mémoire courte ?il serait intéressant qu'un neurologue vienne apporter un peu de matière à la discussion d'ailleurs
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mémoire courte ?il serait intéressant qu'un neurologue vienne apporter un peu de matière à la discussion d'ailleurs
Doit avoir un sens ?, mais pourquoi ? C'est tautologique que pour le faire il que tu puisses pouvoir le faire, mais cela n'implique en rien un libre arbitre, un avion pour pouvoir décoller, il faut qu'il puisse pouvoir le faire.Etienne Beauman a écrit :Non, je ne vis pas dans l'absolu, je vie dans ma vie, c'est ma vie qui doit avoir un sens celui que je lui donne et pour le faire il faut je puisse pouvoir le faire.vous semblez partir de l'idée que la vie à une importance
C'est bien pour cela que les conditionnements futur sont important et influence beaucoup, lorsque je lis vos textes que vous écrivez, ça peut influencer mon futur ou pas, que ce soit par un facteur déterminer de conditionnement ou par un libre-arbitre ou encore un mélange des 2. C'est malheureux que vous ne comprenez pas l'anglais, parce que je lis ce genre de phrases j'ai l'impression que vous ne comprenez pas ce que nous disons (probablement parce que ce n'est pas évident à expliquer) ce qui donne une discution vraiment bizarre.Et non vu que t'es pas responsable de tes actions tout ce qui t'arrive est subi, dans ton monde sans libre arbitre la capacité de changer d'avis est une illusion aussi, si le libre arbitre n'existe pas le savoir n'est même pas la conséquence d'un raisonnement c'était juste inévitable.
Définition possible:Raphaël a écrit :Je suis assez d'accord avec la position de Greem. Ceux qui croient au libre arbitre devrait être capables de le définir correctement et de dire d'où ça vient. Sinon ça devient une croyance comme une autre: croyance en Dieu, aux esprits, aux perceptions extra-sensorielles, etc.
Salut RaphaëlRaphaël a écrit :Il n'y a pas de paradoxe: c'est ton raisonnement qui est invalide. Si ta machine pouvait vraiment prévoir une décision humaine, elle prévoirait aussi ton changement de choix puisqu'elle devrait être au courant de tous les paramètres qui influencent ta décision. Quand on pose une hypothèse il faut être conséquent avec cette hypothèse sinon on risque de faire des conclusions absurdes.
Cette machine pour connaitre vos décisions devra avoir toute les entrés et votre état au moment de cette prise de décision.Gabriel C a écrit : C’est l’existence même de cette machine qui est absurde.
Si elle peut prévoir disons 10 minutes de toutes mes actions futures et que j’ai accès à cette information qu'est-ce qui m’empêcherait de changer de décision juste pour trahir le destin ?
Oui mais le déterminisme absolue c'est quoi ? Une vérité révélé et définitive ?Raphaël a écrit :Je suis assez d'accord avec la position de Greem. Ceux qui croient au libre arbitre devrait être capables de le définir correctement et de dire d'où ça vient. Sinon ça devient une croyance comme une autre: croyance en Dieu, aux esprits, aux perceptions extra-sensorielles, etc.
Je ne vois pas en quoi.Gabriel C a écrit :Cette conséquence philosophique me semble absolument contradictoire avec votre affirmation « Les "choix" peuvent être expliqués par ces tensions/résolutions issus des stimuli plaisir/déplaisir. »Cajypart a écrit :Sinon quelques conséquences philosophiques sont données:
"Je ne crois plus au mérite : puisque l'humain découle d'un programme sur lequel il n'exerce aucun contrôle, la notion même de mérite frise l'absurde. Ça peut paraître anodin, mais l'abolition du concept de mérite conditionne à mon avis l'apparition d'une société vraiment égalitaire, où la place des individus ne dépendrait plus de leur performance."
