Evidement qu'il l'enfonce cette porte, vu que c'est à peu de chose près le seul argument (si on peut dire) qui lui reste. S'il ne faisait pas de cet argument de la génération spontanée une "loi" qu'il radote et qu'il est d'ailleurs le seul à considérer comme une loi, il serait contraint d'accepter que le vide de connaissance entre le vivant et le non vivant, où il place son dieu peut très bien être rempli par une continuité du non-vivant au vivant en passant par le presque-vivant et que les connaissances actuelles des deux mondes (vivant/non-vivant) ne permettent absolument pas de supposer qu'il y a une quelconque frontière infranchissable entre les deux.Denis a écrit :Tu enfonces une porte ouverte. Je pense même que c'est au moins la vingtième fois (sinon la cinquantième) que tu enfonces cette même porte. Faudrait peut-être changer de disque.
Sa "loi" de la biogenèse, qu'il invente de toute pièce, est le seul élément d'apparence scientifique qui lui permet de repousser le fait que, comme la chimie et la physique est la même pour toute la matière de l'univers, il n'y a pas de raison de penser que la vie est une catégorie de réaction chimique à part, à moins de tomber dans le sophisme du "c'est trop complexe", qui pose la question auquel aucun créationniste ne répond, à savoir que si c'est TROP complexe, c'est qu'il y a une échelle de complexité mesurable avec un seuil identifiable et donc ça serait bien de donner cette échelle et ce seuil.