Même en médecine il en est ainsi : le patient qui ne fait pas confiance à son médecin ne suivra pas ses conseils et ne prendra pas les médicaments prescrits. Le traitement risquera donc d'être peu efficace.Aéroplaneur a écrit :Intéressant de voir que la technique thérapeutique utilisée n'expliquerait que 15% du succès.
La qualité du lien entre le thérapeute et son client serait deux fois plus importante.
La psychanalyse, une pseudo-science.
- Aéroplaneur
- Messages : 524
- Inscription : 22 sept. 2007, 20:30
Re: La psychanalyse, une pseudo-science.
Napoléon à Laplace :
– Laplace, votre travail est excellent mais il n'y a pas de trace de Dieu dans votre système.
– Sire, je n'ai pas eu besoin de cette hypothèse.
– Laplace, votre travail est excellent mais il n'y a pas de trace de Dieu dans votre système.
– Sire, je n'ai pas eu besoin de cette hypothèse.
Re: La psychanalyse, une pseudo-science.
Effectivement que la psychanalyse est une pseudoscience mais en France elle est considéré comme une science par beaucoup de monde, ils ne connaissent de la psychologie que la psychanalyse. Cela tend à changer mais c'est très lent.
Elle est enseignée (en France) en cours de philosophies au lycée, ses bases du moins alors que la psychologie scientifique n'y même pas abordée.
Cette article est très intéressant: http://esteve.freixa.pagesperso-orange. ... minale.pdf
Elle est enseignée (en France) en cours de philosophies au lycée, ses bases du moins alors que la psychologie scientifique n'y même pas abordée.
Cette article est très intéressant: http://esteve.freixa.pagesperso-orange. ... minale.pdf
Re: La psychanalyse, une pseudo-science.
Je ne me souviens pas trop avoir abordé la psychanalyse en philosophie en terminale (faut dire que je me souviens pas du reste du cours de philo non plus).
Par contre l'année d'avant, mon prof de francais, qui était psychanalyste, nous a bien bourré le mou avec la doctrine freudienne. A l'époque je croyais que c'était une discipline scientifique... quel fumier.
Par contre l'année d'avant, mon prof de francais, qui était psychanalyste, nous a bien bourré le mou avec la doctrine freudienne. A l'époque je croyais que c'était une discipline scientifique... quel fumier.
Re: La psychanalyse, une pseudo-science.
Sur ce forum, il y a une confusion entre "non-science" et superstition. La psychanalyse n'est pas une science parce qu'elle n'entre pas dans notre définition d'une science. Est-ce une superstition pour autant? Pas à mon avis!spin-up a écrit :Par contre l'année d'avant, mon prof de francais, qui était psychanalyste, nous a bien bourré le mou avec la doctrine freudienne. A l'époque je croyais que c'était une discipline scientifique... quel fumier.
Ensuite, en ce qui regarde votre professeur de français, je vous trouve bien peu charitable. Bien des choses qui sont apprises à l'école ne relèvent pas des sciences et sont quand même importantes pour devenir adulte. La grammaire, la littérature, la philosophie, les arts, l'histoire et l'anglais langue seconde ne sont pas des sciences. Tout cela est portant nécessaire au bagage d'un adulte intellectuellement épanoui.
Un intellectuel qui envisage s'inscrire en humanités peut-il, en France, faire l'économie de l'apprentissage des notions de base de la psychanalyse? La seule chose qu'il faut savoir sur la psychanalyse est-elle que la psychanalyse ne respecte pas notre définition d'une science? Vous semblez vouloir répondre "oui" à ces deux questions! Vous estimez même qu'il faut être un «fumier» pour ne pas partager votre avis. Si c'est le cas, je trouve votre jugement très hâtif.
« Dans les temps de tromperie universelle, dire la vérité devient un acte révolutionnaire. » George Orwell
- Cogite Stibon
- Messages : 3300
- Inscription : 16 févr. 2012, 13:19
Re: La psychanalyse, une pseudo-science.
Que de sophismes en si peu de phrases
Généralisation abusive et "Effet paillasson" : toutes les "non-sciences" ne sont pas des pseudos sciences.
Ambiguité et relativisme : "notre définition d'une science" laisse penser qu'il en existerait d'autres.
Pente glissante (sous-entendue) : la comparaison insinue que ne plus enseigner la psychanalyse est équivalent à ne plus enseigner un des sujets listés ci-dessus, et suggère (sans le dire, attention...) que l'un pourrait entrainer l'autre.
- en cours de français (la psychanalyse n'est pas du domaine du français)
- à des élèves de premières (la psychanalyse n'est pas au programme de première)
- en prétendant qu'il s'agissait d'une science.
Effet paillasson (ambiguité sémantique) : "L'apprentissage des notions de base de la psychanalyse" peut se comprendre dans le cadre de l'histoire de la psychologie, où il a sa place, ou comme l'enseignement se prétendant scientifique.
