Bon, j'ai la flemme de corriger l'habituel fatras de "quote", j'espère que ce sera lisible parce que j'ai repris tout le tas et essayé de trancher proprement.
[mode conspiro on]
En fait 25D ne veut pas s'en servir pour limiter les notifications, il croit pouvoir, avec un peu de chance, passer sous les radars de ses contradicteurs 
[mode conspiro off/]
Je répond mais j'ai la désagréable sensation de faire plaisir à un maso, enfin, ça me fait un peu d'exercice ...
25 décembre a écrit : lau'jik » 16 Nov 2015, 13:47
Bonsoir,
25 décembre a écrit :
Savais tu qu'une analogie sert à faire comprendre quelque chose en simplifiant ce quelque chose. On ne peut pas appliquer à l'analogie tous les éléments de la chose.
Lorsque tu dis cet enfant grandit comme un bambou. Ce n'est qu'une comparaison relative à la vitesse de croissance. Est-ce que l'enfant grandit de 30 cm par jour?
Analogie foireuse : il existe un millier d'espèces de bambou et toutes ne poussent pas de 30 cm en un jour ! Certaines ne dépasseront pas les 40 cm de hauteur. Vraiment, laissez tomber les analogies botaniques.
Est-ce que de façon générale les bambous ont une croissance rapide? Les bambous sont une tribu de plantes monocotylédones appartenant à la famille des Poaceae. Ils sont caractérisés par des tiges formées d'un chaume creux lignifié
à la croissance très rapide.
Quand on fait un copier-coller c'est bien de citer
la source
Croissance très rapide... par rapport à quoi. Plus rapide qu'un chêne certes mais ni plus ni moins que de nombreuses plantes, mon bambou (
Phylostachys nigra) pousse moins vite que ma corète (
Kerria japonica).
Sais tu faire la différence entre le général et le particulier.
Pour quelqu'un qui se sert du cas particulier des bambous à la croissance journalière importante c'est un peu fort
"Bambou" est un terme qui recouvre des plantes aux caractéristiques de croissance et de taille trop diverses et partagées avec trop de plantes pour en faire une analogie parlante.
Si j'avais voulu dire que l'enfant grandissait lentement et que j'avais utilisé le bambou comme comparaison en me référant à celui dont tu parles Est-ce que tout le monde aurait compris. Quand les gens disent que cet enfant pousse comme de la mauvaise herbe font-ils référence aux plantes d'exceptions pour dire qu'il ne grandit pas vite ou bien à l'idée générale que les mauvaises herbes poussent plus vite que ce que l'on a semé?.
Dans le cas de "pousse comme de la mauvaise graine" ou "pousse comme du chiendent" l'analogie fonctionne (mais n'est pas assez bien pour vous ? ) et est, il me semble, bien appréhendée par la plupart, l'expression étant courante et se référant soit à des plantes adventices dont chacun peut facilement constater la rapidité d'installation et de croissance sur un sol nu, soit au chiendent qui est le nom vernaculaire qui désigne plusieurs espèces et genres différents mais évoque invariablement des messicoles à la pousse vigoureuse... Dans les deux cas des images parlantes et des références largement partagées car expérimentées par le plus grand nombre sur de nombreuses générations, de plantes à la croissance rapide
par rapport aux plantes cultivées. La croissance du bambou c'est trop flou... le bambou ça évoque plutôt "le coup" !
C'est comme tout le reste, vous vous piquez d'avoir des idées originales même si elles sont foireuses (ça colle très bien à votre discours cet adjectif).
Quand on y met du sien toutes les analogies sont foireuses. Va sur des sites scientifique et dis à ces chercheurs que leurs analogies sont foireuses. Ils vont te répondre que tu es stupide d'associer l'analogie à toutes les caractéristiques de l'objet.
Non, les vôtres sont particulièrement pourries : pas besoin "d'y mettre du sien".
Et je ne vois pas pourquoi j'irais dire à des chercheurs, comme ça, sans aucune raison, dans un élan de généralisation floue et sans argument, que leurs analogies sont foireuses !
Mais je comprend bien que ça vous plairait que l'on me dise que je suis stupide, ce qui explique l'usage de l'impératif peut-être ?

... le syndrome du petit chef a encore frappé.