richard a écrit : 11 août 2021, 14:46
A’ et B’ ne sont pas des coordonnées, ce sont des points de l’espace
E’ (le train), points qui coïncident avec les points A et B de
E (le quai) au moment T
o où se produisent les événements (émissions des éclairs).
Les éclairs mettent respectivement un temps t’
A et t’
B pour parvenir en I’, tels que t’
A > t’
B. Ils arrivent en I’ aux temps T’
A = T’
o + t’
A et T’
B = T’
o + t’
B, tels que T’
A > T’
B. Einstein a donc raison (pour une fois).
Einstein a écrit :Le rayon venant de A arrive en I’ après celui venant de B car il fuit le rayon venant de A tandis qu’il court vers celui venant de B.
Et vous, êtes-vous d’accord avec la proposition d’Einstein?
Mais espèce de branquignole, on te le dit depuis le début que c'est comme ça qu'il faut le voir !
Maintenant, puisque pour le contrôleur 'c' est une constante et que le trajet de chaque flash est différent, est-ce que pour lui ils partent ensemble ?
Je présume que tu sais compter, si pour lui les émissions sont décalées dans le temps comment peux-tu prétendre que la simultanéité est respectée ?
Je rappelle que simultanéité veut dire:
- Simultanéité à l'émission.
et
- Simultanéité à la réception.
Ce n'est pas l'un ou l'autre mais l'un ET l'autre.
Question subsidiaire:
Pour quelle raison mystérieuse est-ce que le chef de gare aurait l'insigne honneur de prétendre détenir la vérité au détriment de celle énoncée par le chef contrôleur ?
Le rôle de la physique mathématique est de bien poser les questions, ce n'est que l'expérience qui peut les résoudre. [Henri Poincaré]