myopes de naissance montrent un gain de 7 points de Q.I sur la moyenne nationale.
Un article de Lynn publié en 2010:
Existence des différences raciales dans l'intelligence depuis les 10 mille dernières années.
http://xa.yimg.com/kq/groups/1292538/23 ... cherts.pdf
Il y a 12 arguments majeurs qui démontrent l'existence et l'importance de facteurs génétiques innés dans les différences intellectuelles. Cette liste s'allonge chaque année.
Prenons la comparaison entre la race noire et la race caucasienne, car c'est celle qui est le plus détaillée dans l'ouvrage de Richard Lynn, il va de soit que les arguments sont extrapolables à d'autres comparaisons.
1. Les deux races ont évolué indépendamment l'une de l'autre et dans des milieux différents pendant une période de cent mille ans. (Stringer, 1989; Cavalli-Sforza, 2000) Quand deux populations évoluent isolément l'une de l'autre pendant une telle période il y a des différences qui apparaissent dans tous les domaines dans lesquels il y a des possibilités de variations génétiques. La position environnementaliste extrême, postulant qu'il n'y a pas de différences intellectuelles entre deux races défie le principe général de l'évolution biologique et peut être vu comme impossible.
2. Les africains obtiennent des Q.I assez semblables dans de nombreuses localisations différentes, que ce soit en Afrique sub-saharienne, en Amérique du sud ou du nord ou en Europe cela doit être considéré comme la preuve d'un fort facteur génétique.
3. Le haut niveau d'héritabilité trouvé chez des vrais jumeaux en Amérique, en Europe, au Japon et en Inde montre que l'intelligence est fortement déterminée par des facteurs génétiques. L’héritabilité de l’intelligence atteint 0,83 à l’âge adulte, ce qui signifie que quelque soit la race 83 pourcent de la variance intellectuelle est causée par des facteurs génétiques, l'héritabilité de l'intelligence chez les noirs est également de 0,83.
4. Les africains ont une capacité crânienne moyenne inférieure de 90 cm cubes à celles des caucasiens. Ces différences de volume crâniens entre caucasiens et noirs démontrent l'existence de facteurs génétiques, car l'héritabilité des volumes crâniens est de 0,9 et la corrélation entre l'intelligence et les volumes crâniens est de 0,4.
5. De nombreux égalitaristes ont proposé que le racisme des blancs pouvait diminuer le Q.I des noirs, mais il n'y a pas d'explication qui puisse expliquer comment le racisme pourrait diminuer le Q.I, et pourquoi alors le Q.I des africains d'Afrique noire serait il de 67 ? Si le racisme diminue l'intelligence, il est curieux que les juifs d'Amérique et d'Angleterre aient un Q.I de 108, alors qu'ils ont été exposés au racisme depuis des siècles. Le haut Q.I des juifs américains est bien connu depuis 1930.
6. Les enfants noirs adoptés par des parents blancs obtiennent les mêmes scores que la prédiction raciale. Il persiste une différence de 17 points de Q.I entre blancs et noirs élevés dans les mêmes conditions. Etre élevé par des parents adoptifs blancs n'a pas d'effet positif sur l'intelligence des noirs.
7. Le Q.I des hybrides est intermédiaire entre celui des deux races parentales, de même que le volume cranien, qui est lui aussi intermédaire entre celui des deux races parentales.
8. Il a été montré une différence significatives entre les européens et les africains en terme de temps de réaction. Le temps de réaction est corrélé au Q.I, car l'un comme l'autre sont des signes d'efficience du système nerveux central. Les caucasiens réagissent en moyenne plus vite à un stimulus.
Les temps de réaction sont mesurés comme suit: L'individu est placé devant une petite lampe qui va s'allumer. Chaque fois que c'est le cas, il appuie simplement sur le bouton placé devant lui.
C'est un signe de l'efficience du système nerveux puisque c'est en quelque sorte un traitement basique de l'information qui doit remonter jusqu'au cerveau puis redescendre pour appuyer sur le bouton. Les temps de réaction sont mesurés en millisecondes.
9. Plus l’admixture blanche est importante, plus le poids cérébral moyen d’un africain est élevé (tests génétiques indépendants de la couleur de la peau). Plus l’ad mixture blanche est importante et plus le Q.I des noirs est important.
10. Les différences raciales de capacité cranienne sont corrélées à 76 traits musculo squelettiques identifiés dans des ouvrages standards d’anatomie évolutive comme étant systématiquement liés à une augmentation de la capacité cranienne chez les hominidés.
A consulter absolument:
http://www.ssc.uwo.ca/psychology/facult ... lution.pdf
Parmi ces différences, on retrouve :
-Le diamètre transversal du pelvis : L’augmentation de la capacité crânienne et de l’intelligence a été de paire avec une augmentation du diamètre transversal du pelvis, pour permettre le passage du crâne à la naissance. Les africains ont un diamètre pelvien significativement plus petit que celui des européens. (27,4 cm contre seulement 24,6 pour les africains)
-En conséquence d’un pelvis plus large, le fémur, (l’os de la cuisse) qui s’insère au niveau du bassin, s’est incurvé puisqu’en dépit d’un bassin qui grandissait, espaçant les insérions fémorales et provoquant un angle plus large pour la sortie des deux fémurs, il fallait impérativement que le genou fasse une jonction correcte avec le péroné, provoquant une incurvation du fémur. Les européens une incurvation fémorale significativement plus importante que celle des africains.
