Inso a écrit :Bonjour,
Steffo a écrit :Le GIEC ne fait pas de science, mais de la communication, et pourtant vous ne vous en formalisez pas !
Le GIEC se base sur env. 850 000 études scientifiques publiées. Pour rappel, le GIEC
"a pour mission d’évaluer, sans parti-pris et de façon méthodique, claire et objective, les informations d’ordre scientifique, technique et socio-économique qui nous sont nécessaires pour mieux comprendre les risques liés au réchauffement climatique d’origine humaine".
Alors tu confirmes que le GIEC ne fait pas de science mais que de la communication !
J'ai mis en gras le petit bout qui aurait du t'allumer une lumière. Dommage que tu n'ai pas encore saisi le mandat réel du GIEC !
Afin de t'aider à comprendre je t'ai rajouter ce petit bout. J'aimerais que tu me dise ce que tu en pense.
« Il y a urgence aujourd'hui à développer une recherche climatologique qui puisse tenir compte de toutes les hypothèses, liées à l'activité humaine et naturelles, de façon à pouvoir les pondérer, et donc réaliser des projections plus fiables que celles faite par le GIEC.
Cette recherche, qui échappe par construction au scope du GIEC (lequel doit par mandat s'en tenir à l'hypothèse de la responsabilité humaine) trouve évidemment du mal à se financer, voire à passer le cap de la publication. C'est une vraie question éthique que de permettre à ces scientifiques non mainstream de pouvoir s'exprimer aussi, y compris dans les médias, et de tenir compte de leurs travaux »
http://www.latribune.fr/opinions/tribun ... 14237.html
Steffo a écrit :Inso, ce n'est pas parce que tu ne trouve pas que ça n'existe pas.
Ce n'est pas moi qui ne trouve pas, ce sont les climato-sceptiques qui ne trouvent pas ! lis bien mes liens au lieu de renverser la problématique.
Pourtant j'en ai posté plusieurs ici, tu ne les as pas lu ?
Steffo a écrit :Tu ne comprends toujours pas.
Je comprend surtout que tu réfutes les éléments scientifiques validés et que tu préférés écouter des personnes qui ne produisent rien ou qui brassent du vent contre espèces sonnantes et trébuchantes. (Courtney, Christy, Armstrong...)
Les études scientifiques existent, il y en a beaucoup et sont résumées par le GIEC. Mais je comprend qu'il est plus simple de citer des personnes qui ne sont pas publiées, puisqu'elle peuvent dire ce qu'elles veulent.
Des gens qui ont une tête sur les épaules sont tout autant habilité à discuter des méthodologies scientifiques. Dire qu'il n'y a que les climatologues pour parler du climat est une aberration sans nom.
De quels éléments scientifiques validés parles-tu ?
Du plateau de 20 ans avec ces 6.7 millièmes de degré d'augmentation telle que le démontre les données utilisé par le GIEC? Ou si tu préfère séparer les données de température pour leur faire dire ce qu'elle ne dise pas comme essai de la faire Christian ?
Si tu dis que le RCA est validés, j'attends la preuve.
DE QUELS ÉLÉMENTS SCIENTIFIQUES VALIDÉS PARLES-TU ?
Steffo a écrit :Burt RUTAN, célèbre ingénieur aérospatial,
Bon exemple. Tu aimes bien trouver des personnes dont le champs d'expertise n'a rien à voir avec le climat non ?
Tu le fais exprès ou tu ne trouves pas mieux ?
Burt Rutan est compétent dans un domaine touchant au climat ? non.
Il a publié ? non.
==> Valeur de ses arguments sur le plan scientifique ? proche de zéro.
On a pas besoin d'être un climatologue pour donner son appréciation sur une méthodologie scientifique défaillante. Mais si tu ne jure que par le titre de leur profession, j'ai quelques noms à te suggérer. Bonne lecture
Eduardo ZORITA - PhD - Paléoclimatologue - Chercheur à l’Institut pour la Recherche Côtière GKSS (D) Ex collaborateur du GIEC.
