Re: Les goûts et les couleurs : acquis, innés, ça se discute.
Publié : 09 sept. 2016, 16:20
merci d'avoir précisé, cogite.
Débattons sans nous battre !
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L'homophobie a fortement reculé, mais elle n'a pas disparue. Et si elle est souvent mal considérée, elle n'est pas taboue pour autant. Parler de virage à 180° est exagéré.Nicolas78 a écrit :Ps : je posait la question puisque le sujet des "origines" (chimique, biologique, éducatives, comportementales, psycho-moteur...y compris intra-utérine) de l'homosexualité était sur la tale.
Je trouve ça glissant, mais très interessant, d'autant plus que justement les tabous (sociaux) et pressions (des associations par exemple) on du faire un virage à 180° depuis une trentaine d'années ?
D'accord avec ça.Nicolas78 a écrit :Il n'est pas exclu qu'un traitement passe par le fait d'assumer (ça peut être choquant, mais un psy ne doit pas se laisser aller à trop de considération morales qui mettrait son patient sur le bûcher)... si la personne nie être malade par exemple. Justement, ça serait un bon début d'assumer. S'accepter en revanche, il est certains que non.
Pouvez-vous nous dire concrètement :Kraepelin a écrit :Intellectuellement, par contre, le virage a aussi conduit à une occultation de la réalité et à une rectitude qui se manifeste par un totalitarisme intellectuel trop répandu à mon gout.
ExactCogite Stibon a écrit : L'homophobie a fortement reculé, mais elle n'a pas disparue. Et si elle est souvent mal considérée, elle n'est pas taboue pour autant. Parler de virage à 180° est exagéré.
Alors oui je suis d'accord dans le fond, mais j'ai un doute sur l'utilisation de cet argument par les associations gays qui on prônées un moment la "honte" de rechercher des causes (notamment génétique, alors que le sujet existe et est étudié en génétique...et alors qu'en parallèle on se pose moins [voir pas] la question des origines et des "causes" pour l'hétérosexualité... ce qui amène forcement à des positions défensives j'imagine ?).De plus, le sujet des causes de l'homosexualité est "neutre"' politiquement. Plus exactement, trouver une cause a l'homosexualité peut être exploitée aussi bien par les homophobes ('XXX cause l'homosexualité, donc c'est une maladie") que par les associations gays ("XXX cause l'homosexualité, donc ce n'est pas un choix")
Surtout qu'on peut être terroriste pédophile ET de gauche aussiPepejul a écrit :merci d'avoir précisé, cogite.
Pourrais-tu développer un peu stp ?Kraepelin a écrit :Intellectuellement, par contre, le virage a aussi conduit à une occultation de la réalité et à une rectitude qui se manifeste par un totalitarisme intellectuel trop répandu à mon gout.
Vaste question! Je veux bien développer "un peu". La légitime lutte a l'homophobie a subit des dérives commune à toute l'idéologie que les américains appellent «political correctness». Par exemple, dans plusieurs organismes gouvernementaux qui financent la recherche, il n'est plus possible de recevoir des subventions pour un protocole dont les résultats pourrait stigmatiser ce groupe minoritaire ... Dans ce contexte, on ne cherche pas seulement à museler un discours homophobe. C'est la réalité elle-même que l'on cherche à occulter. Je sais pas toi, mais moi ... je n'aime pas.Lulu Cypher a écrit :Pourrais-tu développer un peu stp ?Kraepelin a écrit :Intellectuellement, par contre, le virage a aussi conduit à une occultation de la réalité et à une rectitude qui se manifeste par un totalitarisme intellectuel trop répandu à mon gout.
Personnellement je n'apprécierait pas une occultation de la réalité sauf que tu utilises un mot fort "stigmatiser" ... si tu y mets un sens moral (dans le sens dénoncer un comportement moralement répréhensible) .... j'espère que tu rejetterais un protocole emprunt d'une telle subjectivité. Peut-être y a-t-il un autre sens caché ... à moins que tu veuilles dire qui "mettrait en évidence" ? Auquel cas je pourrais être d'accord avec toi s'il en existait des preuves bien sur ... pour le moment je n'ai que ma confiance en toiKraepelin a écrit :Par exemple, dans plusieurs organismes gouvernementaux qui financent la recherche, il n'est plus possible de recevoir des subventions pour un protocole dont les résultats pourrait stigmatiser ce groupe minoritaire ...