-Tandis que l’intelligence et la capacité crânienne ont augmenté, les crânes sont devenus plus sphériques et profonds. Les européens ont des cerveaux significativement plus sphériques, plus profonds et plus gros.
-L’augmentation de la sphéricité a donc réduit les protubérances, notamment le processus mastoïde. Les blancs ont un processus mastoïde significativement plus petit que les noirs.
-L’augmentation de la capacité crânienne s’est produite vers l’avant du crâne, il en a résulté une diminution du prognathisme et une augmentation de l’orthognathisme (face plus plate). Les européens ont une face significativement moins prognathe et plus orthognathes que les africains.
11. Les africains n'ont pas qu'un cerveau de plus petite taille identique à celui des blancs, il y a également des différences qualitatives:
-Le cortex des africains est en moyenne moins circonvolué.
-Le cortex des africains est en moyenne 15 pourcent plus fin que celui des européens.
-Les africains ont un lobe frontal et occipital plus petit et un lobe pariétal plus large.
-Les africains ont une proportion de neurones pyramidaux moindre à celle des européens.
12. Si l'intelligence est génétique, c'est donc qu'elle est dictée par certains gènes qui doivent avoir une plus grande fréquence chez les européens que chez les africains.
Certains gènes ont déjà été liés à un gain intellectuel et ils montrent de fait une fréquence supérieure chez les européens.
-Le gène de la myopie congénitale (myopie de naissance), trait qui se transmet de façon homozygote récessive, montre une fréquence supérieure chez les européens et moindre chez les africains. Les myopes de naissance montrent un gain de 7 points de Q.I sur la moyenne nationale.
Un article de Lynn publié en 2010:
Existence des différences raciales dans l'intelligence depuis les 10 mille dernières années.
http://xa.yimg.com/kq/groups/1292538/23 ... cherts.pdf
Re: Richard Lynn "The global bell curve"
Alors plus de commentaires ?
- Feel O'Zof
- Messages : 1186
- Inscription : 21 juil. 2006, 19:05
Re: Richard Lynn "The global bell curve"
J'aurais une question: Comment Lynn s'y est-il pris pour définir ces dix races? Je veux dire, pourquoi diviser de cette façon et pas d'une autre? Pourquoi pas prendre juste quatre races ou trente-sept?
Et, je ne vois pas non plus comment il a pu écarter l'influence des facteurs socioculturels. Comment peut-il savoir que les corrélations qu'il dit observer sont uniquement le fruit de variations génétiques?

Et, je ne vois pas non plus comment il a pu écarter l'influence des facteurs socioculturels. Comment peut-il savoir que les corrélations qu'il dit observer sont uniquement le fruit de variations génétiques?
T'es sûr?-Le cortex des africains est en moyenne moins circonvolué.
-Le cortex des africains est en moyenne 15 pourcent plus fin que celui des européens.
-Les africains ont un lobe frontal et occipital plus petit et un lobe pariétal plus large.
-Les africains ont une proportion de neurones pyramidaux moindre à celle des européens.

Pour plus de détails sur mes opinions, consultez mon blogue philosophique et laissez-y vos commentaires.
- LePterodactyle
- Messages : 78
- Inscription : 15 janv. 2011, 07:30
Re: Richard Lynn "The global bell curve"
Bonjour Nicolas,
Pour un cognitiviste, l'intelligence ne se définit pas en fonction de la taille du cerveau, même les anciens modèles statiques du cerveau sont bogus. On est beaucoup plus proche de modèle dynamique proche des théories computationelles.
Un simple exemple, vous serez d'accord avec moi qu'un brillant footballer n'est pas nécessairement détenteur d'un QI de plus de 120 (je soupçonne même certain français de flirter avec les 60). Pourtant ses prouesses sur le terrain montrent une complexité hallucinante en termes de cognitions. Il faut prendre les meilleures décisions dans un temps les plus courts dans un espace dynamique très complexe. Suivant la définition traditionnelle d'intelligence comme faculté d'adaptation, malgé un QI de 60, le footballer brillant est intelligent.
Pour un cognitiviste, l'intelligence ne se définit pas en fonction de la taille du cerveau, même les anciens modèles statiques du cerveau sont bogus. On est beaucoup plus proche de modèle dynamique proche des théories computationelles.
Un simple exemple, vous serez d'accord avec moi qu'un brillant footballer n'est pas nécessairement détenteur d'un QI de plus de 120 (je soupçonne même certain français de flirter avec les 60). Pourtant ses prouesses sur le terrain montrent une complexité hallucinante en termes de cognitions. Il faut prendre les meilleures décisions dans un temps les plus courts dans un espace dynamique très complexe. Suivant la définition traditionnelle d'intelligence comme faculté d'adaptation, malgé un QI de 60, le footballer brillant est intelligent.
