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par sami83g » 06 avr. 2023, 16:12
Bonjour,
La religion cohabite naturellement avec les monstruosités guerrières (sournoises, meurtrières ou pernicieuses). Avec son hypocrisie systématique, elle encourage ces déviances, sous couvert de bienveillance, de fausses promesses ou de victimisation. Cette idéologie à double face subsiste facilement grâce aux discours tordus des théologiens qui pourchassent les libres-penseurs affichant des critiques éclairées. Par exemple, si je vous demande de parler de Moïse, que me direz-vous?
1) On pense que c’est un héros libérateur d’une tribu d’hébreux de l’antiquité.
2) On s’imagine qu’il a transmis les messages d’un dieu au travers des tables de lois.
3) Il représente un précurseur de l’ordre social inspiré directement par dieu.
4) On ne peut pas contester un important prophète du judaïsme.
5) Ils ont écrit une belle légende d’un chef tribal, vieille de plus de 3250 ans.
6) Etc. …
Selon les croyances bibliques, les fanatiques religieux affirmeront que les actes de Moïse proviennent d’une volonté divine. Ils trouveront socialement inacceptable de remettre en question ces fabulations archaïques et ils accuseront, sans ménage, les contestataires d’être des antisémites. Ils nous diront que leurs livres sacrés racontent l’amour d’un dieu pour un peuple.
Pourtant, la torah raconte les frasques fantasmagoriques d’un oppresseur, Moïse!
Si vous lisez, l'extrait du texte biblique ici-bas, vous comprendrez que l’histoire de ce héros hébraïque, Moïse, correspond à celle d’un guerrier schizophrène, despotique et sanguinaire.
Je vous laisse lire cet extrait.
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Nombres
31.1 L'Éternel parla à Moïse, et dit:
31.2 Venge les enfants d'Israël sur les Madianites; tu seras ensuite recueilli auprès de ton peuple.
31.3 Moïse parla au peuple, et dit: Équipez d'entre vous des hommes pour l'armée, et qu'ils marchent contre Madian, afin d'exécuter la vengeance de l'Éternel sur Madian.
31.4 Vous enverrez à l'armée mille hommes par tribu, de toutes les tribus d'Israël.
31.5 On leva d'entre les milliers d'Israël mille hommes par tribu, soit douze mille hommes équipés pour l'armée.
31.6 Moïse envoya à l'armée ces mille hommes par tribu, et avec eux le fils du sacrificateur Éléazar, Phinées, qui portait les instruments sacrés et les trompettes retentissantes.
31.7 Ils s'avancèrent contre Madian, selon l'ordre que l'Éternel avait donné à Moïse; et ils tuèrent tous les mâles.
31.8 Ils tuèrent les rois de Madian avec tous les autres, Évi, Rékem, Tsur, Hur et Réba, cinq rois de Madian; ils tuèrent aussi par l'épée Balaam, fils de Beor.
31.9 Les enfants d'Israël firent prisonnières les femmes des Madianites avec leurs petits enfants, et ils pillèrent tout leur bétail, tous leurs troupeaux et toutes leurs richesses.
31.10 Ils incendièrent toutes les villes qu'ils habitaient et tous leurs enclos.
31.11 Ils prirent toutes les dépouilles et tout le butin, personnes et bestiaux;
31.12 et ils amenèrent les captifs, le butin et les dépouilles, à Moïse, au sacrificateur Éléazar, et à l'assemblée des enfants d'Israël, campés dans les plaines de Moab, près du Jourdain, vis-à-vis de Jéricho.
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Dans ce conte religieux, la valorisation des actes de Moïse signifie la valorisation d’un racisme et d’une xénophobie tribale. Cette légende implique des vengeances cruelles, des assassinats inutiles, des pillages de dépouilles et de la méchanceté à l’état pure.
L’existence de Moïse a été remise en cause, plusieurs fois, à cause de ces exploits fictifs non vérifiables. On retrouve ces fabulations tribales seulement dans la thora. Les historiens objectifs provenant des autres peuples ne reconnaissent pas les aventures despotiques de ce héros hébraïque.
En se fiant aux récits bibliques et en éliminant les impossibilités, pourrait-on établir une interprétation raisonnable qui expliquerait l’existence de Moïse ? Si la réponse est positive, il aurait été le chef d’une tribu d’hébreux sans importance historique. Son récit aurait simplement été fantasmé par des scribes schizophrènes, exprimant leurs désirs de haine et de vengeance. S’il a pu exister, ce petit chefaillon aurait rôdé aux alentours de 1250 avant notre ère.
Bon! Et alors, chacun croit ce qu’il veut, pourquoi parler d’hypocrisie religieuse ?
Réfléchissons. Historiquement, aucun peuple, impliquant des milliers d’humains, ne s’est sauvé de l’empire des Égyptiens. Aucune armée égyptienne n’a été noyée. Aucun magicien ne pouvait transformer un bâton en serpent.
Questionnons. Quel est le message que la torah nous envoie avec des histoires fabuleuses de pouvoir divin octroyé à un petit chef de tribu? L’hypocrisie religieuse a permis de transformer ce tyran, Moïse, en bienfaiteur annonçant la bonne nouvelle. Par contre, en lisant la torah, on réalise toute l’atrocité de cette légende.
En trois mots, Moïse, ce héros hébreux, encourage la haine, la destruction et la guerre. Ce conte, provenant de l’antiquité, exprime les fantasmes de scribes xénophobes et frustrés.
Si je critique ces écrits hébreux publiquement, est-ce que je me ferai accuser d’être antisémite? Vous connaissez la réponse, elle sera positive, même si ma critique provient d’un désir d’autodéfense. Comment trouver une équité sociale sans discrimination, si on empêche les critiques qui dénoncent les manipulations religieuses ?
Qu’en pensez-vous?
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Leurs religions sont des mélanges de légendes, de superstitions et de fictions tribales.
Leurs histoires émanent de l’antiquité, valorisant la xénophobie, le racisme et la guerre.
Leurs morales louangent; menaces, mensonges, manipulations, mégalomanies, misogynies.