Vous êtes dans une logique de "trouver un coupable" afin de pouvoir appliquer une "punition". Je ne fais qu'établir une causalité afin d'identifier et d'éradiquer les conditionnements superflus de mon programme. Si certaines barrières sont franchissables, je suis déterminé à les franchir.GabrielC a écrit :Le pouvoir que vous avez sur votre vie dépend essentiellement du nombre de facteurs ou vous vous sentez responsable. Aussitôt que vous vous dite que vos choix son une illusion sans aucun pouvoir sur la continuité de la réalité vous êtes presque assuré de tombé dans l’apitoiement stérile et dépensé toutes vos énergies à trouver des coupables autres que vous. Or ces coupables que ce soit, les milieux sociaux, votre génétique, la politique ne sont souvent que des agents contingents ,parfois fort contraignants, il est vrai, mais ne constitue aucunement des barrières absolues comme la nécessité.
Ça n'a rien de bête. Le hasard ne peut pas être programmé sur un ordinateur: on peut seulement le simuler. Si quelqu'un me donne la formule mathématique ou l'algorithme du hasard je suis bien prêt à changer d'idée. Par contre les arguments du genre "c'est un peu bête", "c'est évident" ou "c'est vrai parce que c'est moi qui le dit" ça ne me convainc pas et ça ne me convaincra jamais.davidsonstreet a écrit :Dire que le libre arbitre n'existe pas équivaut à dire que le hasard n'existe pas, ce qui est un peu bête quand on y pense.
Cela tombe bien, car je ne me reconnais pas pleinement non plus dans votre définition du libre arbitre.Cajypart a écrit : Je ne me reconnais pas dans votre définition du déterminisme.
Donc à la question « pourquoi quelques choses plutôt que rien » votre réponse est tout a toujours été quelques choses ? Intéressant.Cajypart a écrit :Principalement parce que je ne crois pas au "début des temps" ni bien sur en une cause initiale (puisqu'on ne peut créer à partir de rien, le tout a toujours existé, sous diverses formes, en fonction des contingences).
Selon moi, c’est la volonté de modifier le futur grâce à l’acquis qui est le fondement de la liberté.Cajypart a écrit :Mon propos concerne le libre-arbitre qui pour moi n'est rien d'autre qu'un conditionnement (acquis).
La dessus, je pense presque le contraire de vous. La conception subjective de la réalité c'est-à-dire l’ouvrage de conceptualisation est l’oeuvre même de la conscience.Cajypart a écrit :Pour ce qui est de la conscience, je ne lui donne pas plus d'importance que cela. Elle n'est pour moi rien d'autre qu'un récit a posteriori, avec toutes les approximations (et parfois illusions) que ça implique.
Sur la notion de vérité absolue je tente de toujours rester prudent à d’appliquer le principe d’ignorance cher à Socrate. La vérité n’est pas quelques chose qui s’impose, c’est quelques choses qui ce cherche tout on long de son existence et tout le monde est libre de la chercher ou non.Cajypart a écrit :Sinon, vous reconnaissez que le libre-arbitre est une croyance: c'est déjà une bonne base. Cela signifie que vous ne tenterez bien évidemment pas de m'imposer cette croyance comme une vérité absolue à laquelle je devrais me soumettre sous peine de châtiment. Je suis rassuré.
L’idée que le chois ne ce fait que dans une analyse binaire de plaisir déplaisir amène directement l’idée de pouvoir vulgairement conditionner n’importe qui avec des récompenses sensuelles et matérielles.Cajypart a écrit :Je ne vois pas en quoi.
Et je ne vois pas quel mérite on peut retirer d'un "choix" conditionné.
C ‘est plutôt le contraire. Je suis dans une logique où je ne fais que chercher le problème en moi. Face aux autres je les amène à réfléchir à leur propre responsabilité face à leur problème quand ils se plaignent des autres ou l'univers. C’est connais toi toi même et tu connaitre l’univers. Chercher un coupable autre que soit est une attitude typique du déterminisme philosophique qui refuse par définition toute responsabilité du moi face à l’imperfection de leur existence.Cajypart a écrit :Vous êtes dans une logique de "trouver un coupable" afin de pouvoir appliquer une "punition".
