Vinety a écrit :Ce que tu mentionnes sur les dimensions physiques, qu'elles peuvent être transposées en tant que concept, je suis d'accord sur le concept. Mais ce n'est pas parce que qu'un chose mesures 10 longueurs de bras qu'elle devient pour autant 10 bras.
Je me répète, cela relève de la métrologie. Le concept ne s'est pas transformé par le pouvoir d'un bâton magique, en réalité physique (matériel). Il demeure un concept, une représentation intellectuelle, à la fois générale et abstraite, d'une catégorie d'objets ou d'idées. (réf. dictionnaire)
T'es bien aimable de reprendre ce que j'avais écrit, roi Dagobert, mais tu l'as proposé strictement à l'envers.
Je m'étais peut-être mal exprimé - ou alors on a tous eu tort de te tendre la perche du conceptuel - mais de cette manière-ci, ce sera moins équivoque et remettra mes culottes à l'endroit : la mesure d'une dimension (le concept) découle du besoin de mathématiser (conceptualiser = mettre sur papier = élaborer mentalement) une dimension ou paramètre physique que l'on ressent. Cette dernière est bien physique à mon humble avis. On la "ressent" par nos sens et notre mental peut-être, et on éprouve le besoin d'y réfléchir dessus.
Et quand on utilise ces réflexions pour des prédictions physiques, la matière en mouvement confirme cette élaboration ! Et donne ainsi une réalité physique à nos prédictions : ça marche parce que c'est pas seulement conceptuel. La "Vérité" est ce qui (peut se) se vérifie(r), et le reste c'est des conneries.
Mais ce n'est pas parce que qu'un chose mesures 10 longueurs de bras qu'elle devient pour autant 10 bras.
Oui, moi aussi j'ai été un cancre. Mais maintenant je sais rouler en vélo et j'ai des poils sous les bras. Je sais même nouer mes lacets tout seul.
Mais bof, tout cela me dépasse plus qu'un peu : Je joue à discuter, c'est mon honnêteté de l'avouer.
J'ai lu ta démontration, à mon tour de tenter de te démontrer que le temps et l'espace, masse et énergie, sont intimement liés et ont tous valeur d'unités de dimensions physiques.
Et si j'écris des conneries, (c'est fort possible) que le diable m'encule et que je sois pendu haut et court.
Voyons voir.
- Puisque le temps de Planck correspond à l'unité de temps la plus petite compatible avec la phsysique quantique, c-à-dire tpl = (GNh/c5)1/2 = 5,4 x 10-44 [sec.] (environ)= 10-43.
- Et puisque la longitude de Planck Rpl, est la distance que parcourt la lumière en tpl, soit = (GNh/c3)1/2 = 1,6 x 10-33 [cm] et que la masse de Planck Mpl = (GN/hc)1/2 = 1,2 x 1019 GeV = 22 microgrammes, correspond à la masse d'un corps dont la longueur d'onde de Compton est égale au rayon d'un trou noir, soit = h/2pMc = R = GM/2c2.
Cela correspond donc à la masse du plus petit trou noir compatible avec la physique quantique. Avec cette unité donc, la constante de gravité G se convertit en G = Mpl-2.
(Rappelons encore la constante de Planck: h = 6,63 x 10-27 erg s et la constante de la gravitation G = 6,67390 x 10-11 m3/kg/s2.)
Et on comprend ainsi aisément, que selon ce système géométrique, la vitesse de la lumière c, la constante de Planck h, et la constante de Boltzman k,
ont toutes la valeur d'unités (c = b = k = l), qui font ressortir les paramètres importants des formules.
Selon donc ce même schéma mental (ou système, c'est kif-kif),
le temps et la distance ont une même dimension [L] = [t].
=> Même chose que pour la masse, énergie et température [M] = [E] = [T].
Ces "dimensions" étant reliées entre elles par la relation d'incertitude à travers la voie de la longueur d'onde de Compton: ^ = h/2pMc
Y a bon Vinety ?