Re: réductionisme
Publié : 06 oct. 2013, 17:27
Il est sûr qu'un cas particulier est suffisant pour avoir une bonne vue de l'ensemble ... au moins pour Richard !Ce que dit richard est exacte, précisément cet extrait :
Il est sûr qu'un cas particulier est suffisant pour avoir une bonne vue de l'ensemble ... au moins pour Richard !Ce que dit richard est exacte, précisément cet extrait :
Bonjourrommel a écrit :Salut curieux :Ce que dit richard est exacte, précisément cet extrait :curieux a écrit :Je pense que tu devrais réviser les bases historiques de la RR clairement exprimées par Albert.richard a écrit :Il est donc faux de dire que la simultanéité n'est pas conservée dans un changement de référentiel car il y a au moins quelques cas où elle l'est.
Un changement de référentiel implique deux vitesses différentes et obligatoirement ce qui est simultané pour l'un ne peut l'être pour l'autre.
Vitesse limite de propagation de l'information, ça te dit quelque chose ou bien tu affirmes qu'elle se propage à une vitesse infinie ?
Cordialement.richard a écrit :Il est évident que si ces phénomènes se situent de part et d'autre de la trajectoire de O' alors ils sont simultanés pour O' car d'après les transformations de Lorentz les distances perpendiculaires à la trajectoire sont invariantes.
Et dans la vie réelle, tu fais comment pour éliminer le temps de parcours entre les deux observateurs ?richard a écrit :Bonjour! comme je le disais c'est assez évident si les points A et B se situent de part et d'autre de la trajectoire du mouvement puisqu’alors y'= y. Fais un seul crqouis et tu verras que O' perçoit bien les deux signaux simultanément car O' se déplace sur la médiatrice de AB.
salut curieux! bonjour tout le monde! On a donc deux phénomènes em qui se produisent en A et B d'un référentiel R, de part et d'autre d'un observateur O au temps to = 0. Le temps t mis pour que les signaux parviennent à cet observateur est tel que OA = OB = ct.curieux a écrit :Tu nous expliques ou bien il faut deviner où le bât blesse dans la RR ?
Psyricien, le seul, l'unique a écrit :bizarre ... richard continue de fuir:
-->La mesure d'une variation du temps vécu selon le référentiel par les satellites GPS, toujours à faire le sourd?
-->Les divisions par 0 tu as arrêté où tu continue ?
-->2x1 = 2 et non 4 (eh oui richard ,1 évènement et 2 référentiels ça ne fait que 2 mesures possibles, pas 4), tu as toujours pas compris les multiplications ?
-->Toujours à croire que tu as une vitesse non-nulle par rapport à toi même ?
-->Tu confond toujours changement de vitesse d'une source et d'un observateur pour l'effet Doppler subit par des ondes sonores ?
...
Richard semble ne pas comprendre qu'il suffit d'un seul exemple de non-conservation de la simultanéité pour démontrer que les changements de référentiel en générale ne la conservent pas. Richard ne comprend donc pas non plus la notion de "conservation" d'une grandeur
. Il passe de plus en plus pour un âne
Richard confond une propriété générale avec un cas particulier.
Par exemple les rotations ne conservent pas l'orientation. Hors pour une rotation de 4 \(\pi\) c'est le cas ... encore une fois c'est toute la différence entre un corpus de transformation et un sous-groupe de transformation dans cet ensemble
.
G>
Psyricien, le seul, l'unique a écrit :bizarre ... richard continue de fuir:
-->La mesure d'une variation du temps vécu selon le référentiel par les satellites GPS, toujours à faire le sourd?
-->Les divisions par 0 tu as arrêté où tu continue ?
-->2x1 = 2 et non 4 (eh oui richard ,1 évènement et 2 référentiels ça ne fait que 2 mesures possibles, pas 4), tu as toujours pas compris les multiplications ?
-->Toujours à croire que tu as une vitesse non-nulle par rapport à toi même ?
-->Tu confond toujours changement de vitesse d'une source et d'un observateur pour l'effet Doppler subit par des ondes sonores ?
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Richard semble ne pas comprendre qu'il suffit d'un seul exemple de non-conservation de la simultanéité pour démontrer que les changements de référentiel en générale ne la conservent pas. Richard ne comprend donc pas non plus la notion de "conservation" d'une grandeur
. Il passe de plus en plus pour un âne
Richard confond une propriété générale avec un cas particulier.
Par exemple les rotations ne conservent pas l'orientation. Hors pour une rotation de 4 \(\pi\) c'est le cas ... encore une fois c'est toute la différence entre un corpus de transformation et un sous-groupe de transformation dans cet ensemble
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déjà il y a un truc de pas clair dans tes explications.richard a écrit :salut curieux! bonjour tout le monde! On a donc deux phénomènes em qui se produisent en A et B d'un référentiel R, de part et d'autre d'un observateur O au temps to = 0. Le temps t mis pour que les signaux parviennent à cet observateur est tel que OA = OB = ct.curieux a écrit :Tu nous expliques ou bien il faut deviner où le bât blesse dans la RR ?