Ça avait failli mal tourner
Salut Nicolas,
Tu demandes :
Le problème, avec ton sujet, c'est qu'il est hautement explosif. Il heurte d'aplomb des idéologies fortes.Alors plus de commentaires ?
Il en a déjà été question sur le forum (Ex.1 - Ex.2) et ça avait failli mal tourner.
Je suppose que plusieurs ont tout simplement souhaité ne pas revivre ces moments pénibles.
C'est comme si au traditionnel party familial du dernier Jour de l'An, un débat sur un sujet sensible avait viré en bagarre générale à coups de chaises. Si, au party du Jour de l'An suivant, avec les mêmes personnes, le même sujet revient, ça risque de créer un malaise.
Grosso modo.

Les meilleures sorties de route sont celles qui font le moins de tonneaux.
Re: Richard Lynn "The global bell curve"
On ne sais pas clairement définir ce qu'est l’intelligence humaine et le QI n'est qu'un moyen très imparfait de la représenter, sans compter que les méthodes pour le mesurer donnent des résultats qui ne sont pas homogènes et donc à prendre avec beaucoup de recul.
Il n'y pas de "race" au niveau humain, juste des caractéristiques physiologiques différentse qui représentent plus un arc-en-ciel qu'un ensemble de groupes disctincts.
Vouloir bâtir une théorie raciste à l'aide de ces deux paramètres est un exercice périeux qui ne peut déboucher sur quelque chose de très pertinent.
Il n'y pas de "race" au niveau humain, juste des caractéristiques physiologiques différentse qui représentent plus un arc-en-ciel qu'un ensemble de groupes disctincts.
Vouloir bâtir une théorie raciste à l'aide de ces deux paramètres est un exercice périeux qui ne peut déboucher sur quelque chose de très pertinent.
« La Science est une méthode pour décider si ce que nous choisissons de croire se base ou non sur les lois de la Nature ».
- HarryCauvert
- Messages : 1188
- Inscription : 26 juin 2010, 15:57
Re: Ça avait failli mal tourner
C'est le racisme, et non sa critique, que j'aurais qualifié "d'idéologie forte", mais pour le reste ton commentaire joliment imagé résume bien les choses.Denis a écrit :Le problème, avec ton sujet, c'est qu'il est hautement explosif. Il heurte d'aplomb des idéologies fortes
Juste pour le fun: Fitz And The Tantrums, The Walker
- Wooden Ali
- Messages : 5070
- Inscription : 09 déc. 2006, 21:31
Re: Richard Lynn "The global bell curve"
Dommage, Denis ! Tu avais trouvé ici un coreligionnaire de poids. Un vrai, un dur, un tatoué. Un comme tu les aimes, qui sait regarder les faits tels qu'ils sont et non pas à travers le prisme déformé du politiquement correct et d'une sensiblerie d'un autre âge. Et, qui sait parfaitement, Kirsche auf dem Kuchen, faire la différence entre un juif ashkénaze, intelligent et éduqué et un juif séfarade au front bas et au nez crochu, lui.Denis a écrit :Le problème, avec ton sujet, c'est qu'il est hautement explosif. Il heurte d'aplomb des idéologies fortes.
Peut-être un peu trop caricatural pour ta délicate sensibilité ?

Les faits ne pénètrent pas dans le monde où vivent nos croyances. Marcel Proust
Gloire à qui n'ayant pas d'idéal sacro-saint
Se borne à ne pas trop emmerder ses voisins ! Georges Brassens
Mon Dieu ! Mon Dieu ! Pourquoi m'as-tu abandonné ? Dieu
Gloire à qui n'ayant pas d'idéal sacro-saint
Se borne à ne pas trop emmerder ses voisins ! Georges Brassens
Mon Dieu ! Mon Dieu ! Pourquoi m'as-tu abandonné ? Dieu
Re: Richard Lynn "The global bell curve"
Feel O'Zof a dit:
"J'aurais une question: Comment Lynn s'y est-il pris pour définir ces dix races? Je veux dire, pourquoi diviser de cette façon et pas d'une autre? Pourquoi pas prendre juste quatre races ou trente-sept?"
C'est très simple, il a pris les 9 grandes races d'homo sapiens telles que déterminées par la génétique. http://intelligence.wikeo.be/racesssss.html#race
Qu'est-ce qu'une race ? La définition biologique d'une race:
Subdivision d'une espèce qui hérite des caractéristiques la distinguant des autres populations de l'espèce. Au sens génétique une race est une population qui diffère dans l'incidence de certains gènes des autres populations, conséquence d'une isolation, le plus souvent géographique.
LePterodactyle a dit:
Pourtant ses prouesses sur le terrain montrent une complexité hallucinante en termes de cognitions. Il faut prendre les meilleures décisions dans un temps les plus courts dans un espace dynamique très complexe. Suivant la définition traditionnelle d'intelligence comme faculté d'adaptation, malgé un QI de 60, le footballer brillant est intelligent.