Alors vous croyez tout de même à une certaine sorte de libre arbitre?Cajypart a écrit :Je ne fais qu'établir une causalité afin d'identifier et d'éradiquer les conditionnements superflus de mon programme. Si certaines barrières sont franchissables, je suis déterminé à les franchir.
Je suis 100% d'accord sur ce point. Inutile donc d'aller plus loin dans ce raisonnement.Gabriel C a écrit :C’est l’existence même de cette machine qui est absurde.
Je l'ai déjà dit et je le répète: Le déterminisme s'explique par les conséquences d'une chaîne matérielle de causes à effets (réactions chimiques et physiques).Oui mais le déterminisme absolue c'est quoi ? Une vérité révélé et définitive ?
Je pourrais vous retourner la question:
Ceux qui croient au déterminisme absolue devrait être capables de le définir correctement et de dire d'où ça vient. Sinon ça devient une croyance comme une autre: croyance en Dieu, aux esprits, aux perceptions extra-sensorielles, etc.
Tu pars d'une supposition, c'est-à-dire être capable de prévoir le futur de façon claire, pour en arriver à la conclusion que le déterminisme est paradoxal et contient sa propre réfutation. Or on sait qu'on ne peut pas prédire le futur de façon claire. Ta conclusion se fait donc à partir d'une hypothèse sans fondement et n'a par conséquent aucune valeur logique.Or la capacité de prévoir le futur de façon claire est un paradoxe devant le déterminisme... car il faudrait des forces surnaturelle pour empêcher la personne connaissant le future de modifier le destin.
Bref le déterminisme absolu, tout comme le libre arbitre absolu de Descartes, sont des notions paradoxale contenant leur propre réfutation.
C'est ce que je crois moi aussi. On ne peut pas créer quelque chose à partir de rien.Gabriel C a écrit :Donc à la question « pourquoi quelques choses plutôt que rien » votre réponse est tout a toujours été quelques choses ? Intéressant.Cajypart a écrit :Principalement parce que je ne crois pas au "début des temps" ni bien sur en une cause initiale (puisqu'on ne peut créer à partir de rien, le tout a toujours existé, sous diverses formes, en fonction des contingences).
Oui, cela dérive du dieu immanent de Spinoza, sauf que j'appelle ça le tout.Gabriel C a écrit :Donc à la question « pourquoi quelques choses plutôt que rien » votre réponse est tout a toujours été quelques choses ? Intéressant.
Je pense que cette volonté de modifier le futur est issue d'un conditionnement.Gabriel C a écrit :Selon moi, c’est la volonté de modifier le futur grâce à l’acquis qui est le fondement de la liberté.
Je rejoins plutôt Nietzsche sur ce thème:Gabriel C a écrit :La dessus, je pense presque le contraire de vous. La conception subjective de la réalité c'est-à-dire l’ouvrage de conceptualisation est l’oeuvre même de la conscience.
A dire vrai, c'est plus couramment le conditionnement opposé: punition sensuelle, matérielle ou sociale. Mais oui, tout le monde peut être et est conditionné.Gabriel C a écrit :L’idée que le chois ne ce fait que dans une analyse binaire de plaisir déplaisir amène directement l’idée de pouvoir vulgairement conditionner n’importe qui avec des récompenses sensuelles et matérielles.
Encore une fois, ces systèmes moraux n'échappent pas au conditionnement récompense/punition.Gabriel C a écrit :À mon sens le conditionnement n’est qu’une barrière contingente pouvant être surmontée par la volonté de perfectionner l’existant. Et les choix d’une personne sont souvent beaucoup plus guidés par les systèmes psychologiques moraux inconscients que par le simple choix plaisir-douleur.