Un observateur mobile O' coïncide avec O au moment de l'émission des signaux. A et B coïncident respectivement avec des points A', B' du référentiel R' de O'.
Le temps t' pour que les signaux parviennent en O' est tel que O'oAo = O'A' = O'o'Bo = O'B" = c' t' puisque O' est au milieu de AB donc de A'B' au moment de l'émission.
L'indice o indique le moment de l'émission to.
à la définition usuelle de la simultanéité ( des événements sont simultanés s'ils ont lieu au même instant) Einstein a proposé que deux événements soient dits simultanés si un observateur situé au milieu des lieux où ils se produisent* parviennent simultanément à cet observateur. Je montre donc qu'en prenant la définition usuelle ou la définition einsteinienne de la simultanéité on parvient au même résultat: deux événements simultanés dans un référentiel sont également simultanés dans un autre référentiel en mouvement par rapport au premier.curieux a écrit : Mon schéma sous-entend que l'instant où coïncident O et O' c'est l'instant de la réception des flash...
Je ne comprends pas ce que tu veux nous dire..
tu as dû mal lire car j'ai écritcurieux a écrit :C'est la seule ligne où c'est possible alors que toutes les autres (c'est à dire une infinité) impliquent une non-simultanéité constatée par l'observateur.
ce qui veut dire dans tous les cas (même si O' est situé sur la trajectoire).Quelque soit l'orientation de la trajectoire de O' par rapport à AB les signaux parviennent en O' au temps t' tel que O'oAo = O'A' = O''o'Bo = O'B' = c' t', ils sont donc simultanés dans le référentiel R 'au sens einsteinien puisqu’ils parviennent simultanément en O' milieu de AB au moment de leur émission.
tu as toujours mal lu car j'ai écritTu ne l'as montré que pour des sources qui sont exactement à 90.000000° du sens du mouvement de l'observateur mobile.
tu écris aussiQuelque soit l'orientation de la trajectoire de O' par rapport à AB les signaux parviennent en O' au temps t' tel que O'oAo = O'A' = O''o'Bo = O'B' = c' t', ils sont donc simultanés dans le référentiel R 'au sens einsteinien puisqu’ils parviennent simultanément en O' milieu de AB au moment de leur émission, ce qui veut dire dans tous les cas (même si [A et B sont situés] sur la trajectoire de O').
ça change que -contrairement à ce que dit la RR- la simultanéité est conservée dans un changement de référentiel.curieux a écrit :Cela dit, ça change quoi ?
La fait que les TLs ne conservent pas la simultanéité ... ne veut pas dire qu'il est interdit à sous groupes appartenant aux TLs de la faire.L'idiot du village a écrit :ça change que -contrairement à ce que dit la RR- la simultanéité est conservée dans un changement de référentiel.
Je comprends fort bien que mes trois analyses de la RR te dérangent puisqu'elles mettent en cause son pilier même.Psyricien a écrit :Le fait que les TLs ne conservent pas la simultanéité ... ne veut pas dire qu'il est interdit à [des] sous- groupes appartenant aux TLs de la faire.
Tu énonce une fausseté ... puisqu'il existe des changements de référentiels qui ne conservent pas cette simultanéité.la simultanéité est conservée dans un changement de référentiel.
Moi a écrit :bizarre ... richard continue de fuir:
-->La mesure d'une variation du temps vécu selon le référentiel par les satellites GPS, toujours à faire le sourd?
-->Les divisions par 0 tu as arrêté où tu continue ?
-->2x1 = 2 et non 4 (eh oui richard ,1 évènement et 2 référentiels ça ne fait que 2 mesures possibles, pas 4), tu as toujours pas compris les multiplications ?
-->Toujours à croire que tu as une vitesse non-nulle par rapport à toi même ?
-->Tu confond toujours changement de vitesse d'une source et d'un observateur pour l'effet Doppler subit par des ondes sonores ?
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Richard semble ne pas comprendre qu'il suffit d'un seul exemple de non-conservation de la simultanéité pour démontrer que les changements de référentiel en générale ne la conservent pas. Richard ne comprend donc pas non plus la notion de "conservation" d'une grandeur
. Il passe de plus en plus pour un âne
Richard confond une propriété générale avec un cas particulier.
Par exemple les rotations ne conservent pas l'orientation. Hors pour une rotation de 4 \pi c'est le cas ... encore une fois c'est toute la différence entre un corpus de transformation et un sous-groupe de transformation dans cet ensemble
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ErreurLe troll a écrit :une autre analyse assez subtile: pour pouvoir dire que le temps varie en fonction de la vitesse encore faudrait-il pouvoir hiérarchiser les vitesses et donc comme pour les températures définir un référentiel de vitesse nulle. C'était à l'origine le but de l'expérience de Michelson-Morley, à savoir déterminer si ce mystérieux éther pouvait être pris comme référence zéro.
On sait qu'il n'en est rien: il n'y a pas de référentiel de vitesse nulle. En conséquence le temps est absolu car soit on établit une relation d'ordre entre les vitesses et le temps est relatif soit ce n'est pas possible et alors le temps est absolu.
