Etienne Beauman a écrit : 29 nov. 2021, 10:47Arrête de dire que tu t’en prends qu’aux excès alors, non ?
Non, parce que je ne m’en prends qu’aux excès!
Etienne Beauman a écrit : 29 nov. 2021, 10:47Sauf que ça n’a jamais marché comme ça.
Tous les progrès sociaux ont été acquis grâce à la pression de groupe militant contre ce qui était établi.
Euh, c’est un peu plus complexe que ça. S’il suffisait de créer un groupe et de proposer une « idée » pour provoquer un changement social, on le saurait. Les groupes sont souvent les initiateurs, les précurseurs, mais faut que l’ensemble (
enfin, une majorité) de la population — qui ne fait pas partie des groupes — emboîte le pas. Bref, il faut qu’un certain « phénomène émerge », d’où pourquoi je m’attarde surtout aux « mouvements » au sens de « courant de pensée » et de « pression sociale ». Bref, sinon je n’ai jamais dit que tous les groupes militants n’avaient aucune importance et/ou incidence. Ce que j’ai dit, c’est que certains groupes, particulièrement ceux qui traitent des inégalités, avaient tendance aux excès et, nécessairement, à réunir des individus bcp plus personnellement impliqués~touché ayant subits des injustices et donc étant potentiellement « amère~biaisé ». Ce que l’on retrouvera bcp moins pour d’autres types de causes, comme la défense de l’environnement, par exemple. Sinon les causes qui consistent principalement à amasser de l’argent pour les gens dans le besoin et/ou les malades sont dans une toute autre dynamique et pas concerné par les mêmes « problématiques ».
Etienne Beauman a écrit : 29 nov. 2021, 10:47Sources ?
Tu vas me ressortir que t’entends ça tous les jours sans être capable de citer le moindre exemple ?
Exemple
Tu vas me dire que c’est une dérive. Ben oui!!! Mais je pourrais t’en trouver des dizaines et des dizaines d’exemples de ce genre! Naturellement qu’il doit y avoir nombres de féministes « non excessives », mais soit elles ne font pas nécessairement partie d’un groupe, soit, si elles en font partie, œuvrent sans excès, justement, et ne font pas les manchettes pour de mauvaises raisons.
Ce que t’as pas encore pigé, c’est que c’est « l’information » et « l’
exposure » qui sont le nerf de la guerre pour quoi que ce soit! Tout comme quand, en tant que sceptiques, nous disons que les complotistes font bcp plus de bruit que tous les non-complotiste qui ne vont pas crier dans la rue et/ou consacrer 3 heures sur les réseaux sociaux à débunker tous les arguments et/ou dire «
je ne suis pas complotiste ». Bref, ce qui influe et conditionne, peu à peu, les mœurs, c’est ce qui nous est exposé. D’où pourquoi il est important de critiquer les dérives, même si elles sont moins nombreuses que les « non-dérives» qui ne sont, naturellement, pas exposées (
et/ou bcp moins).
Etienne Beauman a écrit : 29 nov. 2021, 10:47combien de livres féministes as tu lu ? à combien de réunions féministes as tu participé ?
Comme dans tout « microcosme », concernant quoi que ce soit (
même pour un club sportif), il y a nécessairement toute la gamme des « archétypes d’individus » qui y sont représentés. Certains groupes et individus sont plus modérés que d’autres, Certains possèdent plus de jugement et de discernement que d’autres, certains une meilleure approche que d’autres. Sauf qu’en ce qui concerne certaines causes spécifiques, il y a forcément plus d’individus impliqués émotionnellement et donc avec la résultante que ça implique.
Bref, « l’erreur », que j’attribue à certains groupes de militants, ce sont nécessairement des erreurs qui se démarquent de par leur « porté » dans « l’espace public », et/ou de par le «
clash » qu’ils produisent en certains lieux. C’est implicite, sinon ça n’a aucun rapport ni intérêt! T’as, comme toujours, de la difficulté à saisir où je me situe.
Etienne Beauman a écrit : 29 nov. 2021, 10:47Le féminisme c’est ça :
D’une manière générale, le féminisme peut être considéré comme un mouvement visant à mettre fin au sexisme, à l’exploitation et à l’oppression sexistes et à réaliser la pleine égalité de genre en droit et en pratique.
