Non, non! Ici le radicalisme des féministes en poste au CSF et au ministère de la famille est inversement proportionnel à la situation avantageuse des femmes aux Québec.Sylvain a écrit : A mon avis d'ailleurs, vous devriez penser à sortir ce sujet de ce fil et en faire un redico. Ça clarifierait peut-être des positions qui semblent caricaturales et dont je ne sais pas si c'est de la provocation pour faire de l'anti rectitude ou si c'est sérieux.
Ayant obtenu à peu près tout ce qu'elles avaient revendiqué au plan législatif, les militantes enfourchent maintenant de nouveaux chevaux de bataille plus instables et plus controversés. Par exemple, elles font campagne contre les personnes qui revendiquent des services de santé spécialisés pour les hommes en détresse. Elles fabriquent des statistiques bidon pour dramatiser des problèmes qui touchent une minorité de femmes. Elles s'adonnent à une chasse aux sorcières contre tous ceux qui osent mettre en doute leurs affirmations les plus échevelées, etc ...
On peut être simpathiques aux revendications légitimes d'un groupe oppromé. On est pas obligé pour autant d'avaler n'importe quel plat que voudrait nous servire ce groupe.