Je peux comprendre que ma question ne t’intéresse pas. Je te dis que l’expérience que tu me proposes n’est pas l’expérience que Psyricien me propose et qui répondrait à mon questionnement sur comment avec un chronomètre et sur une courte distance (10 mètres) on est en mesure de déterminer la vitesse du muon.Science Création a écrit :Écoute, dans l'expérience que tu apportes, la vitesse du muon n'est pas chronométrée. La vitesse du muon est une entrée dans l'expérience. On sélectionne par un procédé qui n'utilise pas le chronomètre, les muons ayant au moins tel vitesse. Le but de l'expérience n'est pas de chronométrer sur une distance le muon pour en déterminer sa vitesse ce qui est l'expérience qui m'intéresse.
Je te remercie curieux pour l'effort que tu as mis à m'expliquer cette expérience qui te tien à cœur. Mais si tu avais pris la peine de considérer ce que je t'écrivais, tu te serais évité beaucoup de tracas.
Ici la réponse de Psyricien qui vient après ta réponse confirme qu'il parle bien d'une expérience qui n'est pas celle que tu tentes de me rentrer de force dans la gorge. Et c'est de cette expérience que je tente péniblement de m'informer étant donné la grande résistance des intervenants.curieux a écrit :Mais qu'est-ce qu'on en a à battre que cette expérience ne parle pas du chronométrage des muons,
Pourtant voici une question que j’ai adressé à Psyricien et lit sa réponse :curieux a écrit :ici cette particule élémentaire ne peut pas être chronométrée, elle est générée dans la haute atmosphère par le rayonnement cosmique.
L’expérience qu’il me propose et qui répondrait selon lui à mon questionnement a comme source de muon la même que toi. Tu me dis qu’elle ne peut pas être chronométrée, Psyricien me dit le contraire. Moi, le moins connaissant de vous deux sur le sujet, aimerait que vous défendiez votre point de vue respectif sur ce point précis.Science Création a écrit :Q01a- La production des muons qui vont passer par la première plaque sont-ils en partie produits d’une façon contrôlée par un certain appareil ? J’entends par contrôlé le fait de savoir combien on en émet en direction de la plaque et qu’on les émet au moment voulu.Psyricien a écrit :Tu ne contrôles pas la production de muons cosmique
Pourquoi es-tu étonné ? Il est normal de ne pas tout connaître.curieux a écrit :Par contre, et on peut s'étonner que tu ne connaisses pas le fonctionnement des accélérateurs de particules, quand ils sont générés par paquets, et toutes les particules chargées ordinaires peuvent être candidates, on a les moyens technologiques de mesurer leur vitesse avec une précision extrême, Psyricien t'a donné la méthode de détection, et c'est loin d'être la seule.
Je suis ignorant sur le sujet et je l’ai écrit. Je ne veux pas laisser planer le doute que la mesure n’est qu’une interprétation. Ce que je veux est de m’assurer que ce n’en est pas une. Tu comprends la nuance ? Plus vite on répond à mes questions d’une façon précise et plus vite le doute sera dissipé. Ce n’est pas moi qui réponds à côté de la plaque, qui trouve des excuses pour ne pas répondre et qui ce faisant laisse planer le doute.curieux a écrit :J'ai parfaitement compris où tu veux en venir avec ton histoire de chronométrage, tu laisses planer le doute que la mesure n'est qu'une interprétation,
De quelle expérience parles-tu ? De celle proposée par Psyricien ou celle que tu nous a partagé ici ?curieux a écrit :et bien oui, dans le cadre de l'expérience telle qu'elle a été menée c'est le cas,
Par mon questionnement, je ne tente pas de vérifier que la matière, quelle qu’elle soit, se balade à une vitesse > c. Je veux simplement voir comment on chronomètre des muons sur une distance de 10 mètres et en connaître, s’il y en a, les présupposés nécessaires à ce chronométrage.curieux a écrit :mais ce que tu ignores royalement c'est que ce n'est pas la seule façon de vérifier que la matière, quelle qu'elle soit, ne se balade jamais à une vitesse > à c. Et ça, on le sait grâce aux mesures de vitesses pratiquées tous les jours dans les labos connectés aux super-accélérateurs et tu le sais aussi parfaitement.
Voici un extrait de ton lien :Science Création a écrit :Et c'est de cette expérience que je tente péniblement de m'informer étant donné la grande résistance des intervenants.curieux a écrit :Quelle résistance, c'est ton interprétation, faut-il aussi t'apprendre à te servir des moteurs de recherche ?
http://www.odpf.org/anterieures/xviii/g ... ire_22.pdf
Ce cas particulier dans cette expérience particulière est intéressant.curieux a écrit :instruis-toi et vérifie toi-même comment on met en doute les erreurs possibles dans une expérience scientifique.
Un référentiel désigne un cadre de référence utilisé pour effectuer une mesure.richard a écrit :4. Analyse du référentiel einsteinien.
En RR, dans un référentiel les horloges sont synchronisées. Un référentiel einsteinien est donc une "chose" où l'on peut placer des horloges, ce ne peut donc pas être être seulement un système de coordonnées de l'espace-temps car il est très difficile de placer des horloges dans un système de coordonnées, amha.