Non, je ne suis pas d'accord avec vous. Je crois que les grands footballers ont un Q.I au dessus de la moyenne. Penser qu'ils pourraient avoir 60 de Q.I est absurde et de toute manière on ne discute pas sur base de cas anecdotiques. Vous parlez des footballeurs puis vous extrapollez une théorie. Un singe peut également faire des prouesses dans un arbre ce n'est pas de l'intelligence c'est de l'ordre du réflexe. Généralement on place plus volontiers des noirs aux postes qui demandent une haute aptitude à la course, alors qu'on placera des européens dans les postes qui demandent plus d'intellect dans le jeu.
Switch dit:
Il n'y pas de "race" au niveau humain, juste des caractéristiques physiologiques différentse qui représentent plus un arc-en-ciel qu'un ensemble de groupes disctincts
C'est totalement inexacte monsieur. La race est une variable discrète et non pas continue. Il existe 9 grandes races d'homo sapiens. Vous reprenez des arguments de propagande. Je vous invite à lire "race", écrit par John R. Baker, professeur de biologie à Oxford. Cet article est aussi un bon résumé: http://intelligence.wikeo.be/racesssss.html#race
Il y a une définition quantitative de l'intelligence humaine:
L'intelligence est une caractéristique organique que l'on retrouve davantage chez un européen de 10 ans que chez un européen de 5 ans, plus chez un européen de 14 ans que chez un européen de 10 ans et plus chez un adulte que chez un enfant de 14 ans.
Ceci étant, les différentes races d'homo sapiens ne se positionnent pas au même niveau car toute n'atteignent pas la même maturation du système nerveux. Un africain adulte a en moyenne l'age mental d'un européen de 13 ans et demi. (Q.I de 80 en moyenne avec 13,9 d'écart-type). A l'inverse les est-asiatiques ont un cerveau plus évolué, plus gros et qui mature plus lentement. Si vous faites passer des matrices de raven a un chinois élevé dans son usine il aura en moyenne 8 points de plus qu'un européen éduqué.
"J'aurais une question: Comment Lynn s'y est-il pris pour définir ces dix races? Je veux dire, pourquoi diviser de cette façon et pas d'une autre? Pourquoi pas prendre juste quatre races ou trente-sept?"
C'est très simple, il a pris les 9 grandes races d'homo sapiens telles que déterminées par la génétique. http://intelligence.wikeo.be/racesssss.html#race
Qu'est-ce qu'une race ? La définition biologique d'une race:
Subdivision d'une espèce qui hérite des caractéristiques la distinguant des autres populations de l'espèce. Au sens génétique une race est une population qui diffère dans l'incidence de certains gènes des autres populations, conséquence d'une isolation, le plus souvent géographique.
LePterodactyle a dit:
Pourtant ses prouesses sur le terrain montrent une complexité hallucinante en termes de cognitions. Il faut prendre les meilleures décisions dans un temps les plus courts dans un espace dynamique très complexe. Suivant la définition traditionnelle d'intelligence comme faculté d'adaptation, malgé un QI de 60, le footballer brillant est intelligent.
Non, je ne suis pas d'accord avec vous. Je crois que les grands footballers ont un Q.I au dessus de la moyenne. Penser qu'ils pourraient avoir 60 de Q.I est absurde et de toute manière on ne discute pas sur base de cas anecdotiques. Vous parlez des footballeurs puis vous extrapollez une théorie. Un singe peut également faire des prouesses dans un arbre ce n'est pas de l'intelligence c'est de l'ordre du réflexe. Généralement on place plus volontiers des noirs aux postes qui demandent une haute aptitude à la course, alors qu'on placera des européens dans les postes qui demandent plus d'intellect dans le jeu.
Switch dit:
Il n'y pas de "race" au niveau humain, juste des caractéristiques physiologiques différentse qui représentent plus un arc-en-ciel qu'un ensemble de groupes disctincts
C'est totalement inexacte monsieur. La race est une variable discrète et non pas continue. Il existe 9 grandes races d'homo sapiens. Vous reprenez des arguments de propagande. Je vous invite à lire "race", écrit par John R. Baker, professeur de biologie à Oxford. Cet article est aussi un bon résumé: http://intelligence.wikeo.be/racesssss.html#race
Il y a une définition quantitative de l'intelligence humaine:
L'intelligence est une caractéristique organique que l'on retrouve davantage chez un européen de 10 ans que chez un européen de 5 ans, plus chez un européen de 14 ans que chez un européen de 10 ans et plus chez un adulte que chez un enfant de 14 ans.
Ceci étant, les différentes races d'homo sapiens ne se positionnent pas au même niveau car toute n'atteignent pas la même maturation du système nerveux. Un africain adulte a en moyenne l'age mental d'un européen de 13 ans et demi. (Q.I de 80 en moyenne avec 13,9 d'écart-type). A l'inverse les est-asiatiques ont un cerveau plus évolué, plus gros et qui mature plus lentement. Si vous faites passer des matrices de raven a un chinois élevé dans son usine il aura en moyenne 8 points de plus qu'un européen éduqué.