Si tu as raison effectivement c'est 2 poids 2 mesures mais qui me prouve que tout ça est la réalité[1] ? Question subsidiaire existe-t-il seulement un moyen de le prouver ?Kraepelin a écrit :Autre exemple, à Americain Psychological Association (et dans d'autres organismes professionnels lourdement embrigadé dans cette rectitude), ceux qui proposent des interprétations douteuses de données aux couleurs homophobes se font taper sur les doigs, mais au contraire ceux qui proposent des interprétation douteuses aux couleurs homophiles reçoivent de félicitations. Moi je trouve que les deux groupes qui débloquent devraient se faire taper sur les doigts.
Oui je vois au moins à quoi tu fais allusion ... mais (pour le moment) ça reste une affirmation gratuiteKraepelin a écrit :C'est tu plus clair?
Tu m'as demandé de « développer un peu». C'est fait.Lulu Cypher a écrit :Oui je vois au moins à quoi tu fais allusion ... mais (pour le moment) ça reste une affirmation gratuiteKraepelin a écrit :C'est tu plus clair?
Oui.Kraepelin a écrit :La légitime lutte a l'homophobie a subit des dérives commune à toute l'idéologie que les américains appellent «political correctness».
C'est mal d'empêcher la recherche, nous sommes d'accord là dessus. Mais pour pouvoir dire qu'il s'agit d'une occultation de la réalité, il faut postuler au départ que les résultats de ces recherches empêchées auraient été défavorables aux homosexuels. De même, il y a un monde entre "certains organismes ne financent pas certains types d'études" et "totalitarisme intellectuel".Kraepelin a écrit : Par exemple, dans plusieurs organismes gouvernementaux qui financent la recherche, il n'est plus possible de recevoir des subventions pour un protocole dont les résultats pourrait stigmatiser ce groupe minoritaire ... Dans ce contexte, on ne cherche pas seulement à museler un discours homophobe. C'est la réalité elle-même que l'on cherche à occulter. Je sais pas toi, mais moi ... je n'aime pas.
Et pourtant, dans le sujet sur l'homoparentalité, vous avez nié les biais des études défavorables à l'homosexualité.Kraepelin a écrit : Autre exemple, à Americain Psychological Association (et dans d'autres organismes professionnels lourdement embrigadé dans cette rectitude), ceux qui proposent des interprétations douteuses de données aux couleurs homophobes se font taper sur les doigs, mais au contraire ceux qui proposent des interprétation douteuses aux couleurs homophiles reçoivent de félicitations. Moi je trouve que les deux groupes qui débloquent devraient se faire taper sur les doigs.
Affirmer quelque chose, puis demander à son interlocuteur d'en rechercher lui même les preuves, est par contre une attitude typiquement zozo.Kraepelin a écrit :Ne pas me croire est une bonne attitude sceptique. Le mieux serait que tu fasses le même exercice que moi et que tu te tapes une brochette de recherches empiriques et autant de revues de littérature sur la question.
Merci de ce satisfecit paternaliste et inutileKraepelin a écrit :Ne pas me croire est une bonne attitude sceptique.
Le principe qui consiste à jouer la pucelle effarouchée en me reprochant de ne pas avoir fait TA job est à mon sens assez improductif si tu veux que ta crédibilité soit a minima conservée (la charge de la preuve t'incombe).Kraepelin a écrit :Le mieux serait que tu fasses le même exercice que moi et que tu te tapes une brochette de recherches empiriques et autant de revues de littérature sur la question.