Effet paillasson Un "intellectuel qui envisage s'inscrire en humanité" est-il un élève de première ?
Effet paillasson "ne pas pouvoir faire l'économie" peut se comprendre comme "pour atteindre à un niveau de connaissance nécessaire" ou "pour satisfaire aux exigences du programme scolaire"
Raisonnement circulaire possible Dans la deuxième acceptation, alors l'enseignement de la psychanalyse comme une science se justifie par le fait que les étudiants doivent réussir leurs examens portants sur la psychanalyse.
En appliquant le même raisonnement, on pourrait dire :
- L'astrologie n'est pas une science "selon notre définition"
- La musique n'est pas une science "selon notre définition"
- La musique est enseignée aux élèves de primaires.
- Donc, pourquoi ne pourrait-on pas enseigner l'astrologie aux élèves de primaires ?
Et si vous donniez plutôt des arguments expliquant en quoi :
- soit la psychanalyse est une science
- soit la psychanalyse n'a pas de prétention a en être une .
Homme de paille : Personne n'a prétendu sur ce forum que la psychanalyse était une superstition, ni que toutes les "non sciences" étaient des superstitions.Kraepelin a écrit :Sur ce forum, il y a une confusion entre "non-science" et superstition. La psychanalyse n'est pas une science parce qu'elle n'entre pas dans notre définition d'une science. Est-ce une superstition pour autant? Pas à mon avis!
Généralisation abusive et "Effet paillasson" : toutes les "non-sciences" ne sont pas des pseudos sciences.
Ambiguité et relativisme : "notre définition d'une science" laisse penser qu'il en existerait d'autres.
Appel à l'émotion.Kraepelin a écrit : Ensuite, en ce qui regarde votre professeur de français, je vous trouve bien peu charitable.
Généralisation abusive : la littérature, la philosophie, les arts, l'histoire, l'anglais ne sont pas des pseudos sciences.Kraepelin a écrit : Bien des choses qui sont apprises à l'école ne relèvent pas des sciences et sont quand même importantes pour devenir adulte. La grammaire, la littérature, la philosophie, les arts, l'histoire et l'anglais langue seconde ne sont pas des sciences. Tout cela est portant nécessaire au bagage d'un adulte intellectuellement épanoui.
Pente glissante (sous-entendue) : la comparaison insinue que ne plus enseigner la psychanalyse est équivalent à ne plus enseigner un des sujets listés ci-dessus, et suggère (sans le dire, attention...) que l'un pourrait entrainer l'autre.
Homme de paille : Spin up parle d'un professeur de français qui enseignait la psychanalyse :Kraepelin a écrit : Un intellectuel qui envisage s'inscrire en humanités peut-il, en France, faire l'économie de l'apprentissage des notions de base de la psychanalyse? La seule chose qu'il faut savoir sur la psychanalyse est-elle que la psychanalyse ne respecte pas notre définition d'une science? Vous semblez vouloir répondre "oui" à ces deux questions!
- en cours de français (la psychanalyse n'est pas du domaine du français)
- à des élèves de premières (la psychanalyse n'est pas au programme de première)
- en prétendant qu'il s'agissait d'une science.
Effet paillasson (ambiguité sémantique) : "L'apprentissage des notions de base de la psychanalyse" peut se comprendre dans le cadre de l'histoire de la psychologie, où il a sa place, ou comme l'enseignement se prétendant scientifique.
Effet paillasson Un "intellectuel qui envisage s'inscrire en humanité" est-il un élève de première ?
Effet paillasson "ne pas pouvoir faire l'économie" peut se comprendre comme "pour atteindre à un niveau de connaissance nécessaire" ou "pour satisfaire aux exigences du programme scolaire"
Raisonnement circulaire possible Dans la deuxième acceptation, alors l'enseignement de la psychanalyse comme une science se justifie par le fait que les étudiants doivent réussir leurs examens portants sur la psychanalyse.
En appliquant le même raisonnement, on pourrait dire :
- L'astrologie n'est pas une science "selon notre définition"
- La musique n'est pas une science "selon notre définition"
- La musique est enseignée aux élèves de primaires.
- Donc, pourquoi ne pourrait-on pas enseigner l'astrologie aux élèves de primaires ?
Homme de paille et ad hominemKraepelin a écrit : Vous estimez même qu'il faut être un «fumier» pour ne pas partager votre avis. Si c'est le cas, je trouve votre jugement très hâtif.
Et si vous donniez plutôt des arguments expliquant en quoi :
- soit la psychanalyse est une science
- soit la psychanalyse n'a pas de prétention a en être une .
Pour les échantillons statistiques, comme dans d'autres domaines, il n'y a pas que la taille qui compte.
Raisonner a l'instinct sur des problemes de probabilites, c'est le desastre assuré. (Spin Up)
Une graphe sans échelle, c'est bon pour la poubelle
Raisonner a l'instinct sur des problemes de probabilites, c'est le desastre assuré. (Spin Up)
Une graphe sans échelle, c'est bon pour la poubelle
Re: La psychanalyse, une pseudo-science.
