Psyricien a écrit :...Sont con ces physiciens de tester leur modèles et de vérifier leurs extrapolations ... alors que Dash et EB nous expliquent qu'il n'y a qu'une seul bonne solutions qui serait logique

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Strawman, strawman, strawman!
Comme je le disais à Wooden, nous somme en face d'un mec qui s'est ouvert un nouveau sujet dans le but de pouvoir se cantonner exclusivement dans un contexte très spécifique où seule la logique au « sens strict » (ou mathématique) et seulement cette dernière importe et a incidence afin de pouvoir démontrer que, dans l'absolu, il est possible de trouver toutes sortes d'équations qui peuvent justifier n'importe quel nombre qu'on pourrait ajouter à n'importe quelle des suites qu'on pourrait rencontrer.
Fine, OK il a raison! Et c'est intéressant à savoir!
... Au même titre que de savoir et reconnaître (jusqu'à preuve du contraire) que la vie n'a pas de créateur, n'a pas de sens, ni de but dans l'absolu. Ou encore qu'à partir de certain point, plusieurs choses sont relative ou subjective ou que, dans le fond du fond du fond, la logique et les math ne sont peut-être pas des universaux, mais dépendent de la structure du cerveau humain et sont donc subjectif.
Sauf que cette « restriction » (dans laquelle il se « cantonne » et veut tous nous « cantonner ») n'a plus rien à voir avec un test de 30 40 questions qui servent à évaluer la « logique au sens large », la perspicacité et le discernement d'un être humain qui devra évaluer laquelle des 4 ou 5 réponses proposé fait le plus de sens avec ce qui est observé. Le contexte n'est plus le même que la restriction qu'impose le contexte auquel veut nous cantonner Psyricien parce que les choix de réponse évacuent complètement les autres réponses possibles, mais non permises. Ne reste qu'à évaluer laquelle des réponses est la plus « soumise » à ce qu'« impose » ce qui est présenté. Et dans ce cas, si un individu est tout de même capable de trouver autant de formules (parfaitement logiques et valides) qu'il y a de choix de réponse pour justifier toutes ces dernières et qu'il se retrouve donc dans l'incapacité d'effectuer un choix, c'est que , manifestement, il ne capte pas qu'il ne doit pas considérer ce qui est parfaitement équivalent et qui ne peut donc pas servir à départager quoi que ce soit (à moins que cela fasse partie du choix de réponse) et ce, parce qu'on lui impose de faire un choix. Et, dans ce cas, s'il est incapable de déterminer ce qui peut produire des « faisceaux de présomption » plus ou moins inégaux afin de permettre un choix « logique », c'est qu'il ne sait pas traiter logiquement (au « sens large ») autre chose que des opérations strictement mathématiques (et, justement, parce qu'un test comporte plusieurs types de questions, l'évaluateur pourra suspecter cela ou un trouble cognitif, etc. Alors prétendre qu'on ne peut
rien retirer de ces tests c'est, à tout le moins, trop « fort » ou exagéré comme prétention).
Plusieurs l'ont compris depuis longtemps déjà : je ne m'objecte pas à ce que présente Psyricien dans
son contexte restreint (il a naturellement raison au sujet des extrapo), la nuance est que je refuse à me laisser imposer de ne traiter que de sa restriction alors qu'il veut se servir de cette dernière comme argument qui concernera un tout autre contexte que dans lequel il est valide. S'il avait ouvert ce sujet juste pour démontrer son truc sans avoir traité de QI pendant des jours durant avant, OK, mais là il « spin-off » juste pour ne pas avoir à considérer, traiter ou répondre des autres facteurs ou questions qu'on lui propose ou objecte. Et cela se voit très bien du fait qu'il ne répond pas à certaines questions et du fait qu'il ne veut pas considérer qu'un mec qui ne possède pas ses connaissances n'arrivera jamais à considérer un polynôme ou un extrapo, entre autres (certains lui ont fait remarquer, plus ou moins poliment). On observe tous qu'il s'enfonce et qu'il fait une sortie de route à ce sujet.
Sinon il est évident que la réponse à un test peut aussi être « à développement » pour servir à observer comment un mec raisonne et comment il justifie sa réponse et, que, par conséquent, il n'y a pas toujours qu'une seule réponse possible à tous les tests possibles et inimaginables que peuvent inventer les humains. Donc même pas besoin que cela concerne une suite numérique (et inclure l'extrapo) pour informer et faire remarquer à son interlocuteur que ce n'est pas nécessairement vrais ou exacts au poil du cul de mouche près dans tous les cas et dans l'absolu.
Une dernière chose...
Pourquoi, à propos du sujet plutôt général concernant le QI, il décide de faire un spin-off pour ne considérer et ne traiter que de l'aspect strictement logique « au sens strict » ou « mathématique », en évacuant le contexte plus large (et tous les autres facteurs) que traite et concerne les tests de QI mis à part les calculs mathématiques, alors qu'à propos de la discussion avec EB sur les quantificateurs existentiels indéfinis et du mot « certains », tout d'un coup, il choisit l'aspect le moins « technique », logique ou « formel » et considère que « certains » exclut l'implication de « tous » alors que techniquement, sans aucun contexte ou référentiel humains, le carré logique A,E,I,O ne peut exclure cela s'il l'on veut que la logique se « contraigne » et s'exprime d'elle-même (et ne soit pas dicté par un contexte) et ne deviennent pas complètement subjective et arbitraire à tout un chacun? Et lorsqu'EB lui démontre (comme lui le fait ici avec son extrapo pour nous démontrer la logique « stricte » des math), que considérer un quantificateur existentiel indéfini comme dans le langage naturel produira forcément des contradictions logiques ben il ne répond pas à ça, mais à autre chose!
Alors quoi, ce n'est pas la « logique absolue » ou « stricte » qui l'emporte sur le langage naturel dans ce cas?