- Feel O'Zof
- Messages : 1186
- Inscription : 21 juil. 2006, 19:05
Re: Richard Lynn "The global bell curve"
Impossible, puisque les généticiens ont rejeté le concept de races depuis un moment déjà.Nicolas a écrit :C'est très simple, il a pris les 9 grandes races d'homo sapiens telles que déterminées par la génétique. http://intelligence.wikeo.be/racesssss.html#race
Mais on pourrait dire que toutes les populations diffère dans l'incidence de nombreux gènes. Ce que je veux dire, c'est que j'aurais beau diviser les groupes n'importe comment : que je compare les Noirs avec les Blancs, les plombiers avec les notaires ou les verseaux avec les sagittaires, il est pratiquement impossible que j'obtienne exactement la même moyenne dans les deux cas pour ce qui est d'une variation génétique ou phénotypique. Ce serait une coïncidence incroyable.Nicolas a écrit :Qu'est-ce qu'une race ? La définition biologique d'une race:
Subdivision d'une espèce qui hérite des caractéristiques la distinguant des autres populations de l'espèce. Au sens génétique une race est une population qui diffère dans l'incidence de certains gènes des autres populations, conséquence d'une isolation, le plus souvent géographique.
Donc, la question qu'on pourrait se poser, c'est à partir de quel niveau de différences deux populations deviennent-elles deux races selon vous?
Donc tous les individus appartiennent à une et à une seule de ces neuf races et il n'existe aucun individu intermédiaire?La race est une variable discrète et non pas continue. Il existe 9 grandes races d'homo sapiens. Vous reprenez des arguments de propagande.
J'ai parcouru légèrement votre unique source. Je pense que c'est la même que celle notre ami Denis m'avait déjà présenté sur le sujet. Surprenant que des gens qui prétendent connaître si bien l'intelligence ne soit pas en mesure de trouver une personne assez intelligente pour faire un site web qui ne soit pas bourré de coquilles.
Auriez-vous une source plus sérieuse sur le sujet? Disons, qui serait affiliée à une université par exemple? Ah mais non, suis-je bête, les universités - tout comme les médias, dont les publications scientifiques - sont manipulées par les vilains conspirateurs communistes qui veulent nous faire croire à leur idéologie égalitariste. C'est ça?

Sérieusement, je ne pense pas que tous les membres de l'espèce humaine soient exactement aussi intelligent les uns que les autres. Ce serait un hasard trop incroyable et c'est très certainement idéologique que de l'affirmer. Toutefois, il me semble plus logique d'attribuer la variation d'intelligence entre les populations à des causes socioéconomiques lorsqu'il y en a (surtout lorsqu'elles sont aussi manifestes qu'en ce moment) avant de rechercher des corrélations avec la pigmentation, la myopie ou le signe astrologique. J'ajouterai que de croire en l'existence des races humaines de nos jours c'est tout simplement être en retard sur la science (tout comme le fait d'être créationniste ou géocentriste).
Pour plus de détails sur mes opinions, consultez mon blogue philosophique et laissez-y vos commentaires.
Re: Richard Lynn "The global bell curve"
Bonsoir
Donc , si j'ai bien compris l'étude plus haut , Barrack obama est un idiot et denzel washington aussi et mon PK suban est juste habille avec son hockey , aucun rapport avec l'intélligence....?
Je pense que ça n'a pas beaucoup d'allure cette étude...
Ovide
Donc , si j'ai bien compris l'étude plus haut , Barrack obama est un idiot et denzel washington aussi et mon PK suban est juste habille avec son hockey , aucun rapport avec l'intélligence....?
Je pense que ça n'a pas beaucoup d'allure cette étude...

Ovide
La plupart des zozos ont un mode d'argumentation qui ne méritent que des coups de la légendaire massue de la rationalité transfixée du clou du sarcasme ...
REF; un sceptique de ce forum....!
REF; un sceptique de ce forum....!
Tu as compris tout croche
Salut ovide,
Tu dis :
Non.Donc , si j'ai bien compris l'étude plus haut , Barrack obama est un idiot et denzel washington aussi...
Tu n'as pas bien compris.
Si c'est ce que tu as compris, tu as compris tout croche.

Les meilleures sorties de route sont celles qui font le moins de tonneaux.
Re: Tu as compris tout croche
Ah bon, pourtant denzel et Barack ont des racines africaines et selon l'étude , ils ont environs (67-80 ) de QI....?Denis a écrit :Salut ovide,
Tu dis :Non.Donc , si j'ai bien compris l'étude plus haut , Barrack obama est un idiot et denzel washington aussi...
Tu n'as pas bien compris.
Si c'est ce que tu as compris, tu as compris tout croche.
Denis
Explique-moi , les détails que j'ai manqué svp...

Ovide
La plupart des zozos ont un mode d'argumentation qui ne méritent que des coups de la légendaire massue de la rationalité transfixée du clou du sarcasme ...
REF; un sceptique de ce forum....!
REF; un sceptique de ce forum....!
Ce que tu as manqué
Salut ovide,
Tu dis :
Ce que tu as manqué, c'est peut-être ce qu'a écrit Nicolas au début de ce message.Ah bon, pourtant denzel et Barack ont des racines africaines et selon l'étude , ils ont environs (67-80 ) de QI....?