En effet, la psychanalyse en elle meme n'est pas plus une superstition que la grammaire ou les arts. MAIS un psychanalyste qui présente sa discipline comme scientifique est un imposteur. De meme qu'un professeur qui presente ca comem un fait plutot qu'une théorie. Par extension, j'inclus tous ceux qui font de la psychanalyse une pratique médicale ou thérapeutique.
Pour la premiere, en revanche... pourquoi pas? C'est tellement nécessaire au bagage d'un adulte intellectuellement épanoui?
Pour la deuxieme question, non. Mais que faut il en savoir?Kraepelin a écrit :Un intellectuel qui envisage s'inscrire en humanités peut-il, en France, faire l'économie de l'apprentissage des notions de base de la psychanalyse? La seule chose qu'il faut savoir sur la psychanalyse est-elle que la psychanalyse ne respecte pas notre définition d'une science? Vous semblez vouloir répondre "oui" à ces deux questions!
Pour la premiere, en revanche... pourquoi pas? C'est tellement nécessaire au bagage d'un adulte intellectuellement épanoui?
Re: La psychanalyse, une pseudo-science.
C'est exactement ca, en plus d'etre antipathiqueCogite Stibon a écrit :Spin up parle d'un professeur de français qui enseignait la psychanalyse :
- en cours de français (la psychanalyse n'est pas du domaine du français)
- à des élèves de premières (la psychanalyse n'est pas au programme de première)
- en prétendant qu'il s'agissait d'une science.

Re: La psychanalyse, une pseudo-science.
Alors, pourquoi le professeur de français serait-il un «fumier». Expliquer-moi ce que spin voulait dire?Cogite Stibon a écrit : Que de sophismes en si peu de phrasesHomme de paille : Personne n'a prétendu sur ce forum que la psychanalyse était une superstition, ni que toutes les "non sciences" étaient des superstitions.Kraepelin a écrit :Sur ce forum, il y a une confusion entre "non-science" et superstition. La psychanalyse n'est pas une science parce qu'elle n'entre pas dans notre définition d'une science. Est-ce une superstition pour autant? Pas à mon avis!
C'est bien le point de vue que je défends ici!Cogite Stibon a écrit :Généralisation abusive et "Effet paillasson" : toutes les "non-sciences" ne sont pas des pseudos sciences.
Il en existe d'autres!Cogite Stibon a écrit :Ambiguité et relativisme : "notre définition d'une science" laisse penser qu'il en existerait d'autres.
L'appel à l'émotion ce n'est pas ça. Dire à quelqu'un qu'il n'est pas "charitable" est une forme littéraire qui ne soulève aucune émotion susceptible d'avoir un poids rhétorique.Cogite Stibon a écrit :Appel à l'émotion.Kraepelin a écrit : Ensuite, en ce qui regarde votre professeur de français, je vous trouve bien peu charitable.
Ce ne sont pas des sciences non plus!Cogite Stibon a écrit :Généralisation abusive : la littérature, la philosophie, les arts, l'histoire, l'anglais ne sont pas des pseudos sciences.Kraepelin a écrit : Bien des choses qui sont apprises à l'école ne relèvent pas des sciences et sont quand même importantes pour devenir adulte. La grammaire, la littérature, la philosophie, les arts, l'histoire et l'anglais langue seconde ne sont pas des sciences. Tout cela est portant nécessaire au bagage d'un adulte intellectuellement épanoui.
Si c'est ce que vous comprenez de mon commentaire, vous délirez!Cogite Stibon a écrit :Pente glissante (sous-entendue) : la comparaison insinue que ne plus enseigner la psychanalyse est équivalent à ne plus enseigner un des sujets listés ci-dessus, et suggère (sans le dire, attention...) que l'un pourrait entrainer l'autre.
Erreur! La psychanalyse est un modèle courant en analyse littéraire. Freud est le premier à avoir utilisé sa théorie pour comprendre l'art.Cogite Stibon a écrit :Homme de paille : Spin up parle d'un professeur de français qui enseignait la psychanalyse :Kraepelin a écrit : Un intellectuel qui envisage s'inscrire en humanités peut-il, en France, faire l'économie de l'apprentissage des notions de base de la psychanalyse? La seule chose qu'il faut savoir sur la psychanalyse est-elle que la psychanalyse ne respecte pas notre définition d'une science? Vous semblez vouloir répondre "oui" à ces deux questions!
- en cours de français (la psychanalyse n'est pas du domaine du français)
http://www.universalis.fr/encyclopedie/ ... chanalyse/
http://www.fabula.org/atelier.php?Litt% ... ychanalyse
premi;èrement, spin ne dit pas que c'est ce que son prof affirmait, mais ce que lui-même cropyait. Deuxièmement, même si c'était ce que laissait entendre le professeur, ce professeur de français n'avait peut-être pas la même définition que nous de ce qu'est une "science".Cogite Stibon a écrit :[- en prétendant qu'il s'agissait d'une science.