Non, t’es sérieux? Je l’ignorais!

Sauf que tu confonds la « cause noble », « l’idéologie » d’avec l’application de moyens pratiques qui consiste à réaliser cet « objectif », ainsi que des individus qui y participent activement. Bref, concernant l’objectif, presque personne n’a rien à redire. C’est pourquoi l’on dit souvent que «
personne n’est contre la vertu », concernant les « objectifs » de tels ou tels mouvements militants.
Etienne Beauman a écrit : 29 nov. 2021, 10:47Tu ne fais qu’amalgamer le féminisme à des gens qui s’en réclament mais qui racontent n’importe quoi !
Mais le féminisme, comme n’importe quoi d’autre, n’est rien sans ses acteurs et sans ses moyens pratiques servant à atteindre leur objectif! Si un individu se définit lui-même comme étant « féministe » et dit faire ce qu’il fait pour la cause, l’on a beau dire que ce n’est pas ça le féministe, la résultante est la même. Naturellement que ceux qui ne sont pas d’accord diront que ce n’est pas ça (
moi le premier), mais c’est justement pour ça qu’on parle de dérive et/ou « d’extrémisme ». Conséquemment, l’on peut prétendre que tout ce que nous considérons comme étant des dérives, peu importe les causes, n’est pas « la cause ». Et sinon, dans l’absolu, qui peut prétendre être « le juge » de ce qui est ou n’est pas du féminisme (
ou n’importe quelle autre cause)? Il ne s’agit que de convention et d’inter-subjectivité partagées. Ce n’est pas pour rien qu’il y a des « schismes » au sein de toute sorte d’organisations, concernant les « idéologies ». Et chacune peut ensuite prétendre qu’ils sont les seuls à posséder « la vérité ».
Sinon, tout comme certains reprochent aux « islamistes modérés » de ne pas se faire entendre pour condamner les dérives de ceux qui se réclament de la même « religion », si les féministes (
les « vrais », si cela fait sens de dire ça comme ça) ne se font jamais entendre pour dénoncer les excès de certains individus et/ou groupe qui font dans les excès tout en se réclamant d’être féministe, ben c’est un gros problème! Et c’est pourquoi je dis que faire parti d’un groupe organisé est souvent « problématique », car, tout comme les syndicats, l’on devient dès lors très « frileux » à condamner ceux qui, bien que « dans la dérive », font partie d’un même groupe défendant le même « objectif~idéologie louable » que le notre. C’est aussi une tendance de « la nature humaine ».
Etienne Beauman a écrit : 29 nov. 2021, 10:47Avant de les traiter par dessus la jambe dans leur ensemble tu dois comprendre leur thèse et ce en les lisant pas en te basant sur la lecture de gens qui sont contre.
Sauf que ce que tu nommes « leur thèse » n’est ici qu’un « beau mot » qui signifie en fait uniquement l’objectif visé que t’as cité plus haut. Ça n’a rien d’une « thèse ». Sinon, ce qui sont « des thèses », ce sont des notions comme le « racisme systémique », le « privilège blanc », etc. Et pour ça, je critique les thèses
en elles même lorsqu’elles viennent à ma connaissance, pour ce qu’elles sont, peu importe qui les « émet » et les approuve ou non. Je n’ai donc aucunement besoin « d’infiltrer » un groupe de militants « féministes et/ou antiracistes » pour connaître leur thèse puisque ce qui ne parvient pas dans l’espace public, et donc à ma connaissance, nécessairement, ne pose pas (
suffisamment) de problèmes pour faire polémique. De plus, ces genres de « thèses » proviennent souvent de sociologues (
parce que pour être qualifié de « thèse », faut nécessairement être en maîtrise et/ou doctorant), donc c’est autre chose et à distinguer des « objectifs nobles », des « idéologies » que peuvent « rédiger » n’importe quels individus.
Etienne Beauman a écrit : 29 nov. 2021, 10:47T’as compris que l’intersectionnalité c’était juste de dire qu’une femme noire par exemple peut à la fois être victime de racisme
et de sexisme ?