Je pense qu'il est possible de se conditionner autrement (pour obtenir une autre résolution que celle qui intervient "normalement"), mais cette volonté est elle-même conditionnée...Gabriel C a écrit :Alors vous croyez tout de même à une certaine sorte de libre arbitre?
Je vous rejoins sur notre discussion en particulier.Gabriel C a écrit :J’ai un peu l’impression que l’on se bat tous deux contre l’épouvantail de l’autre; qu’on s’invente pratiquement un adversaire alors que l'on use tout deux de tempérance. Par exemple le type de libre arbitre chrétien qu’attaque Nietzsche ne me concerne pas vraiment, ma conception du libre arbitre est complètement postchrétienne et n'est liée à aucune révélation mystique. Et le déterminisme fataliste absolu que j’attaque ne semble pas vraiment vous corresponde non plus.
Personnellement je n’ai pas l’impression qu’un jour je trancherai dans l’absolu sur cette question vieille comme l’humanité.
Non le déterminisme c’est la croyance qui consiste à pousser le principe de causalité comme essence même de l’univers. À mon sens, la preuve causale de la chimie n’est pas plus une preuve du déterminisme absolu que le hasard du mouvement brownien n’est la preuve du libre arbitre.Raphaël a écrit :Je l'ai déjà dit et je le répète: Le déterminisme s'explique par les conséquences d'une chaîne matérielle de causes à effets (réactions chimiques et physiques).
Qu'en est-il du libre arbitre ? On attend toujours une explication...
Le fait que la science ne puisse pas prédire le futur de façon claire prouve que l’univers n’est pas gouverné par un froid déterminisme et me donne donc en partie raison. À mon sens réfuter le libre arbitre par l’idée d’un déterminisme universel tient plus de l’acte de foi pessimiste basé uniquement sur une conclusion arbitraire. Alors que le libre arbitre peut être une croyance optimiste basée sur quelques choses qu’on semble expérimenter à longueur de journée. Voilà pourquoi j’ai plus tendance à croire à un certain libre arbitre qu’au déterminisme. Je dirais comme Leibniz : nous sommes automates dans les trois quarts de nos actions.Raphaël a écrit :Tu pars d'une supposition, c'est-à-dire être capable de prévoir le futur de façon claire, pour en arriver à la conclusion que le déterminisme est paradoxal et contient sa propre réfutation. Or on sait qu'on ne peut pas prédire le futur de façon claire. Ta conclusion se fait donc à partir d'une hypothèse sans fondement et n'a par conséquent aucune valeur logique.
Ce n'est pas parce qu'on ne peut pas tout prédire qu'on ne peut rien prédire.Gabriel C a écrit : Le fait que la science ne puisse pas prédire le futur de façon claire prouve que l’univers n’est pas gouverné par un froid déterminisme et me donne donc en partie raison.
Je connais malheureusement peu ce philosophe. Mais j’ai bien l’intention de me plonger bientôt dans l’oeuvre de ce grand penseur.Cajypart a écrit :Oui, cela dérive du dieu immanent de Spinoza, sauf que j'appelle ça le tout.
Oui, mais ce conditionnement est tout de même relatif, sinon on ne constaterait pas l’immensité des divergences de points de vu.Cajypart a écrit : Je pense que cette volonté de modifier le futur est issue d'un conditionnement.
Ce que Nietzsche ne comprenais pas c’ est que l’homme n’a jamais vécu en solitaire de toute l’histoire de son espèce. L’exemple a donc très peu de valeur à mes yeux.Cajypart a écrit :Je rejoins plutôt Nietzsche sur ce thème:
"La conscience n'est qu'un réseau de communication entre hommes ; c'est en cette seule qualité qu'elle a été forcée de se développer : l'homme, qui vivait solitaire, en bête de proie, aurait pu s'en passer.