C'est votre petite idée de la chose! La psychanalyse est toujours une modèle courant en analyse littéraire. Il a même un place dans la culture générale en France. Votre mépris de la psychanalyse ne change pas l'importance culturelle qu'elle a.Cogite Stibon a écrit :Effet paillasson (ambiguité sémantique) : "L'apprentissage des notions de base de la psychanalyse" peut se comprendre dans le cadre de l'histoire de la psychologie, où il a sa place, ou comme l'enseignement se prétendant scientifique.
Je suis du Québec! Je ne sais pas ce qu'est un élève de "première". Qu'est-ce? Ici, les notions de psychanalyse sont enseignées dès le CEGEP, ce qui correspond à la 12e année d'étude depuis le primaire.Cogite Stibon a écrit :Effet paillasson Un "intellectuel qui envisage s'inscrire en humanité" est-il un élève de première ?
En quoi est-ce un sophisme?Cogite Stibon a écrit : Effet paillasson "ne pas pouvoir faire l'économie" peut se comprendre comme "pour atteindre à un niveau de connaissance nécessaire" ou "pour satisfaire aux exigences du programme scolaire"
Ce n'était pas mon idée, mais ça pourrait être vrai également. Je parlais plutôt de comprendre la société dans laquelle il vit. En France la terminologie psychanalytique semble appartenir à l'usage courant chez les intellectuels des humanités. Qu'on méprise la psychanalyse ou pas, il est important de savoir de quoi parlent les autres.Cogite Stibon a écrit :Raisonnement circulaire possible Dans la deuxième acceptation, alors l'enseignement de la psychanalyse comme une science se justifie par le fait que les étudiants doivent réussir leurs examens portants sur la psychanalyse.
Oui! Et en plus, ce raisonnement est juste. Si dans une société l'astrologie prenait l'importance de la musique dans nos sociétés, ça deviendrait pertinent d'en connaître les bases et la terminologie très tôt dans la formation.Cogite Stibon a écrit : En appliquant le même raisonnement, on pourrait dire :
- L'astrologie n'est pas une science "selon notre définition"
- La musique n'est pas une science "selon notre définition"
- La musique est enseignée aux élèves de primaires.
- Donc, pourquoi ne pourrait-on pas enseigner l'astrologie aux élèves de primaires ?
Ad hominem! J'aurais, d'après vous, attaqué la personne de spin pour discréditer ce qu'il dit ??? Vous délirez encore!Cogite Stibon a écrit :Homme de paille et ad hominemKraepelin a écrit : Vous estimez même qu'il faut être un «fumier» pour ne pas partager votre avis. Si c'est le cas, je trouve votre jugement très hâtif.
[/quote]Cogite Stibon a écrit :Et si vous donniez plutôt des arguments expliquant en quoi :
- soit la psychanalyse est une science
- soit la psychanalyse n'a pas de prétention a en être une .
Les psychanalystes qui estiment que la psychanalyse est une science n'ont pas exactement la même définition d'une science que la mienne, et peut-être que la vôtre.
« Dans les temps de tromperie universelle, dire la vérité devient un acte révolutionnaire. » George Orwell
Re: La psychanalyse, une pseudo-science.
Un imposteur est une personne qui adopte un fausse identité de manière délibéré, c'est à dire en sachant qu'elle est fausse. Était-ce le cas de votre professeur de français?spin-up a écrit : En effet, la psychanalyse en elle meme n'est pas plus une superstition que la grammaire ou les arts. MAIS un psychanalyste qui présente sa discipline comme scientifique est un imposteur.

Ça fait pas mal d'imposteurs membres du colèges des médecins et de l'ordre des psychologues ! Par ailleurs, pour vous embêter, la thérapie psychanalytique fait l'objet de recherches cliniques, publiés dans les revues savantes, et qui montre son efficacité. Ce serait donc une imposture thérapeutique qui marche pas trop mal!spin-up a écrit :De meme qu'un professeur qui presente ca comem (ça comme) un fait plutot qu'une théorie. Par extension, j'inclus tous ceux qui font de la psychanalyse une pratique médicale ou thérapeutique.

En France, je crois que oui! En tous cas, les ténors français du TCC en parlent dans leurs manuels de formation en TCC. Je me suis dit que le rèpère était tellement important en France qu'ils ne pouvaient pas l'éviter.spin-up a écrit :Pour la deuxieme question, non. Mais que faut il en savoir?Kraepelin a écrit :Un intellectuel qui envisage s'inscrire en humanités peut-il, en France, faire l'économie de l'apprentissage des notions de base de la psychanalyse? La seule chose qu'il faut savoir sur la psychanalyse est-elle que la psychanalyse ne respecte pas notre définition d'une science? Vous semblez vouloir répondre "oui" à ces deux questions!