Explique-moi , les détails que j'ai manqué svp...![]()
Ce que tu as manqué, c'est que ces deux mauvais arguments (le tien et celui sur la taille des femmes) sont de même farine et aussi trottinettiens l'un que l'autre.Nicolas a écrit :C'est un argument extrêmement faible: de la même manière on pourrait dire "je connais suffisament de femmes très grandes pour penser que la plus petite taille des femmes n'est pas génétique".
J'espère que tu le vois, maintenant, ce que tu as manqué.
Le vois-tu ?

Les meilleures sorties de route sont celles qui font le moins de tonneaux.
- HarryCauvert
- Messages : 1188
- Inscription : 26 juin 2010, 15:57
Re: Tu as compris tout croche
Ce qu'on comprend très bien, c'est pourquoi tu sors la loupe pour scruter une blagounette d'Ovide tandis que tu t'abstiens de rebondir sur le commentaire de Feel.Denis a écrit :Si c'est ce que tu as compris, tu as compris tout croche.
A part ça oui, on sait, le racisme pseudoscientifique n'affirme pas que "les Noirs sont cons" mais que "les Noirs sont en moyenne plus cons que les Blancs". On sait aussi qu'un tel verdict n'est nullement méchant puisque "les chats sont en moyenne plus cons que les Noirs" or on sait combien les racistes aiment (parfois) les animaux.
Il ne reste plus aux Noirs qu'à apprendre à miauler et ronronner comme du monde, et tout ira bien dans le meilleur des mondes possibles.
Juste pour le fun: Fitz And The Tantrums, The Walker
- Hallucigenia
- Modérateur
- Messages : 5193
- Inscription : 02 févr. 2006, 10:24
Re: Ça avait failli mal tourner
Salut Denis,
Hallu
C'est la raison pour laquelle je préfère rester discret.Denis a écrit :Le problème, avec ton sujet, c'est qu'il est hautement explosif.

Re: Richard Lynn "The global bell curve"
"Impossible, puisque les généticiens ont rejeté le concept de races depuis un moment déjà."
C'est absolument inexacte monsieur. Il est vrai que des propagandistes ont essayé de faire mentir la réalité, l'unesco a par exemple demandé à ce qu'on utilise plus le terme race mais plutot le mot ethnie. Le problème c'est que le terme ethnie renvoie à des considérations culturelles et ce n'est donc pas un synonyme du terme race qui ne considère que les variations de fréquence allélique. Il s'agissait évidement d'une manœuvre de propagande: demander à changer un mot par un autre mot qui n'est pas son synonyme mais bien plutot un terme connoté idéologiquement -ethnie, qui n'est plus une considération rationnelle et scientifique- participe à la confusion. Bien sur me direz-vous: si la terre tourne autour du soleil, un décret de Rome n'y changera rien. Les analyses génétiques montrent clairement que si vous regardiez l'humanité avec des lunettes spéciales permettant de voir la proximité génétique entre les individus, il se formerait très clairement 9 grands groupes: Européen, Asiatiques de l'est, Africains, Asiatiques du sud-est, middle easterners, pacific islanders, esquimaux, amérindiens, aborigènes d'Australie.
Il n'est pas exact que la classification raciale n'a pas, ou virtuellement pas de signification génétique ou taxinomique, ou que vous ne pouvez pas prédire la race de quelqu'un par ses gènes. (Edwards, 2005, pp.800).
Feldman, Lewontin et King, résument la situation dans un article du magazine Nature, daté de 2003 : Contrairement à l'idée défendue depuis le milieu du 20ème, on peut définir scientifiquement des races dans l’espèce humaine. La connaissance du génome humain permet de regrouper les personnes selon les zones géographiques d’où elles sont issues.
C'est absolument inexacte monsieur. Il est vrai que des propagandistes ont essayé de faire mentir la réalité, l'unesco a par exemple demandé à ce qu'on utilise plus le terme race mais plutot le mot ethnie. Le problème c'est que le terme ethnie renvoie à des considérations culturelles et ce n'est donc pas un synonyme du terme race qui ne considère que les variations de fréquence allélique. Il s'agissait évidement d'une manœuvre de propagande: demander à changer un mot par un autre mot qui n'est pas son synonyme mais bien plutot un terme connoté idéologiquement -ethnie, qui n'est plus une considération rationnelle et scientifique- participe à la confusion. Bien sur me direz-vous: si la terre tourne autour du soleil, un décret de Rome n'y changera rien. Les analyses génétiques montrent clairement que si vous regardiez l'humanité avec des lunettes spéciales permettant de voir la proximité génétique entre les individus, il se formerait très clairement 9 grands groupes: Européen, Asiatiques de l'est, Africains, Asiatiques du sud-est, middle easterners, pacific islanders, esquimaux, amérindiens, aborigènes d'Australie.
Il n'est pas exact que la classification raciale n'a pas, ou virtuellement pas de signification génétique ou taxinomique, ou que vous ne pouvez pas prédire la race de quelqu'un par ses gènes. (Edwards, 2005, pp.800).