Il invoque qu'à l'origine ma question était une phrase comportant des individus (chasseurs, etc.) et des mots du langage naturel (certains), comme si ça justifiait de changer ce qu'implique le quantificateur existentiel alors que ce n'était qu'un syllogisme comme on en utilise depuis 2000 ans en logique classique et formelle et que cela n'a donc
aucun ancrage dans une réalité concrète qui justifierait de considérer le mot « certains » d'une autre façon qu'on le fait en logique formelle. Tous les traités de logique mentionnent que le quantificateur existentiel — même quand il est utilisé dans un syllogisme — doit être interprété d'une façon spécifique et pas une autre pour ne pas créer de contradiction logique. Meuuuuu non : c'est moi et EB qui avons tort

...et Psy décide arbitrairement qu'un syllogisme, c'est comme une discussion humaine qui implique la subjectivité de l'auteur. ....mais dans le sujet du QI, ha quoi?, ...on
switch et c'est le contraire : faut juste considérer (et uniquement) les mathématique et le fait que, techniquement, on ne peut considérer aucune réponse comme plus pertinente qu'une autres. Au diable « l'aspect humain » et tous les autres aspects impliqués dans ce cas
Bullshit!!! C'est complètement partial comme attitude!
Psyricien n'aura jamais tort sur ce forum, parce qu'il « voyage »habilement et égoïstement entre les contextes qui ne peuvent que lui donner raison. Bien sûr le but n'est pas (d'exiger) qu'il ait parfois tort (par souci d'égalité, ce qui serait insensé), mais sa façon de procéder fait qu'il n'accepte jamais (implicitement) de causer d'autres contextes ou facteur que celui dans lequel il se restreint et se cantonne (tout en tentant plus ou moins subtilement de contraindre les autres) à l'intérieur d'une discussion. Ce qui fait qu'il ne répond pas et/ou ne considère pas certaines questions et remarque qu'il juge hors de « sa restriction~juridiction » et qu'il finit par faire un spin-off pour justifier cela lorsque les autres facteurs évoqués commencent à trop l'emmerder.
Je ne lui reproche pas d'avoir ou de ne pas avoir tort, je lui reproche de ne jamais chercher à saisir dans quel contexte son interlocuteur se trouve et de toujours considérer le pire (ou à son avantage, sans lâcher du lest ne serait-ce que d'un mm ) de ce que peut impliquer un mot utilisé, alors que d'une fois à l'autre il utilise le même, comme s'il avait compris comment son interlocuteur l'utilise, mais dès que son interlocuteur se dit «
ha OK, c'est bon, il l'utilise, donc on se comprend » et qu'il l'utilise à son tour, Non, non, non, erreur : il le lui reproche immédiatement de nouveau.
Ce mec ne fait que du deux poids deux mesures.