Pour la premiere, en revanche... pourquoi pas? C'est tellement nécessaire au bagage d'un adulte intellectuellement épanoui?
« Dans les temps de tromperie universelle, dire la vérité devient un acte révolutionnaire. » George Orwell
Re: La psychanalyse, une pseudo-science.
Un élève de 1ère est un élève en 6ème année après l'école primaire.
Re: La psychanalyse, une pseudo-science.
Bonne question. Un professeur qui se presente comme beaucoup plus qualifie que ce qu'il est, et se donne des qualifications dans des domaines qu'il n'a pas n'est pas necessairement un imposteur.Kraepelin a écrit :Un imposteur est une personne qui adopte un fausse identité de manière délibéré, c'est à dire en sachant qu'elle est fausse. Était-ce le cas de votre professeur de français?
Dans un diner mondain, c'est juste un pretentieux. Face a des eleves de 16 ans, auxquels il est sense transmettre un savoir, c'est un imposteur.
Peut etre que charlatans est plus approprie qu'imposteurs, mais effectivement, ca en fait pas mal. On peut dire la meme chose pour des homeopathes ou des acupuncteurs (pratiquees par des medecins, etudes publiees).Kraepelin a écrit : Ça fait pas mal d'imposteurs membres du colèges des médecins et de l'ordre des psychologues ! Par ailleurs, pour vous embêter, la thérapie psychanalytique fait l'objet de recherches cliniques, publiés dans les revues savantes, et qui montre son efficacité. Ce serait donc une imposture thérapeutique qui marche pas trop mal!
Mon but n'est pas de releguer la psychanalyse au rang de pure charlatanerie meme si sa pratique y ressemble parfois de tres pres.
En fait je ne peux pas vraiment conclure, quand j'essaie de me documenter sur la psychanalyse, je tombe immediatement sur une nebuleuse de notions abstraites exprimees dans un jargon tres specifique. Ce n'est pas criticable, pas refutable, il n'y a pas d'aspect experimental... ce n'est tout simplement pas scientifique, ni meme vraiment logique.
La psychanalyse ne peut pas a l'heure actuelle se presenter comme une science, ce qui n'est pas une faute en soi. Comment se presente elle alors? un art, une croyance, une doctrine, une therapie?
Ne serait ce pas illusoire? J'ai l'impression qu'elle est incontournable parce qu'elle est la et qu'elle prend de la place, plus que par necessite.Kraepelin a écrit : En France, je crois que oui! En tous cas, les ténors français du TCC en parlent dans leurs manuels de formation en TCC. Je me suis dit que le rèpère était tellement important en France qu'ils ne pouvaient pas l'éviter.
PS: mes excuses pour l'absence d'accents
Re: La psychanalyse, une pseudo-science.
Avez-vous envisagé la possibilité que vous ne compreniez simplement pas ce que vous lisiez?spin-up a écrit :Mon but n'est pas de releguer la psychanalyse au rang de pure charlatanerie meme si sa pratique y ressemble parfois de tres pres.
En fait je ne peux pas vraiment conclure, quand j'essaie de me documenter sur la psychanalyse, je tombe immediatement sur une nebuleuse de notions abstraites exprimees dans un jargon tres specifique. Ce n'est pas criticable, pas refutable, il n'y a pas d'aspect experimental... ce n'est tout simplement pas scientifique, ni meme vraiment logique.
Elle ne le peut pas, sans doute, dans notre définition. Les psychanalystes qui connaissent mieux l'épistémologie la présentent parfois comme une herméneutique. Personnellement, je préfaire la considéré comme un modèle spéculatif préscientifique.spin-up a écrit :La psychanalyse ne peut pas a l'heure actuelle se presenter comme une science, ce qui n'est pas une faute en soi. Comment se presente elle alors? un art, une croyance, une doctrine, une therapie?
Oui, c'est bien ce que je voulais dire moi-même. Par contre, cela ne veut pas dire qu'elle n'ait aucune valeur au-delà de ce fait culturel.spin-up a écrit :Ne serait ce pas illusoire? J'ai l'impression qu'elle est incontournable parce qu'elle est la et qu'elle prend de la place, plus que par necessite.Kraepelin a écrit : En France, je crois que oui! En tous cas, les ténors français du TCC en parlent dans leurs manuels de formation en TCC. Je me suis dit que le rèpère était tellement important en France qu'ils ne pouvaient pas l'éviter.
En Amérique du Nord, où aucun phénomène culturel de ce genre n'existe, la psychanalyse continue à être enseignée comme matière universitaire. Et ce n'est pas juste à titre de curiosité historique. Il y a des domaines de la psychologie clinique où elle est presque indélogable. Je ne connais pas de psychothérapeute d'enfant qui manifesterait du mépris à son sujet. Pas un! Pourquoi? Parce qu'avec les enfants la théorie colleau réel de manière extrêmement explicite.