Oui, tout comme un homme blanc, petit, timide et réservé, sans charisme, au physique ingrat, possédant un QI d’huître et n’ayant pas suffisamment de force de caractère doit plus souvent qu’à son tour être désavantagé et subir toute sorte d’injustice et de « discrimination ».
Tous deux possèdent les mêmes droits et libertés dans nos sociétés occidentales, mais tous deux doivent faire face à de nombreux désavantages. À quoi sert le fait de combiner deux, trois... ...ou tous les désavantages possibles et imaginables? Et l’on s’arrête où? Et pour qui?
Etienne Beauman a écrit : 29 nov. 2021, 10:47Tout à fait !
C’est un privilège d’être grand dans nos pays occidentaux (peut être ailleurs aussi probablement).
Ca coute quoi de le reconnaitre ?
Le problème n’est pas de reconnaître que ce sont des désavantages, intuitivement, naturellement, tout le monde le sait et le reconnais (
notre cerveau en tiens compte, tu peux en être certain!). La question, c’est à quoi sert de mettre l’emphase sur la couleur et le genre puisqu’il y en a des dizaines d’autres qui ont aussi effets? Et à partir du moment où qu’un cadre, un système octroi les même droits et liberté à tous ces citoyens, que reste-t-il à combattre sinon que l’intolérance et la propension du cerveau à discriminer sur la base de n’importe quelle caractéristique?
Ce que je reproche à « l’humain que nous sommes » (
à tous les groupes de militants contre les injustices), c’est de faire l’erreur de cibler des caractéristiques (
la « forme »), au lieu de construire un véritable argumentaire~discours mettant l’accent sur « le fond », au-delà de toute forme.
Etienne Beauman a écrit : 29 nov. 2021, 10:47Pas du tout !
On les accuse de rien.
Il faut arrêter de penser en terme
de morale, il s’agit de décrire
des injustices et de trouver des solutions pour y remédier.
C’est là que nous ne sommes pas d’accord, parce que nous n’en sommes pas au même point dans notre réflexion, concernant ces sujets, toi et moi. Moi j’suis rendu « ailleurs ». Trouver une « solution » pour contrer le racisme, quand une société a déjà réglé la question des droits et libertés (
qui sont les mêmes pour tous en terme de lois), c’est faire « d’une pierre le dixième d’un coup ». C’est stupide et non efficient. Et ça tend à cliver à cause de la façon dont nos cerveaux fonctionnent. Ce qui reste à « contrer », quand les droits et libertés sont acquis, ce sont les heuristiques et les tendances de « la nature humaine ». Et pour ce faire, faut s’attaquer à la source du problème. Pas sur une caractéristique ou une autre.
Etienne Beauman a écrit : 29 nov. 2021, 10:47Reconnaitre qu’on a des privilèges en tant que blanc, ça équivaut à reconnaitre que les non blanc sont discriminés...
C’est relatif! Si demain matin n’existe plus aucun « non-blanc » sur la surface de la planète, rien ne changera! Les « blancs » n’auront pas plus ou moins de privilèges que maintenant! Parce que le fond du problème demeurera entier! Tous les cerveaux restants vont seulement exercer leur discrimination sur la base d’autres caractéristiques .
Idem si tous les blancs disparaissaient de la surface de la planète, les « non-blancs » n’auront pas plus ou moins de privilèges! ...parce que les cerveaux restants vont non seulement exercer leur discrimination sur la base d’autres caractéristiques, mais vont cibler de nouvelles « catégories » et trouver que ces dernières bénéficient de certains privilèges par rapport à d’autres.
Et sinon, pour bénéficier d’un privilège, encore faut-il être exposé à une situation qui met en jeu concrètement ce privilège. Donc, déjà, si l’on admet tous qu’une couleur de peau foncée puisse être un désavantage en certains lieux et certaines situations, ça ne fait pas pour autant d’une « peau claire » un avantage en toute situation, en tout lieu et pour tous les individus. Et c’est précisément pourquoi il est àma non constructif de parler de « privilège blanc », car des milliers d’individus (
forcément puisqu’il n’y a pas tjrs un individu « non blanc » étant « en concurrence ») n’ont jamais bénéficié de ce privilège. Bref, être blanc peut être un privilège, tout comme être plus intelligent et/ou qualifié, grand, beau, etc., mais être blanc peut aussi être un désavantage en certains « milieux » et pour certains situations.