J'ai déjà amplement documenté sur d'autres discussions, comme ici.Lulu Cypher a écrit :Le principe qui consiste à jouer la pucelle effarouchée en me reprochant de ne pas avoir fait TA job est à mon sens assez improductif si tu veux que ta crédibilité soit a minima conservée (la charge de la preuve t'incombe).Kraepelin a écrit :Le mieux serait que tu fasses le même exercice que moi et que tu te tapes une brochette de recherches empiriques et autant de revues de littérature sur la question.
We agree, however, that ideological pressures constrain intellectual development in this field. In our view, it is the pervasiveness of social prejudice and institutionalized discrimination against lesbians and gay men that exerts a powerful policing effect on the basic terms of psychological research and public discourse on the significance of parental sexual orientation. The field suffers less from the overt ideological convictions of scholars than from the unfortunate intellectual consequences that follow from the implicit hetero-normative presumption governing the terms of the discourse - that healthy child development depends upon parenting by a married heterosexual couple. While few contributors to this literature personally subscribe to this view, most of the research asks whether lesbigay parents subject their children to greater risks or harm than are confronted by children reared by heterosexual parents. Because anti-gay scholars seek evidence of harm, sympathetic researchers defensively stress its absence.
Judith Stacey et Timothy J. Biblarz, « (How) Does sexual orientation of parents matter? », American Sociological Review, vol. 66, no 2, 2001, p
. 160
Les auteurs s'entendent donc généralement non seulement pour reconnaitre le même bais que celui que je soulignais plus haut (et dont tu doutais), mais pour reconnaitre que ce baisi est largemetn connu dans le milieu: «We all know the answers to these questions»Consider the following thought experiment (see Reich et al. 2007). Suppose Regnerus had conducted an identical study (having the same methodological flaws) that had produced results consistent with previous studies, finding no differences between the children of lesbigay and heterosexual parents. Would this one study (among the over 60 studies on lesbigay parenting) receive the same criticism, or any criticism at all, from the academic community? Would 201 scholars send a letter to the Editors of Social Science Research objecting to the Journal’s publication of the study (Gates et al. 2012)?Would Professor Sherkat (2012) publish a tough critique of the study and journal review process? Would the author’s former department chair publish an OpEd saying that she was “furious” about her junior colleague’s “pseudoscience” (Umberson 2012)? Would academics make allegations in blogs and other forums about the integrity of the author, journal editor, and editorial review process? Would the University of Texas subject Regnerus to an intrusive investigation for possible scientific misconduct, triggered not by any proffered evidence of scientific fraud but because critics questioned the study design and results, all disclosed in the article? (The investigation found no evidence of scientific fraud or ethical misconduct, University of Texas, 2012).
Would there be the same outrage, the same “nastiness and vituperation,” as the journal editor described it (Wright 2012, p. 1339)? We all know the answers to these questions. There have been many publicized and often-cited studies on lesbigay parenting that, as discussed below, contain significant methodological flaws and limitations. None were widely attacked by other scientists.
Redding R.E. (2013). Politicized Science. Society, 50(5), 4 39-446
Si ça ne te suffit pas, qu'est-ce que je peux y faire?Kraepelin a écrit :... ceux qui proposent des interprétations douteuses de données aux couleurs homophobes se font taper sur les doigs, mais au contraire ceux qui proposent des interprétation douteuses aux couleurs homophiles reçoivent de félicitations. Moi je trouve que les deux groupes qui débloquent devraient se faire taper sur les doigs.
Je ne crois pas à un complot et n'ai absolument pas soulevé cette possibilité. Même lorsqu'il y a des actions concertés elles le sont généralement de bonne foi. La cause du biais systématique a la même origine que pour les reste du «political correctness» : une convergence de biais psychologiques personnels et culturels. Par exemple, le fait que les chercheurs, et les auteurs de revue de littérature soient presque tous gays et lesbiennes n'est pas le résultat d'un complot, mais c'est une condition idéale pour alimenter un biais systématique.Lulu Cypher a écrit : Personnellement je vois plus dans ces biais des événements indépendants qu'un action concertée.