« Dans les temps de tromperie universelle, dire la vérité devient un acte révolutionnaire. » George Orwell
Re: La psychanalyse, une pseudo-science.
Ce qui correspond à peu près à l'âge d'entrée au CEGEP. Pas des gamins, donc! À quel âge faudrait-il enseigner les modèles d'analyse littéraire?viddal26 a écrit :Un élève de 1ère est un élève en 6ème année après l'école primaire.
« Dans les temps de tromperie universelle, dire la vérité devient un acte révolutionnaire. » George Orwell
Re: La psychanalyse, une pseudo-science.
Kraepelin a écrit :Avez-vous envisagé la possibilité que vous ne compreniez simplement pas ce que vous lisiez?
Bien sur. Mais j'envisage aussi la possibilite que beaucoup de ceux qui pratiquent et diffusent la psychanalyse ne le comprennent pas mieux que moi.
Pour moi, c'est un cercle vicieux dans lequel professeurs et eleves font tous semblant de comprendre pour ne pas perdre la face. Je peux me tromper, certes.
D'apres ces deux definitions, c'est donc une interpretation.Kraepelin a écrit :Elle ne le peut pas, sans doute, dans notre définition. Les psychanalystes qui connaissent mieux l'épistémologie la présentent parfois comme une herméneutique. Personnellement, je préfaire la considéré comme un modèle spéculatif préscientifique.
D'autre part un modele prescientifique a vocation a devenir un modele scientifique. La psychanalyse a t elle evolue dans ce sens depuis sa creation?
En partant de rien (ou de la religion) et en attendant mieux, oui. Mais la psychanalyse ne retarde t elle pas la mise en place d'approches plus concretes?Kraepelin a écrit : Il y a des domaines de la psychologie clinique où elle est presque indélogable. Je ne connais pas de psychothérapeute d'enfant qui manifesterait du mépris à son sujet. Pas un! Pourquoi? Parce qu'avec les enfants la théorie colleau réel de manière extrêmement explicite.
Re: La psychanalyse, une pseudo-science.
Vous vous trompez, en effet!spin-up a écrit :Kraepelin a écrit :Avez-vous envisagé la possibilité que vous ne compreniez simplement pas ce que vous lisiez?
Bien sur. Mais j'envisage aussi la possibilite que beaucoup de ceux qui pratiquent et diffusent la psychanalyse ne le comprennent pas mieux que moi.
Pour moi, c'est un cercle vicieux dans lequel professeurs et eleves font tous semblant de comprendre pour ne pas perdre la face. Je peux me tromper, certes.
D'une certaine façon oui! Elle a ouvert de perspectives fructueuses, un peu comme l'alchimie a ouvert la voix à la chimie!spin-up a écrit :D'apres ces deux definitions, c'est donc une interpretation.Kraepelin a écrit :Elle ne le peut pas, sans doute, dans notre définition. Les psychanalystes qui connaissent mieux l'épistémologie la présentent parfois comme une herméneutique. Personnellement, je préfaire la considéré comme un modèle spéculatif préscientifique.
D'autre part un modele prescientifique a vocation a devenir un modele scientifique. La psychanalyse a t elle évolue dans ce sens depuis sa creation?
Pourquoi retarderait-elle quoi que ce soit?spin-up a écrit :En partant de rien (ou de la religion) et en attendant mieux, oui. Mais la psychanalyse ne retarde t elle pas la mise en place d'approches plus concretes?Kraepelin a écrit : Il y a des domaines de la psychologie clinique où elle est presque indélogable. Je ne connais pas de psychothérapeute d'enfant qui manifesterait du mépris à son sujet. Pas un! Pourquoi? Parce qu'avec les enfants la théorie colleau réel de manière extrêmement explicite.
« Dans les temps de tromperie universelle, dire la vérité devient un acte révolutionnaire. » George Orwell
Re: La psychanalyse, une pseudo-science.
Ta reponse est un peu faiblarde, mais c'est peut etre par manque de temps.
J'admets que je suis un ignorant, que je n'ai pas compris ce que j'ai lu, et que ce n'est peut etre meme pas a ma portee.
Comment apprend on la psychanalyse? Comment peut on faire preuve de discernement et d'esprit critique dans ce qu'on y a apprend? Comment remet on en question ses connaissances?
La psychanalyse est la, ne progresse pas vraiment, mais continue a prendre de la place.
J'admets que je suis un ignorant, que je n'ai pas compris ce que j'ai lu, et que ce n'est peut etre meme pas a ma portee.
Comment apprend on la psychanalyse? Comment peut on faire preuve de discernement et d'esprit critique dans ce qu'on y a apprend? Comment remet on en question ses connaissances?
Tout simplement, la psychanalyse n'est pas une science, la boucle de retroaction "theorie->resultats experimentaux> remise en question de la theorie->evolution" qui fait progresser les disciplines scientifiques y est inexistante. Les evolutions de la psychanalyse ne sont que des courants de pensee, des tendances, qui apparaissent et disparaissent selon la popularite de leurs fondateurs.Kraepelin a écrit :Pourquoi retarderait-elle quoi que ce soit?
