Etienne Beauman a écrit : 05 mars 2019, 23:40
Kraepelin a écrit : 05 mars 2019, 21:25
Je ne conteste pas les données policières. Je conteste leur interprétation et la question de la causalité est une façon de considérer les faits en le mettant en perspective.
Quelle interprétation ?
Je vais me répéter, mais je constate bien que c'est nécessaire de le faire.
À LA BASE
Pour des raisons biologiques et culturelles, l'agressivité et la méchanceté des femmes ne se manifeste pas de la même façon. Ça ne veut pas dire pour autant qu'elle soit moindre. Ça implique, par contre, que les manifestations de méchanceté que choisissent les femmes sont moins sanctionnée par la justice.
Dans les affrontement de tous les jours, pour des raisons biologiques et culturelles, les femmes sont plus des "machines la coudre" que des bombes, Leur agressivité se manifeste par des petits coups d'aiguille dont la violence ne se vérifie que par les répétitions incessantes. L'agressivité des gars est moins persistante parce que plus souvent plus explosive. «
Je te picoce pas pendant 3 jours, mais quand j'explose, j'explose. Ensuite, c'est fini.»
Pour la méchanceté-cruauté, les femmes font plus souvent dans le "social engineering": Isoler sa rivale; Monter les autres filles contre elle; Partir une rumeur; etc. Dans les conflits de garde d'enfant aussi la différence est marquée sans pour autant que les femmes apparaissent moins cruelles (au contraire). Les femmes en colère exploitent souvent les stéréotypes qui les avantagent. Les femmes en colère exploiteront parfois les fausses accusations de violence conjugale ou d'abus sexuel d'enfant. J'ai des clientes qui m'ont confessé l'avoir fait avec efficacité. Heureusement, les femmes policières aujourd'hui affectées à ce genre de dossier, ce laissent moins "emplir" qu'autrefois, mais ça reste une manifestation de cruauté disponible aux femmes et bien moins accessible aux hommes.
Les femmes en colère pratiquent également
l'aliénation parentale. Les hommes aussi cherchent à pratiquer l'aliénation parentale, mais ils le font en moins grand nombre et beaucoup moins efficacement. C'est très destructeurs l'aliénation parentale autant pour le parent aliéné que pour les enfants. Pourtant, il n'y a pas condamnation au criminel pour ces manifestations de cruauté.
La méchanceté, la cruauté derrières ces formes de violence n'est pas moindre, mais au criminel ça ne donne pas lieu à des condamnations répertorié par la police.
PAR AILLEURS
D'autres facteurs jouent aussi pour expliquer les nombre de condamnations. En psychologie-social, Il a été bien démontré expérimentalement que pour un même crime, dans les mêmes condition, une femme a moins de chances d'être condamnée et si elle est condamnée, elle recevra une sentence plus légère. Dans les études de dossiers judiciaires réels*, ça se vérifie aussi. Je sais que des constatations analogues ont été faite pour les crimes aux USA où
les blacks avaient bien plus de chances de faire de la prison que les blancs pour des crimes pourtant analogues. Ça n'explique qu'une partie du phénomène, mais ça compte quand même.
Etienne Beauman a écrit : 05 mars 2019, 23:40
Kraepelin a écrit : 05 mars 2019, 21:25
Dirais-tu que les Afro-américains sont «globalement plus violent que» les membres des autres communautés?
Bah oui, c'est le cas.
Et dire ça c'est ne pas dire qu'ils sont violents parce qu'ils sont noirs.
Il y a plein de facteurs qui expliquent cet état de fait (pauvreté, ghetto, racisme, culture de gang, etc.).
Je suis heureux que tu apportes cette clarification. Conséquemment, je devine que tu ne crois pas que les hommes sont plus violents parce que ce sont des hommes, mais parce que «plein de facteurs» expliquent cette différence. C'est bien ça?
* en ligne,
je n'ai trouver que ça comme référence
« Dans les temps de tromperie universelle, dire la vérité devient un acte révolutionnaire. » George Orwell