Finalement, peu importe la couleur de notre peau et/ou « "l’agréabilité" de notre faciès », notre taille et/ou toute autre caractéristique, c’est toujours potentiellement un désavantage si la personne qui doit nous discriminer par rapport à d’autres « candidats » possède un préjugé et/ou une aversion (
et/ou effectue un calcul de « risque dévaforable ») en fonction d’une caractéristique ou d’une autre.
Etienne Beauman a écrit : 29 nov. 2021, 10:47La hiérarchie dans une entreprise est bien systémique, elle ne dépends pas des individus qui la compose et pourtant deux collèges peuvent très bien ne pas avoir de rapport hiérarchique entre eux.
Pour la partie après la virgule, si tu veux dire que deux collègues peuvent être au même niveau hiérarchique (
les deux passent la serpillière et lavent les salles de bains, P. Ex.), oui. Mais sinon ce n’est pas cohérent et ta formulation est antinomique.
Si la hiérarchie ne dépend pas des individus, comment peux-tu prétendre que deux collèges peuvent ne pas avoir de rapport hiérarchique entre eux? Et sinon, dans tous les cas et pour tout dans la vie, si les individus ne respectent pas, par convention, la hiérarchie, ben il n’y en a plus de hiérarchie! Ça n’existe pas en tant « qu’objet physico-matériel » la hiérarchie.

Donc, non, la hiérarchie dépend bel et bien des individus qui respectent et applique la hiérarchie, qui n’est autre qu’une « consigne », une « directive » qui s’adresse à tous et dans tous les cas.
Si l’on tient à effectuer une différence entre le « racisme d’État » (
car l’article de ton lien ne fait rien d’autre que dire qu’il faut le distinguer du racisme systémique), bien le racisme systémique ne concerne alors pas les structures hiérarchiques « vectrices » des directives concernant un éventuel racisme assumé. Que reste-t-il donc, si l’on élimine les directives, les « structures porteuses », les hiérarchies et les interactions des individus relevant directement de ces dernières?
Ben, des comportements personnels
propres à chaque individu! Bref, rien qui relève de « l’organisation » (
d’un système social, d’une entreprise, d’un régime, etc.). C’est exactement et précisément pourquoi je prétends que le concept est d’une inutilité sans nom. Car l’on en a pour des lustres à manipuler un concept, une « thèse » bcp trop abstraite et « tarabiscotée » qui ne mettra jamais toute le monde d’accord.
Systémique (
je connaissais le terme bien avant qu’il soit accolé à « racisme » à cause de mon intérêt pour la cybernétique, l’émergence, l’holisme, etc.), c’est relatif à un système, à son
organisation dans son ensemble, incluant
toutes ses nombreuses et complexes interactions. Ça, c’est ce qui définit le qualificatif « systémique » depuis tjrs (
bien avant son utilisation avec « racisme »). À partir de quel moment, dis-moi, considérons-nous que « toute » et/ou suffisamment d’interaction » (
15%,30%, 50%, 67% su système ?), qui plus est, organisé (
ce qui sous-entend la notion de « directives » et/ou du moins, de « hiérarchie »), permettent de qualifier l’ensemble des interactions du (
et donc le) système de « raciste » et donc comme étant un système « raciste systémique ?
Des façons de manifester du racisme et de la discrimination, il y en a autant qu’il existe d’individus, et ce, peu importe les directives, les organisations et/ou les hiérarchies des systèmes dans lesquels évoluent les individus. Donc qu’est-ce qui distingue « un système » comportant certains individus se livrant parfois à du racisme et à de la discrimination
VS un système où il y aurait du racisme systémique, mais sans être un racisme d’État?
C’est surtout le nombre de situations possibles (
racisme~discriminations potentielles) qui provoque l’illusion que la discrimination et le racisme sont « systémique », sauf qu’à ce compte « tout » est alors systémique dans ce cas : tous les préjugés possibles sont systémique, l’insatisfaction est aussi systémique, le malheur, les injustices, l’anxiété, les crimes et les fraudes (
il y en a dans tous les domaines, sphères et milieux, donc plus ou moins réparti au sein de l’ensemble de « l’organisation de notre système », si l’on veut), le « mensonge » est systémique dans « notre système ». Bref, en fait, le « fameux système » n’est autre que... ...« la vie » et les interactions humaines, à ce point de la réflexion.