La psychanalyse est la, ne progresse pas vraiment, mais continue a prendre de la place.
- Cartaphilus
- Modérateur
- Messages : 7587
- Inscription : 23 sept. 2008, 20:54
Où est la pierre philosophale ?
Salut à tous.
Je m'étonne de lire, sous la plume de Kraepelin :
Cela dit, l'image est plutôt bien trouvée, la (?) psychanalyse représentant en effet une véritable alchimie du verbe.
Je m'étonne de lire, sous la plume de Kraepelin :
J'ignorais qu'il y eût une discipline scientifique dérivée d'une des nombreuses écoles psychanalytiques.Kraepelin a écrit :D'une certaine façon oui! Elle a ouvert de perspectives fructueuses, un peu comme l'alchimie a ouvert la voix à la chimie!spin-up a écrit :'autre part un modele prescientifique a vocation a devenir un modele scientifique. La psychanalyse a t elle évolue dans ce sens depuis sa creation?
Cela dit, l'image est plutôt bien trouvée, la (?) psychanalyse représentant en effet une véritable alchimie du verbe.
Le sommeil de la raison engendre des monstres. Francisco de Goya.
Re: La psychanalyse, une pseudo-science.
Je l'admets! Mais, c'est que nous avons si souvent parlé de cette question sur le forum et que j'ai tellement investi dans mes réponses antérieures que le sentiment de répétition me pèse.spin-up a écrit : Ta reponse est un peu faiblarde, mais c'est peut etre par manque de temps.
D'un point de vue scientifique, la psychanalyse se critique comme n'importe qu'elle autre type de savoir:spin-up a écrit :J'admets que je suis un ignorant, que je n'ai pas compris ce que j'ai lu, et que ce n'est peut etre meme pas a ma portee.
Comment apprend on la psychanalyse? Comment peut on faire preuve de discernement et d'esprit critique dans ce qu'on y a apprend? Comment remet on en question ses connaissances?
Quelles sont ses fondements empiriques?
Quels liens entre les fondements empiriques et la théorie?
La théorie a t-elle une cohérence logique interne?
« Dans les temps de tromperie universelle, dire la vérité devient un acte révolutionnaire. » George Orwell
Re: Où est la pierre philosophale ?
Je dirais plutôt des objets de recherches scientifiques et des pistes de travail thérapeutique en TCC.Cartaphilus a écrit :J'ignorais qu'il y eût une discipline scientifique dérivée d'une des nombreuses écoles psychanalytiques.Kraepelin a écrit :D'une certaine façon oui! Elle a ouvert de perspectives fructueuses, un peu comme l'alchimie a ouvert la voix à la chimie!spin-up a écrit :'autre part un modele prescientifique a vocation a devenir un modele scientifique. La psychanalyse a t elle évolue dans ce sens depuis sa creation?
Je me doutais que la métaphore plairait à quelqu'un. En fait, elle n'est pas très bonne parce que la psychanalyse est plus proche de la psychologie scientifique que l'alchimie ne l'était de la chimie, mais je n'ai pas trouvé mieux.Cartaphilus a écrit :Cela dit, l'image est plutôt bien trouvée, la (?) psychanalyse représentant en effet une véritable alchimie du verbe.
« Dans les temps de tromperie universelle, dire la vérité devient un acte révolutionnaire. » George Orwell
Re: La psychanalyse, une pseudo-science.
Le philosophe Michel Onfray a fait une étude sur Freud et a déclaré que la psychanalyse ne reflétait qu'une seule psychologie, celle de son créateur.mind-lame a écrit :Effectivement que la psychanalyse est une pseudoscience mais en France elle est considéré comme une science par beaucoup de monde, ils ne connaissent de la psychologie que la psychanalyse. Cela tend à changer mais c'est très lent.


Re: La psychanalyse, une pseudo-science.
Du réchauffé ton affaire! Va voir plus haut dans la topic!PhD Smith a écrit :Le philosophe Michel Onfray a fait une étude sur Freud et a déclaré que la psychanalyse ne reflétait qu'une seule psychologie, celle de son créateur.mind-lame a écrit :Effectivement que la psychanalyse est une pseudoscience mais en France elle est considéré comme une science par beaucoup de monde, ils ne connaissent de la psychologie que la psychanalyse. Cela tend à changer mais c'est très lent.
« Dans les temps de tromperie universelle, dire la vérité devient un acte révolutionnaire. » George Orwell
Re: Où est la pierre philosophale ?
Il y a bien quelques personnes qui tentent de faire de la "neuropsychanalyse", on va bien voir si c'est fertile comme chemin ou si c'est une tentative de justification blablatante peu rigoureuse. J'espère pour eux qu'ils s'en tiendront à la rigueur scientifique.Cartaphilus a écrit : J'ignorais qu'il y eût une discipline scientifique dérivée d'une des nombreuses écoles psychanalytiques.