Feldman, Lewontin et King, résument la situation dans un article du magazine Nature, daté de 2003 : Contrairement à l'idée défendue depuis le milieu du 20ème, on peut définir scientifiquement des races dans l’espèce humaine. La connaissance du génome humain permet de regrouper les personnes selon les zones géographiques d’où elles sont issues.
Re: Richard Lynn "The global bell curve"
Feel O'Zof a dit:
Donc tous les individus appartiennent à une et à une seule de ces neuf races et il n'existe aucun individu intermédiaire?
Je vous demanderais monsieur de faire fonctionner votre cerveau, sinon on y arrivera pas. Bien sur qu'il existe des métis. Ce métissage, s'il est suffisant pour créer des formes intermédiaires, n'invalide en rien l'existence de races humaines en temps que telles. D'ailleurs le métissage est un phénomène très réduit à l'échelle planétaire. En mélangeant du jaune et du rouge cela donne de l'orange, nous sommes d'accord, mais cela n'invalide pas l'existence de rouge et de jaune, au contraire le métissage vient-il valider l'existence de races distinctes. (Rosenberg et al. 2005) Si continuum il y a, cela signe obligatoirement l'existence de races différentes, sinon il n'y aurait nullement de continuum mais plutôt une répartition complètement aléatoire des caractéristiques à travers le globe, ce n'est évidement pas le cas. En Asie, en Afrique ou même en Europe, le métissage reste relativement marginal, il n'y que l'Amérique du sud qui fasse la part belle aux métis que l'ont peu considérer comme des formes intermédiaires. Comme dans n'importe quelle autre espèce animale d'ailleurs, le métissage n'est pas une contradiction de la race mais sa validation, car deux races sont interfécondes. Si deux races ne sont pas interfécondes, alors on ne parlera plus de races différentes mais d’espèces différentes ! Et croyez vous ne fut-ce qu'un instant que l'espèce humaine soit plus métissée que les autres espèces animales ?
Vous affirmez que la classification raciale se base sur des critères aléatoires et l'on pourrait de ce fait regrouper des groupes différents et les dénommer pareillement races.
Réponse: cela n'est pas exact, ce qui est à l'origine de l'apparition de groupes humains possédant une homogénéité génétique supérieure entre eux, c'est l'isolement géographique.
Cette classification ne prend pas en considération des éléments quelconques, elle découle d'un isolement d'une population par rapport à une autre qui a donc causé une variabilité interne mais plus externe pendant un certain laps de temps. On trouve le gène de la pigmentation supérieure de la peau chez les africains, mais plus chez les européens qui l'ont perdu, de même, que les gènes codant pour un plus haut taux de testostérone chez les africains(19 pourcent supérieur en moyenne), une densité osseuse plus importante, des bras et avant bras plus long, une durée gestationnelle moyenne inférieure d'une semaine (39 contre 40 chez les caucasiens), un âge de la marche plus tôt dans l'enfance ( ce qui est la conséquence de la maturation plus précoce du système nerveux central et est donc d'origine génétique) un âge osseux plus précoce, ou encore l'apparition de la puberté un ans plus tôt qu'un européen.
De plus, les laboratoires peuvent facilement déterminer la race d'une personne à partir de cheveux, de sang, d'os ou bien de sperme.
Il existe comme vous le voyez des similitudes internes aux groupes mais qui diffèrent d'autres groupes comme les européens, et ceci est la conséquence d'un isolement géographique durant un temps t suffisant. La classification raciale au sein de l'espèce homo sapiens n'est donc pas plus ou moins aléatoire que la subdivision raciale au sein de n'importe quelle autre espèce animale.
Ovide a dit:
Ah bon, pourtant denzel et Barack ont des racines africaines et selon l’étude, ils ont environs (67-80 ) de QI....?
Non, car Barak Obama a 50 pourcent d'ancêtres européens. Les métis ont un Q.I moyen de 90, intermédiaire entre celui d'un africain (80) et celui d'un européen (100). La capacité cranienne des métis est intermédiaire entre celle des européens (1369 cm cubes) et celle des africains (1270 cm cubes).
Ceci étant, ce sont évidemment des moyennes sur une répartition gaussienne avec un écart-type de 14. Vous pouvez trouver des femmes d'1m90 ceci ne changera rien à la plus petite taille des femmes et à la causalité génétique de la différence homme-femme.
A HarryCauvert : oui, c’est comme ça monsieur et pas autrement. Nous aurions peut-être préféré un ciel vert et une terre plate au milieu de l’univers, mais il faut se plier aux réalités, nous ne sommes pas au jardin d’enfants.
Donc tous les individus appartiennent à une et à une seule de ces neuf races et il n'existe aucun individu intermédiaire?