Si tu relis bien mon point (c'est facile je l'ai laissé ci-dessus) tu constateras aisément que la partie tronquée de mon message correspond à la mise en évidence de ton sophisme et de lui seul.Kraepelin a écrit :J'ai déjà amplement documenté sur d'autres discussions, comme ici. [...] Si ça ne te suffit pas, qu'est-ce que je peux y faire?Lulu Cypher a écrit :Le principe qui consiste à jouer la pucelle effarouchée en me reprochant de ne pas avoir fait TA job est à mon sens assez improductif si tu veux que ta crédibilité soit a minima conservée (la charge de la preuve t'incombe).Kraepelin a écrit :Le mieux serait que tu fasses le même exercice que moi et que tu te tapes une brochette de recherches empiriques et autant de revues de littérature sur la question.
Oui moi non plus je n'y crois pas .... je n'en ai pas plus parlé que toi .... ton biais complotiste a du transformer mon "action concerté" en "complot" .... comme tu le dis si bien je n'y peux rienKraepelin a écrit :Je ne crois pas à un complot et n'ai absolument pas soulevé cette possibilité. Même lorsqu'il y a des actions concertés elles le sont généralement de bonne foi. La cause du biais systématique a la même origine que pour les reste du «political correctness» : une convergence de biais psychologiques personnels et culturels. Par exemple, le fait que les chercheurs, et les auteurs de revue de littérature soient presque tous gays et lesbiennes n'est pas le résultat d'un complot, mais c'est une condition idéale pour alimenter un biais systématique.Lulu Cypher a écrit : Personnellement je vois plus dans ces biais des événements indépendants qu'un action concertée.
Lulu Cypher a écrit : Encore une fois en ne montrant qu'une face des choses (celui qui illustre ton propos) tu ne me donnes pas confiance. Mais je m'en remettrai
Si tu fais enfin le lien, pourquoi plus haut me reprochais-tu de n'avoir pas documenté une affirmation que j'avais largement et longuement document?Lulu Cypher a écrit : Par contre je vais arrêter là le HS (qui pourrait ne pas en être un) parce qu'effectivement cette discussion semble être une reditre de celle du fil sur l'homoparentalité.
Bonjour KraepelinKraepelin a écrit :Si tu fais enfin le lien, pourquoi plus haut me reprochais-tu de n'avoir pas documenté une affirmation que j'avais largement et longuement document?
Kraepelin .... ta réponse est tellement bizarre. Je veux bien admettre que je puisse m'exprimer avec peu de clarté par moments .... mais comme tu es effectivement le seul à me le faire remarquer avec une certaine répétitivité au bout de 3 ou 4 échanges ... j'aurais tendance à penser que tu es la cause principale de cette incompréhension ... pour tout un tas de raisons :Kraepelin a écrit :Ta réponse est ici un vrai fouillis. Il m'est difficile de répondre à des arguments que je ne comprend pas. C'est pas la première fois que j'ai de la difficulté à te comprendre dans une discussion. Je veux bien m'en attribuer une part de responsabilité, mais comme ton tour reviens plus souvent que celui d'autres ...
Tu m'as très bien compris et tu joues un peu au conKraepelin a écrit :Lulu Cypher a écrit : Encore une fois en ne montrant qu'une face des choses (celui qui illustre ton propos) tu ne me donnes pas confiance. Mais je m'en remettrai
Et tu voudrais que je donne des exemples qui n'illustrent pas mon propos?
Écoute mon cauteleux ami, tu fais des effets de manches pour me fournir une publication en privée qui n'est que la version finalisée de ce que tu nous as exposé sur ce fil .... je suis désolé de ne pas m'en être rendu compte au premier post ... sans doute n'ai je pas autant d'intérêt que toi pour tes propres proposKraepelin a écrit :Si tu fais enfin le lien, pourquoi plus haut me reprochais-tu de n'avoir pas documenté une affirmation que j'avais largement et longuement document?Lulu Cypher a écrit : Par contre je vais arrêter là le HS (qui pourrait ne pas en être un) parce qu'effectivement cette discussion semble être une reditre de celle du fil sur l'homoparentalité.