« Les chercheurs en sciences du climat sont souvent tentés de modifier leurs données pour être en phase avec la vision politiquement correcte sur les changements climatiques »
Marcel LEROUX, climatologue français, né le 27 août 1938, décédé le 12 août 2008. Professeur émérite de climatologie à l'Université Jean-Moulin - Lyon-III, il était directeur du Laboratoire de climatologie, risques et environnement:
« Le réchauffement global est une hypothèse issue de modèles théoriques et fondée sur des relations simplistes, qui annonce une élévation de la température, proclamée mais non démontrée. Les contradictions sont nombreuses entre les prédictions et les faits climatiques directement observés, l’ignorance délibérée de ces distorsions flagrantes constituant une imposture scientifique ».[8]
Gerald STANHILL, climatologue britannique, professeur au département de physique environnementale de l'institut des sols, de l'eau et des sciences environnementales d'Israël :
« L’omission [de l'influence solaire ] … dans les rapports du GIEC amène à se poser la question de la confiance que l’on peut placer dans un système de consensus scientifique imposé par le haut (top-down) qui ignore un élément aussi majeur et significatif dans le changement climatique. Une autre question, plus fondamentale, est de savoir si notre compréhension du changement climatique est actuellement suffisante pour produire une vue consensuelle utile. »[30]
Richard KEEN, climatologue américain au sein du département des sciences atmosphériques et océanographiques de l'université du Colorado : « La Terre s'est rafraîchie depuis 1998 au mépris des prédictions de l'UN-IPCC. La température globale de 2007 a été la plus froide de la décennie …c’est pourquoi 'le réchauffement climatique' est maintenant appelé ' le changement climatique' » [44]
Bob CARTER, paléoclimatologue australien, professeur à la James Cook University (Australie): « Il y a tout lieu de douter que le moindre réchauffement climatique soit en train d'avoir lieu, et plus encore qu'il soit causé par l'activité humaine »[62].
David LEGATES, Ph.D., climatologue américain, professeur associé à l'université du Delaware et climatologue de l'état.
« Le Troisième rapport d'évaluation (2001) du GIEC proclame que la quasi-totalité du changement climatique observé au cours des deux derniers millénaires a eu lieu au cours du 20e siècle et que cela est dû aux activités humaines. Le rapport soutient que le dioxyde de carbone et d’autres gaz à effet de serre mis dans l'atmosphère par l’industrialisation, conduisent à l'augmentation des températures … un examen des données montre que ces allégations ne sont pas tenables »[79].
Augusto MANGINI, paléo-climatologue et physicien à l'université de Heidelberg : « Le GIEC estime que le CO² a une influence déterminante sur les températures et que les variations naturelles sont négligeables. Or mes travaux montrent que le climat a toujours été soumis à des variations considérables, parfois lentes, parfois brutales. » [85] …«
Je considère que la partie du rapport du GIEC que je peux juger en tant qu'expert - la reconstruction des paléoclimats - est fausse…. Il est également faux de dire que le réchauffement actuel est beaucoup plus rapide que les réchauffements antérieurs. » [86]
Frederick WOLF, climatologue américain qui a enseigné la météorologie et la climatologie au Keene State College dans le New Hampshire pendant 25 ans :
« Plusieurs choses ont contribué à mon scepticisme quant aux causes humaines du réchauffement climatique. Nous savons tous que l'atmosphère est un système très compliqué. Aussi, après l'étude du climat, je suis conscient qu'il y a les cycles des périodes chaudes et froides des longueurs variantes qui ne sont toujours pas complètement comprises. …Je suis impressionné par le nombre de collègues scientifiques qui restent naturellement sceptiques sur la conclusion selon laquelle l'homme induit le réchauffement »[95].
Diane DOUGLAS, paléo-climatologue, auteur et éditeur de plus de 200 rapports scientifiques:
« La récente « panique» pour contrôler les émissions de GES (gaz à effet de serre) et les milliards de dollars qui sont consacrés à cette tâche m'ont profondément préoccupé car les États-Unis et d'autres pays dépensent de précieux fonds mondiaux pour stopper le réchauffement climatique, alors qu’il est principalement tirée par les mécanismes naturels de forçage »[101].
Richard LINDZEN, climatologue au MIT, Ph.D. en climatologie à Harvard: « Les générations futures se demanderont avec une stupéfaction amusée pourquoi, au début du 21ème siècle, le monde développé s'est plongé dans une panique hystérique à propos d'une augmentation globale moyenne de température de quelques dixièmes de degré, et, sur la base d'exagérations grossières, de projections informatiques hautement incertaines, combinées en déductions improbables, il s'est trouvé en face d'un recul de l'âge industriel »[114].
Patrick J. MICHAELS, climatologue américain: « il n'y a aucune incitation pour un scientifique à sortir du catastrophisme actuel …si vous faites ça, vous risquez d'être mis au pilori par vos collègues. Si le réchauffement n'est pas une menace, à quoi servent tous les fonds qui y sont consacrés ? » [118]
Paul KNIGHT - Météorologue - Climatologue de l’Etat de Pennsylvanie - Pennsylvania State University Dept Meteorology (USA) « La modélisation de l’évolution climatique en est encore dans ses balbutiements. Elle ne prend pas en compte des mécanismes très importants, tel que l’ennuagement ».
Hans JELBRING - PhD - Climatologue - Section Paléogéophysique et Géodynamique - Stockholm University (S). « Les principes scientifiques de base démontrent que le réchauffement climatique n’est pas causé par les gaz à effet de serre d’origine humaine ».
Judith CURRY - PhD - Climatologue - Sciences Géophysiques Georgia Institute of Technology - Membre du Conseil Scientifique de la NASA. « Quant aux changements climatiques, les scientifiques doivent abandonner le dogme du consensus et en revenir à des concepts scientifiques. Je ne fais plus confiance aux conclusions du GIEC ».