Je vous demanderais monsieur de faire fonctionner votre cerveau, sinon on y arrivera pas. Bien sur qu'il existe des métis. Ce métissage, s'il est suffisant pour créer des formes intermédiaires, n'invalide en rien l'existence de races humaines en temps que telles. D'ailleurs le métissage est un phénomène très réduit à l'échelle planétaire. En mélangeant du jaune et du rouge cela donne de l'orange, nous sommes d'accord, mais cela n'invalide pas l'existence de rouge et de jaune, au contraire le métissage vient-il valider l'existence de races distinctes. (Rosenberg et al. 2005) Si continuum il y a, cela signe obligatoirement l'existence de races différentes, sinon il n'y aurait nullement de continuum mais plutôt une répartition complètement aléatoire des caractéristiques à travers le globe, ce n'est évidement pas le cas. En Asie, en Afrique ou même en Europe, le métissage reste relativement marginal, il n'y que l'Amérique du sud qui fasse la part belle aux métis que l'ont peu considérer comme des formes intermédiaires. Comme dans n'importe quelle autre espèce animale d'ailleurs, le métissage n'est pas une contradiction de la race mais sa validation, car deux races sont interfécondes. Si deux races ne sont pas interfécondes, alors on ne parlera plus de races différentes mais d’espèces différentes ! Et croyez vous ne fut-ce qu'un instant que l'espèce humaine soit plus métissée que les autres espèces animales ?
Vous affirmez que la classification raciale se base sur des critères aléatoires et l'on pourrait de ce fait regrouper des groupes différents et les dénommer pareillement races.
Réponse: cela n'est pas exact, ce qui est à l'origine de l'apparition de groupes humains possédant une homogénéité génétique supérieure entre eux, c'est l'isolement géographique.
Cette classification ne prend pas en considération des éléments quelconques, elle découle d'un isolement d'une population par rapport à une autre qui a donc causé une variabilité interne mais plus externe pendant un certain laps de temps. On trouve le gène de la pigmentation supérieure de la peau chez les africains, mais plus chez les européens qui l'ont perdu, de même, que les gènes codant pour un plus haut taux de testostérone chez les africains(19 pourcent supérieur en moyenne), une densité osseuse plus importante, des bras et avant bras plus long, une durée gestationnelle moyenne inférieure d'une semaine (39 contre 40 chez les caucasiens), un âge de la marche plus tôt dans l'enfance ( ce qui est la conséquence de la maturation plus précoce du système nerveux central et est donc d'origine génétique) un âge osseux plus précoce, ou encore l'apparition de la puberté un ans plus tôt qu'un européen.
De plus, les laboratoires peuvent facilement déterminer la race d'une personne à partir de cheveux, de sang, d'os ou bien de sperme.
Il existe comme vous le voyez des similitudes internes aux groupes mais qui diffèrent d'autres groupes comme les européens, et ceci est la conséquence d'un isolement géographique durant un temps t suffisant. La classification raciale au sein de l'espèce homo sapiens n'est donc pas plus ou moins aléatoire que la subdivision raciale au sein de n'importe quelle autre espèce animale.
Ovide a dit:
Ah bon, pourtant denzel et Barack ont des racines africaines et selon l’étude, ils ont environs (67-80 ) de QI....?
Non, car Barak Obama a 50 pourcent d'ancêtres européens. Les métis ont un Q.I moyen de 90, intermédiaire entre celui d'un africain (80) et celui d'un européen (100). La capacité cranienne des métis est intermédiaire entre celle des européens (1369 cm cubes) et celle des africains (1270 cm cubes).
Ceci étant, ce sont évidemment des moyennes sur une répartition gaussienne avec un écart-type de 14. Vous pouvez trouver des femmes d'1m90 ceci ne changera rien à la plus petite taille des femmes et à la causalité génétique de la différence homme-femme.
A HarryCauvert : oui, c’est comme ça monsieur et pas autrement. Nous aurions peut-être préféré un ciel vert et une terre plate au milieu de l’univers, mais il faut se plier aux réalités, nous ne sommes pas au jardin d’enfants.
Re: Ce que tu as manqué
Denis a écrit :Salut ovide,
Tu dis :Ce que tu as manqué, c'est peut-être ce qu'a écrit Nicolas au début de ce message.Ah bon, pourtant denzel et Barack ont des racines africaines et selon l'étude , ils ont environs (67-80 ) de QI....?
Explique-moi , les détails que j'ai manqué svp...![]()
Ce que tu as manqué, c'est que ces deux mauvais arguments (le tien et celui sur la taille des femmes) sont de même farine et aussi trottinettiens l'un que l'autre.Nicolas a écrit :C'est un argument extrêmement faible: de la même manière on pourrait dire "je connais suffisament de femmes très grandes pour penser que la plus petite taille des femmes n'est pas génétique".
J'espère que tu le vois, maintenant, ce que tu as manqué.
Le vois-tu ?
Denis
En effet , je vois très bien maintenant , merçi pour le détordage , ça fait du bien aux rhumatismes

Ovide
La plupart des zozos ont un mode d'argumentation qui ne méritent que des coups de la légendaire massue de la rationalité transfixée du clou du sarcasme ...
REF; un sceptique de ce forum....!
REF; un sceptique de ce forum....!
Qui est en ligne ?
Utilisateurs parcourant ce forum : Aucun utilisateur inscrit