Cela dit, l'image est plutôt bien trouvée, la (?) psychanalyse représentant en effet une véritable alchimie du verbe.
Le gros problème encore une fois avec la psyK, c'est qu'elle n'est pas scientifique, l'inconscient devenant un concept qui permet de toujours avoir raison (en gros, les rôlistes ont TGCM = Ta Gueule, C'est Magique, et les psyK ont TGCI = Ta Gueule, C'est l'Inconscient).
Je me demande même d'ailleurs s'il ne s'agirait pas d'une idée qui s'auto-réfute, surtout quand on connaît le concept de "préconscient" employé par Freud pour désigner la partie du psychisme tantôt consciente, tantôt inconsciente ; l'inconscient serait alors ce qui ne peut accéder à la conscience, mais dans ce cas, quelle est son utilité scientifique, à part être une entité ésotérique invoquée par les psyK comme mécanisme explicatif ?
"Aujourd'hui, c'est très compliqué, car il y a des croyants et des athées, des hommes et des femmes qui travaillent (alors qu'avant les femmes élevaient les enfants), des hétéros et des homos, bref c'est vraiment le bordel !". Perle d'étudiant
http://ineakis.blogspot.fr/
http://ineakis.blogspot.fr/
Re: La psychanalyse, une pseudo-science.
En effet ! J'ai mieux apprécié ses conférences que son livre.Kraepelin a écrit :Du réchauffé ton affaire! Va voir plus haut dans la topic!


Re: La psychanalyse, une pseudo-science.
De ce que j'en ai compris, le livre en lui-même attaque plutôt les pratiques de Freud et certains aspects philosophiques de sa psychanalyse, ce n'est donc pas le meilleur ouvrage pour aborder la question de la scientificité de la psychanalyse proprement dite (même si c'est traité). A ce sujet, je conseille plutôt le Livre Noir de la Psychanalyse, plus général et documenté.
"Aujourd'hui, c'est très compliqué, car il y a des croyants et des athées, des hommes et des femmes qui travaillent (alors qu'avant les femmes élevaient les enfants), des hétéros et des homos, bref c'est vraiment le bordel !". Perle d'étudiant
http://ineakis.blogspot.fr/
http://ineakis.blogspot.fr/
Re: La psychanalyse, une pseudo-science.
J'ai lu l’ouvrage de Jacques Bénesteau et celui de Jacques Van Rillaer il y a quelques années de cela et je n'ai pas cru utile d'acheter l'ouvrage cité ci-dessus, j'ai un anecdote à propos de livre de Monsieur Bénesteau. Il y a quelques années de cela j'étais allé dans une chaîne de magasin bien connu en France qui vent des produit culturelle et hifi, je vais vers le vendeur pour lui demander si ils ont le livre en rayon et il me répond que non, je lui demande alors si il peut me le commander et il me donne la même réponse de façon péremptoire et finalement je l'ai commandé sur internet. Étrangement quelques mois plus tard je retourne dans le même magasin pour commander le livre Van Rillaer, c'est une vendeuse cette fois ci et je demande si la vendeuse peut aussi m'avoir celui de Bénesteau elle me répond que oui. Bien entendu je n'ai pas recommandé le livre que j'avais acheté précédemment. J'en ai conclu que le vendeur m'avait menti, de toute façon il était tellement désagréable quand je lui ai dit le titre du livre.
Dernièrement j'ai commencé à lire le livre de Nathan Stern mais j'ai abandonné en route.
Je ne pense pas qu'avec l’acquisition de ces trois livres le livre noir me soit utile, je me trompe surement. J'ai aussi acheter les deux livre de Michel Onfray sur la psychanalyse mais je n'ai pas commencé à les lire.
Je crois que malgré tout une critique philosophique de la psychanalyse est toujours bonne à prendre. Il faut voir la lever de bouclier que sont livre le "Crépuscule d'une Idole" à provoquer pire que sont livre sur l'athéologie.
Un magazine a même annoncé sa mort. Sur sont site le troisième commentaire en partant du haut est très pertinent.
Dernièrement j'ai commencé à lire le livre de Nathan Stern mais j'ai abandonné en route.
Je ne pense pas qu'avec l’acquisition de ces trois livres le livre noir me soit utile, je me trompe surement. J'ai aussi acheter les deux livre de Michel Onfray sur la psychanalyse mais je n'ai pas commencé à les lire.
Je crois que malgré tout une critique philosophique de la psychanalyse est toujours bonne à prendre. Il faut voir la lever de bouclier que sont livre le "Crépuscule d'une Idole" à provoquer pire que sont livre sur l'athéologie.
Un magazine a même annoncé sa mort. Sur sont site le troisième commentaire en partant du haut est très pertinent.
Qui est en ligne ?
Utilisateurs parcourant ce forum : Aucun utilisateur inscrit