John SHADE - Physicien - ex météorologue - Consultant en statistiques (GB) « L’allégation selon laquelle 97% des climatologues croient en l’origine humaine du réchauffement climatique est mensongère ».
Charles L WAX - PhD - Climatologue - Professeur Dept Geosciences Mississippi State University - Ex président American Association of State Climatologists. « Les changements climatiques sont dùs aux cycles solaires et autres phénomènes naturels, et non aux gaz à effet de serre émis par les activités humaines ».
Robert DURRENBERGER - PhD - Ex président de American Association of State Climatologists - Professeur émérite de Géographie Arizona State University (USA)- « Après toute la désinformation menée par Al Gore et ses amis, les vrais climatologues doivent montrer au public la nature réelle du problème ».
Tim PATTERSON - PhD - Paléoclimatologue - Professeur de Géologie et Directeur du Geoscience Center Carleton University - (Canada) « Le scénario avancé par le GIEC (sur l’influence humaine dans les changements climatiques) est en contradiction avec les preuves empiriques des archives géologiques. (…) C’est l’activité solaire qui est à la base des changements climatiques.
Bill BARROW - Climatologue - Membre du Royal Meteorological Society (Canada). « Sans doute consacrons-nous trop de ressources pour corriger l’impact humain sur les changements climatiques, sans certitude que nous y soyons vraiment pour quelque chose ».
Martine TABEAUD - Géographe - Climatologue - Professeur de Géographie Université de la Sorbonne (F). « Une température ne définit pas à elle seule un climat. Le réchauffement de l’atmosphère de moins de 1°C a provoqué surtout un échauffement des esprits ».
Bon j'arrête ici, il y en a beaucoup d'autres si tu veux y jeter un coup d'oeil.
http://www.standelarminat.com/les2ailes ... &Itemid=68
Il est assez amusant que tu nous reproches de "croire" alors que c'est toi qui te base depuis des pages et des pages sur des avis sans valeur scientifique.
C'est faux, je me base sur les données factuels du GIEC et du Hadcrut4. Je m'explique mal que tu ai autant de difficulté à suivre ! Il suffit que je mettre quelques citations que tu n'apprécie pas pour éluder tout le reste ! C'est pas très honnête comme démarche. Tu peux me montrer une seule preuve qui puisse justifier une bourse du carbone ?
Pourquoi ça ne te dérange pas cette façon de pondérer les mesures de température de façon à exagérer le changement climatique ? Cette façon de faire est pour le moins discutable et ça vous ne dérange pas.
Both raw and adjusted data from the NCDC has been examined for a selected Contiguous U. S. set of rural and urban stations, 48 each or one per State.
The raw data provides 0.13 and 0.79 o C/century temperature increase for the rural and urban environments. The adjusted data provides 0.64 and 0.77 o C/century respectively. The rates for the raw data appear to correspond to the historical change of rural and urban U. S. populations and indicate warming is due to urban warming . Comparison of the adjusted data for the rural set to that of the raw data shows a systematic treatment that causes the rural adjusted set’s temperature rate of increase to be 5 - fold more than that of the raw data. The adjusted urban data set’s and raw urban data set’s rates of temperature increase are the same. This suggests the consequence of the NCDC’s protocol for adjusting the data is to cause historical data t o take on the time - line characteristics of urban data. The consequence intended or not, is to report a false rate of temperature increase for the Contiguous U. S. [/quote]
Comme tous les détails sont fournis ici, tu pourras les consulter...
http://scienceandpublicpolicy.org/image ... C_Data.pdf
Quand je lis les climato-sceptiques, je vois plusieurs tendances :
1) Il n'y a pas de réchauffement climatique.
2) Il y a réchauffement climatique, mais il n'est pas causé par l'homme.
3) Il y a réchauffement climatique, (en partie causé par l'homme ou non), mais c'est une bonne chose.
J'ai du mal à te cerner, tu es plutôt dans la chapelle 1 (quand tu argumentes sur les courbes et les chiffres) ou dans la chapelle 2 (quand tu parle du soleil et de CLOUD) ?
Moi j'affirme rien concernant le RC, je ne fais que douter, en douterais tu ?
Christian a écrit :C'est clair, vous vous foutez de nous. Vous ne regardez pas les liens que nous vous donnons.
Ou alors il les regarde, mais n’arrive pas à argumenter dessus. C'est quand même plus simple de continuer sur la même rhétorique sans tenir compte des questions gênantes (et c'est aussi du foutage de gueule).
Inso
[/quote]
L'étude présenté par christian ne change strictement rien aux données hadcrut et le fait qu'il y a un plateau depuis 20 ans... n'en déplaise aux croyants. c'est un fait et un fait est un fait. Ose dire que cela modifies les données du Hadcrut. Tout au plus cela offre une autre façon de les interpréter basé sur les données utilisé 1967-2011. Pourquoi 1967, pourquoi l'entièreté des données disponibles ?