Re: Robin Williams
Publié : 25 août 2014, 09:22
Bonjour Dave,
1-) savoir reconnaitre ce qu’est une croyance de ce qui n'en est pas!
Et là est tout le problème parce que certains pensent que leurs croyances n'en sont pas vraiment. L'exercice implique donc :
2-) de saisir qu'il n'y a pas que les idées et les hypothèses qu'on juge probable ou plaisante, qui doivent être considéré comme étant des croyances, mais que toute interprétation de sentiments, de sensations et de ressentis, aussi profond et puissant ces derniers puissent-ils être, sont aussi à classer dans les croyances si elles ne peuvent se vérifier objectivement.
Sauf que certains voient des signes en tout et relient ces derniers à leurs sentiments et ressentis, ce qui leur donne l'impression (la conviction) qu'ils « vérifient » ou « valident » concrètement leurs interprétations. Ça nécéssite donc aussi :
3-) d'apprendre ce que sont les divers biais ainsi que de reconnaitre et d'accepter les situations où ils peuvent avoir un effet sur nos propres « méthodes de validation » perso.
Après ces 3 étapes, ben :
4-) faut commencer par accepter de classer ce qui doit être classé dans la « case croyance » dans cette case et pas ailleurs (même si c'est un peu plus qu'une idée et qu'on le ressent fortement).
Ensuite seulement, on peut véritablement commencer à se poser la question en ce qui concerne ce qui est dans notre « case croyance ».
C'est comme l'alcoolisme où avant de pouvoir faire quoi que ce soit, ben faut commencer par admettre et reconnaitre qu'on est alcoolique.
En effet! ...Mais pour pouvoir faire ceci, il y a des prérequis :Dave a écrit :J'en reviens donc encore à la question de savoir ce qui, personnellement, nous motive vraiment à choisir telle croyance au lieu d'une autre.
1-) savoir reconnaitre ce qu’est une croyance de ce qui n'en est pas!
Et là est tout le problème parce que certains pensent que leurs croyances n'en sont pas vraiment. L'exercice implique donc :
2-) de saisir qu'il n'y a pas que les idées et les hypothèses qu'on juge probable ou plaisante, qui doivent être considéré comme étant des croyances, mais que toute interprétation de sentiments, de sensations et de ressentis, aussi profond et puissant ces derniers puissent-ils être, sont aussi à classer dans les croyances si elles ne peuvent se vérifier objectivement.
Sauf que certains voient des signes en tout et relient ces derniers à leurs sentiments et ressentis, ce qui leur donne l'impression (la conviction) qu'ils « vérifient » ou « valident » concrètement leurs interprétations. Ça nécéssite donc aussi :
3-) d'apprendre ce que sont les divers biais ainsi que de reconnaitre et d'accepter les situations où ils peuvent avoir un effet sur nos propres « méthodes de validation » perso.
Après ces 3 étapes, ben :
4-) faut commencer par accepter de classer ce qui doit être classé dans la « case croyance » dans cette case et pas ailleurs (même si c'est un peu plus qu'une idée et qu'on le ressent fortement).
Ensuite seulement, on peut véritablement commencer à se poser la question en ce qui concerne ce qui est dans notre « case croyance ».
Ouais, sauf que certains ont tellement foi en (ressentent) leurs croyances que, pour eux, ce n'en est plus! Donc comment pourraient-ils envisager de faire une introspection concernant un truc qui ne les concernent même pas!Dave a écrit :Il faut un esprit alerte, une grande honnêteté et une grande ouverture d'esprit envers nous-mêmes pour répondre correctement à cette question qui est plus importante qu'il pourrait y paraitre à première vue.
