Ce n'est pas tout de dire qu'ils le font, il faut dire comment. C'est sur le comment que tu as tergiversé. Ton mécanisme proposé initialement était le suivantKalolo a écrit :tu n'as pa due bien suivre ce que j'écrivais aussi puisque lorsque je parlais des particules et des gaz comme le CO2 je disais qu'ils contribuaient au maintien d'une certaine température de l'atmosphère donc de l'air.
Plus tard, tu en as convenu au mécanisme suivant:Kalolo a écrit : les rayon solaires traversant l'atmosphère chauffe les gaz et les particules (polution) s'y trouvant. Les gaz refroidissent rapidement mais pas les particules flotantes dans l'atmosphère ni le CO2 qui refroidis moins rapidement que l'O2. Ces particules restant chaudes plus lontemps contribuent au maintient d'une certaine température de l'atmosphère.
Je résume : au début, tu proposais un mécanisme différent de l'effet de serre. Puis à forces de discussion, tu en es venu à proposer le mécanisme de l'effet de serre, mais en faisant intervenir les mauvais éléments (nuages).Kalolo a écrit :C'est toi qui à du mal à réaliser que la chaleur en provenance du soleil à moins de mal à traverser les nuages ou une couche d'air chaud que la chaleur s'échapant de la Terre n'en a pour le faire en sens inverse. Et c'est justement ça "l'effet de serre".
Aujourd'hui, tu modifies encore ton mécanisme:
Si il y a de l'air chauffé, celui-ci ne ralentit pas la dissipation de la chaleur. Il EST la chaleur. Si de l'air chauffé n'est pas de la chaleur, alors qu'est-ce que la chaleur? Je ne comprends pas ta logique, j'ai l'impression que tu utilises constamment ton analogie de "dissipateur" même quand elle ne s'applique pas, au lieu de considérer le problème tel qu'il est.Kalolo a écrit :Ce même air (combinaison de tout les gaz présent dans l'atmosphère) chaud prisonier sous les nuages et dont la chaleur est entretenue par des particules refroidissant plus lentement que lui-même (l'air). Ce même air, toujours aussi chaud, qui, faute d'être assez froid, ralenti la dissipation de la chaleur de la Terre dans ... oui l'air.
Moi j'ai l'impression que tu considères l'atmopshère comme ce qui est uniquement au-dessus de ta tête, uniquement. Quand un nuage passe au dessus de ta tête, il ne disparait pas nécessairement. Il "s'en va" ailleurs. Si le nuage est au dessus de ta tête à 3h du matin, contribuant à réchauffer l'endroit où tu te trouves, il sera probablement ailleurs à 8 h du matin, une fois le soleil levé, contribuant à refroidir l'endroit sous celui-ci davantage.Kalolo a écrit :Lorsque tu donne tes explications, on a (enfin j'ai) l'impression que tout est figé. Les nuages empêche les rayons du soleil de passer donc ces derniers ne chauffent plus la terre. Une particule peut faire de l'ombre et pomper toute l'énergie solaire d'un arbre.
Or, quand nous parlons de réchauffement, nous parlons de réchauffement "global", c'est-à-dire, en additionnant tous les endroits de la Terre.
Une particule "fait de l'ombre", plusieurs particules font de l'ombre. Si tu tiens compte de la chaleur à laquelle sont portées particules, tu dois aussi tenir compte de la chaleur qu'ils ont bloqué. Tu ne peux considérer l'un sans considérer l'autre, la quantité est la même.
Je considère que les gaz sont en mouvement. Mais c'est la Terre dans son ensemble dont on parle, donc ce qui a été absorbé à un endroit est réemis ailleurs, certes, mais dans l'ensemble, à l'échelle globale, rien n'a changé.