L’homo sapience n’a jamais été vraiment menacé par des animaux. C’est une vision ultra archaïque des réalités historiques de notre espèce maintenant mieux connu qu'à son époque. C’est l’homo habilis qui a maitrisé le feu. Les seuls prédateurs sérieux de l’homme ont toujours été les virus, les bactéries, les parasites et l’homme. L'idée de grosses bêtes qui nous pourchasse sans relâche tien fondamentalement du mythe. En faite c'est l'homme qui courrais après les grosses bêtes, notre espèce a toujours été un superprédateur.Cajypart a écrit :Si nos actions, pensées, sentiments et mouvements parviennent, du moins en partie, à la surface de notre conscience, c'est le résultat d'une terrible nécessité qui a longtemps dominé l'homme, le plus menacé des animaux : il avait besoin de secours et de protection, besoin de son semblable, il était obligé de savoir dire ce besoin, de savoir se rendre intelligible ; et pour tout cela, en premier lieu, il fallait qu'il eût une conscience, qu'il sût lui-même ce qui lui manquait, qu'il sût ce qu'il sentait, qu'il sût ce qu'il pensait.
Personnellement je trouve vraiment cela absurde et stérile de dire que la conscience est la plus mauvaise des pensés. Sur quoi est basé ce jugement de valeur au juste ?Cajypart a écrit :Car, comme toute créature vivante, l'homme pense constamment, mais il l'ignore. La pensée qui devient consciente ne représente que la plus infime, la plus superficielle, la plus mauvaise, de tout ce qu'il pense : car il n'y a que cette pensée qui s'exprime en paroles, c'est à dire en signes d'échanges, ce qui révèle l'origine même de la conscience."
D'où mon analogie entre conscience et récit.
Je suis évidemment d’accord pour dire que l’on est tous conditionné, mais ce ne sont que des contingences qui ne suppriment aucunement la liberté en tant que telle. Plus on est conscient de ce conditionnement plus on est libre de s’en libérer.Cajypart a écrit :A dire vrai, c'est plus couramment le conditionnement opposé: punition sensuelle, matérielle ou sociale. Mais oui, tout le monde peut être et est conditionné.
Le problème, c’est que votre conditionnement récompense/punition est un concept ultra généraliste n’expliquant strictement rien d’autre qu’une reformulation du dualisme que sous entent toute échelle de valeurs.Cajypart a écrit :Encore une fois, ces systèmes moraux n'échappent pas au conditionnement récompense/punition.
Donc c’est un raisonnement plutôt circulaire... ainsi tourne la roue vers le déterminisme absolu.Cajypart a écrit :Je pense qu'il est possible de se conditionner autrement (pour obtenir une autre résolution que celle qui intervient "normalement"), mais cette volonté est elle-même conditionnée...
Pas vraiment, à ma connaissance, le droit actuel n’a pas grand-chose à voir avec une quelconque morale proclamé.Cajypart a écrit :Je vous rejoins sur notre discussion en particulier.
Mais on ne peut occulter que tout notre système pénal repose sur un libre-arbitre de définition chrétienne avec la punition, donc, comme pivot.
C'est en faisant abstraction du libre-arbitre qu'on peut arriver à un système de réhabilitation des criminels en les "soignant" (reconditionnement).
Je suis affirmatif: oui.Gabriel C a écrit :Si quelqu’un ressent la douleur de l’autre et a de l’empathie et est capable d’imaginer sa souffrance pour le réconforter, c’est qu’il cherche une récompense ?
Pas du tout circulaire.Gabriel C a écrit :Donc c’est un raisonnement plutôt circulaire... ainsi tourne la roue vers le déterminisme absolu.
Bonjour Dave,Dave a écrit :Bonjour ServerError503!
Juste une petite parenthèse.
Bien que les systèmes chaotiques ne soient pas prévisibles, il me semble qu'ils sont tout de même déterministes par hypothèse. Non?
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