David Labrecque a écrit :Je passe rapidement sur la soi-disant libération d'endorphines durant le processus de nécrose des neurones.
Oui, je comprends, ce n'est pas moi qui l'affirme, ce sont des médecins...
David Labrecque a écrit :D'abord, ces derniers ne produisent et ne libèrent pas tous les mêmes neurotransmetteurs.
Exact.
David Labrecque a écrit :Ensuite, lors de l'anoxie cérébrale, les neurones libèrent en se désintégrant d'énormes quantités de glutamate, mais l'endorphine n'est mentionnée nulle part dans ce que j'ai lu.
Ils libèrent chacun ce qu'ils ont en stock : glutamate, endorphines, dopamine, etc...
David Labrecque a écrit :Auriez-vous des sources inédites à ce sujet? (Saisissez bien la nuance : il s'agit de la libération d'endorphines par les neurones privés d'oxygène et non de la libération d'endorphines par des neurones sains.)
Je vous ai déjà donné plusieurs fois une même source parlant de libération massive d'endorphines par les neurones privés d'oxygène. Comment faites-vous pour ne jamais la voir ?
David Labrecque a écrit :Enfin, comme je l'ai déjà dit, «la dégradation d'un neurone n'aura pas pour effet d'optimiser son potentiel d'action, comme vous le prétendez, mais va plutôt le rendre inopérant». Je ne vois pas comment le dire plus clairement :
Effets de l'anoxie sur la transmission synaptique
L'anoxie bloque la transmission synaptique. En effet, les potentiels postsynaptiques excitateurs (PPSE) évoqués par stimulation électrique des
axones sont bloqués très rapidement par un milieu dépourvu d'oxygène [ 10, 11, 13-15].
(Source :
http://ipubli-inserm.inist.fr/bitstream ... 1_1_43.pdf)
Votre source est intéressante, je suis très surprise que vous ne l'ayez pas mieux lue, tout y est bien expliqué : l'anoxie ne bloque pas la transmission synaptique avant
plusieurs minutes, les décharges sont elles immédiates, et les mécanismes sous-jacents encore mal connus.
David Labrecque a écrit :Outre cela, je vous prie de répondre à la question de Pepejul, puisqu'elle résume l'une de celles que j'ai posées et que vous avez jusqu'ici esquivées :
Pepejul a écrit :
Votre hypothèse est que les surdoués ont plus d'EMI (ou des EMI meilleures) car ils ont plus de connexions et que cela libère plus de neuromédiateur en cas de "crise" c'est bien ce que vous dites ?"
Je n'en vois pas l'utilité tant que nos bases ne sont toujours pas les mêmes.
David Labrecque a écrit :En effet, à propos des neurotransmetteurs :
David Labrecque a écrit :
ressuscitée a écrit :
kestaencordi a écrit :
les réserves sont plus grandes pcq plus de synapses, mais la ''demande'' doit être proportionnelle. non? ca s'annule non?
Dans les situations extrêmes, où l'organisme mobilise forcément toutes ses ressources, le surdoué est avantagé parce qu'il en a plus.
Affirmation d'une théorie personnelle répétée encore une fois sans preuves à l'appui, et démentie par ce que l'on sait du fonctionnement du cerveau.
Au lieu de consolider votre théorie par des faits qui la confirment (j'attends toujours !) ou de simplement admettre qu'elle ne tient pas la route, vous avez renversé la charge de la preuve :
ressuscitée a écrit :
Vos affirmation étant gratuites, je vous demande de les étayer.
Je n'ai rien renversé du tout. Vous affirmez que ma soi-disant "théorie personnelle" serait démentie par "ce que l'on sait du fonctionnement cérébral", selon vous. Il vous appartient de le prouver, et je constate que ce n'est toujours pas fait, mais c'est normal : vous ne connaissez pas grand-chose au fonctionnement cérébral et vous en faites des idées fausses. En revanche, ce que je vous en dis correspond bien à ce que l'on en sait.
David Labrecque a écrit :J'accède à votre requête avec l'exemple de la pratique sportive (que vous comprendrez peut-être mieux que l'exemple de l'accoutumance aux drogues). Je souligne en gras les points essentiels :
Sans aucun intérêt pour notre discussion. Pure diversion.
David Labrecque a écrit :Les besoins dont je parle sont l'effet recherché par le corps dont la finalité est le maintien de son homéostasie : le but de la libération d'endorphines est l'élimination de la douleur.
Pouvez-vous sérieusement affirmer que ce but est toujours atteint ?