Et si l’on élimine les cadres et les régimes (
leurs « directives »), ne reste qu’en fait que des interactions humaines qui sont, grosso modo, les même pour tous les humains et donc non propre à une couleur de peau en particulier. Par conséquent le qualificatif de « racisme systémique » perd alors de son sens et de son utilité quand l’on analyse « la thèse » dans le détail. C’est un truc absurde et, surtout, inutile puisqu’au final ça concerne un peu tout, concernant tous les comportements humains, qui sont naturellement « systémique » parce que propre à la « nature humaine » (
son cerveau). Sauf que cette dernière n’est pas le propre d’un système (
sociale/régime) ni d’une « couleur » de système.
Bref, il est nécessaire d’effectuer une distinction entre le système, au sens d’organisation (
les structures sociales, les lois concernant les droit et liberté, les services offerts, les « directives émises », etc.) des individus qui les appliquent ou non, qui « contreviennent » ou non. Conséquemment, un « système, un « régime » peut être raciste ou pas (
« racisme d’État), mais pour le reste, qui n’est autre que les interactions qui peuvent se produire, même sur une île recluse, sans cadre, sans « système », bref, « la vie » et les interactions humaines», tout est plus moins potentiellement systémique dès lors que ça ne concerne pas des événements rares ou des exceptions. Et comme je l’ai mentionné, dépendamment des circonstances, en un claquement de doigts, tels ou tels individus possédant certaines caractéristiques peuvent se retrouver étant « bourreaux/victimes » selon les cas. Donc, nos sociétés occidentales des systèmes au « racisme systémique »? Euh, non. Ou si oui, pas plus ou moins que n’importe quelle autre.
Bref, l’on peut récupérer le concept du « racisme systémique » pour l’appliquer à tout et n’importe quoi dès que ça concerne les comportements humains, ce qui le rend donc complètement inutile. C’est bcp trop tarabiscoté, flou et relatif, pouvant servir à justifier tout et n’importe quoi pour vouloir vraiment dire quelque chose et, surtout, ça n’apporte rien d’utile à mon avis.
Etienne Beauman a écrit : 29 nov. 2021, 10:47Le contrôle au faciès des individus est un bon exemple de racisme systémique....
Le fait de juger si un individu nous paraît « bon/mauvais » (
« à problème » ou non) selon son visage, nonobstant sa couleur de peau, relève d’une heuristique présente dans tous les cerveaux. S’il y a bien quelque chose de systémique et « d’organisé » ayant rapport avec ce genre de préjugé, c’est bien
le cerveau humain! Sauf que le problème, c’est que
tous les humains en possèdent un!! Ce n’est donc pas le système occidental (
ou n’importe quel autre, ni une couleur d'humain) qui comporte~génère de la « discrimination systémique », mais
le cerveau humain, point! Et les non-blancs sont eux aussi humains et possèdent eux aussi un cerveau! La déduction qui s’impose est donc la suivante :
tous les humains,
tous les systèmes, donc tous les pays, nations et régimes incluent, comme étant de « nature systémique », absolument toutes pensées, préjugés, réflexions, craintes, désires, sentiments, réactions et comportements humains!
Bref, s’ils veulent aller au bout de leur thèse, qu’ils y aillent et je serai alors « ouvert » pour dire que le racisme est systémique... ...sur la planète, mais il l’est dans ce cas
partout, Inde, Japon et Afrique noire y compris. Mais tenter de faire croire que l’occident serait un système au « racisme systémique », c’est créer un « bouc émissaire » et vouloir faire des « blancs » de « grands coupables » alors que les cerveaux et tout système comportent exactement le même « racisme » (
et/ou discrimination) systémique (
cf, la traite des non-blancs » initiée par... ...des « non blanc »).
Etienne Beauman a écrit : 29 nov. 2021, 10:47Je connaissais quasi que dalle à tout ça il y quelques mois, ça m’a pris que la lecture des articles de wiki pour réfuter quasi tout ce que tu racontes...
Si tu le dis!

Et moi ça me prend que mon cerveau pour réussir à démontrer que leur thèse, c’est de la
foutaise!