Dany a écrit : 09 avr. 2018, 12:06Et ce que je vois, moi, c'est juste des tonnes de verbiage pour essayer de s'en sortir. Ca déplaît, quoi.
Tu ne piges absolument rien de ce que j'écris et te contentes de répéter que ça ne change rien. Mon propos ne remet même pas en cause le déterministe. Tu ne comprends juste pas qu'il y a une notion de relativité et de rapport concernant nos degrés de liberté. Mais ce que tu fais revient à me dire que malgré qu'un mec soit millionnaire et qu'un autre est sans le sou, aucun des deux n'est plus riche que l'autre parce que tout est déterminé.
Les concepts de liberté et de contrainte (
en oubliant les conceptions judéo-chrétiennes) ne peuvent qu'exister qu'en tant que rapport entre deux trucs et son relatif à la « sphère expérientielle » du sujet concerné! Avec ou sans déterminisme! Mais, manifestement, ton encéphale (
ou le déterminisme de ta « lignée causale ») ne semble pas en mesure de capter/manipuler cette notion conceptuelle.
Dany a écrit : 09 avr. 2018, 12:06Le "Dieu tout puissant" des religions du Livre peut s'extirper de tout ce qu'il veut ou ne veut pas. Il est inconnaissable.
Qu'on ne soit pas d'accord, c'est une chose, mais relis-toi avant d'écrire des trucs contradictoires. S'il est inconnaissable, tu ne peux affirmer qu'il peut ou non faire bla-bla-bla. Moi j'ai utilisé une « image » (
c'est l'évidence même) pour signifier qu'un être doté du pouvoir de se couper de la causalité ne pourrait pas le faire parce que, conceptuellement, ça ne lui procurerait aucune liberté (
« intérêt » si le mot liberté te donne autant d'urticaire!) si rien ne s'affecte au minimum à chaque instant qui passe ».
Dany a écrit : 09 avr. 2018, 12:06C'est ça, la transcendance. Et la transcendance
Écoute, t'as déjà du mal à piger de quoi je cause alors laissons tomber les trucs « transcendants » qui sont hors de la porté de l'intellect humain. Moi je cause de ce que nous sommes en mesure de conceptualiser/échanger. Sinon l'on peut bien supposer tout et n'importe quoi « au delà de la transcendance » et ça n'a plus aucun intérêt!
Dany a écrit : 09 avr. 2018, 12:06Le dualisme dont nous parlons ne concerne pas les univers jumeaux, parallèles, en poupées russes, etc.
Conceptuellement, oui. Si une âme ou une conscience hors du corps (
supposons que ça existe) n'est pas en mesure de tenir compte de chaque instant t précédant, elle sera aussi « bête et chaotique » que n'importe quoi qui ne peut le faire. Ce n'est pas une question de science, c'est une implication logique conceptuelle!
Dany a écrit : 09 avr. 2018, 12:06C'est encore et toujours introduire des jugements de valeur, qui tiennent lieu d'argument.Rien dans l'Univers ne sert à quoi que ce soit et notre évolution n'a pas de but...
Mais ça n'a absolument rien à voir avec ce que je dis! Tu ne piges rien à rien! Je suis d'accord qu'il n'y a pas de dessein ni de but! Ce n'est pas de ça dont je cause. Comme je le craignais, tu ne fais pas l'effort de cogiter sur ce que j'écris, tu me prends pour quelqu'un qui espère à tout prix sauver le LA.
Dany a écrit : 09 avr. 2018, 12:06Dire "Le principe de causalité, c'est de la blague, parce qu'alors c'est absurde !
Mais ce n'est pas ce que je dis. Je commence à croire que tu a tellement peur que je remette en cause quelque chose qui est si important à tes yeux que ça t'empêche complètement de comprendre de quoi je cause. Ce n'est pas le principe de causalité que je mets en cause, c'est ton interprétation/rigidité concernant les notions de degré de liberté, que tu rejettes complètement du revers de la main.
Nicolas78 a écrit : 09 avr. 2018, 13:52
Dash pense ca : tout est déterminé (car tout effets provient d’une cause), mais dans ce systeme il y à différent degrés de liberté (dans le sens physique tu terme, cad dire de possibilités d’interactions).
Le fait d’etre capable de predire 2 evenements déterminés et d’en « choisir » un fait qu’il existe une forme relative de liberté dans un univers absolument deterministe.
Grosso modo. Au moins il y en a un autre que moi qui fait l'effort de tenter de comprendre les conceptions des autres, avant même de débattre et sans avoir peur de perdre quoi que ce soit.