Désolé de répondre aussi tardivement.Raphaël » 26 août 2016, 10:10
Un tigre mange seulement de la viande, un koala de l'eucalyptus et un panda du bambou. Inné ou acquis ? Crois-tu qu'on pourrait habituer un tigre à manger des bananes ou un koala à manger des côtes levées ? Crois-tu que chez les animaux les goûts s'expliquent par l'inné et chez les humains par l'acquis ? Peut-être que je me trompe mais j'ai l'impression que tu cherches encore une différence fondamentale entre animal et humain et que tu espères la trouver dans l'origine des goûts.
Le panda mangeait de la viande. En fait, on pourrait peut-être permettre à un tigre de se nourrir végétarien en modifiant sa flore intestinale ...25 décembre a écrit :Désolé de répondre aussi tardivement.Raphaël » 26 août 2016, 10:10
Un tigre mange seulement de la viande, un koala de l'eucalyptus et un panda du bambou. Inné ou acquis ? Crois-tu qu'on pourrait habituer un tigre à manger des bananes ou un koala à manger des côtes levées ? Crois-tu que chez les animaux les goûts s'expliquent par l'inné et chez les humains par l'acquis ? Peut-être que je me trompe mais j'ai l'impression que tu cherches encore une différence fondamentale entre animal et humain et que tu espères la trouver dans l'origine des goûts.
Les animaux ne choisissent pas leur menu par goûts. C'est un besoin de manger pour ne pas mourir. Le lion ne peut pas digérer convenablement de l'herbe ou des bananes. Il est obligé de manger de la viande.
S'ils ne choisissent pas par goût ils choisissent comment ? Par la vue ? Le toucher ? L'ouïe ? L'odorat ?25 décembre a écrit :Les animaux ne choisissent pas leur menu par goûts.
Ici tu sembles suggérer qu'ils ne choisissent pas mais mangent tout ce qu'ils trouvent seulement pour ne pas mourir de faim.C'est un besoin de manger pour ne pas mourir.
Ici par contre tu prétends qu'ils choisissent ce qu'ils mangent, ce qui ramène à la première question: ils choisissent comment ?Le lion ne peut pas digérer convenablement de l'herbe ou des bananes. Il est obligé de manger de la viande.
Va voir la réponse de Pépejul et pour le reste essaie de répondre à tes question par toi même.Raphaël » 12 sept. 2016, 06:45
S'ils ne choisissent pas par goût ils choisissent comment ? Par la vue ? Le toucher ? L'ouïe ? L'odorat ?
Ici tu sembles suggérer qu'ils ne choisissent pas mais mangent tout ce qu'ils trouvent seulement pour ne pas mourir de faim.
Ici par contre tu prétends qu'ils choisissent ce qu'ils mangent, ce qui ramène à la première question: ils choisissent comment ?
C'est très peu le goût mais la disponibilité de la nourriture.spin-up » 12 sept. 2016, 05:30
Par contre pour un régime donné, et si le choix existe (pas si frequent dans la nature) la plupart des animaux peuvent développer un gout pour un aliment plutot qu'un autre.
Je ne la connaissais pas celle-là. Tu as une source?25 décembre a écrit : Dans les années 1970 les biologistes du Ministère de la Faune et des Parcs a constaté que dans un ravage de cerf de Virginie, les cerfs n'avaient plus assez de nourriture à leur portée. Ils ont placé du foin à des endroits facile d'accès. Les cerfs en mangeaient et semblaient trouver cette nourriture à leur goût. Au printemps les biologistes ont constatés que plusieurs cerfs étaient mort de malnutrition, le ventre plein. La nourriture que l'on donne aux bovins ne convenait pas aux cerfs.
Ce que j'ecris justement c'est que quand la nourriture ne manque pas et est variée les animaux developpent souvent des preferences personnelles.25 décembre a écrit :C'est très peu le goût mais la disponibilité de la nourriture.spin-up » 12 sept. 2016, 05:30
Par contre pour un régime donné, et si le choix existe (pas si frequent dans la nature) la plupart des animaux peuvent développer un gout pour un aliment plutot qu'un autre.