spin-up a écrit : 15 janv. 2021, 21:06
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Speculation un poil hollywoodiennes.
Pour commencer le principal problème des hommes en ce qui concerne les psys, c'est justement qu'ils ne vont pas les voir.
Quand on peut prédire, ce n'est plus hollywoodiens. C'est beaucoup plus que ça.
J'ai eu la malchance de pouvoir vérifier! Le truc principale, pour les psychiatres, est de ne pas parler de l'effet de dépendance que crée les drogues et de faire croire au patient qu'il est totalement responsable de sa situation.
Je parle en connaissance de cause. Ma chance provient du fait qu'on m'avait expliqué la recette sociale pour détruire en toute légalité un individu.
Initialement, je pensais comme toi, je ne croyais pas à ce genre de complot social. Jusqu’à ce que ce soit
moi la cible.
L'ami de mon frère est un enquêteur de police qui parle beaucoup. Il m'avait raconté un complot incroyable. Il m'avait dit qu'avec l'aide des psychiatres, des religieux et de la conjointe de n'importe quel homme, il était possible de détruire totalement un individu.
Je ne l'ai pas cru, évidemment. Je lui ai dis clairement qu'il racontait une légende urbaine et que je pensais qu'il me niaisait. Nous avions pris de l'alcool, et il m'a raconté les indices que les enquêteurs devaient surveiller. Les policiers doivent se fier à un protocole, pour éviter de ne pas accuser n'importe qui. Quand les indices sont tous assemblés contre l'individu cible, honnêtes ou non, les policiers-enquêteurs, les avocats, les juges n'y peuvent rien. Ils appliqueront la jurisprudence.
Mais quand les protocoles sont connus par des perverses narcissiques, il devient facile, pour ces déviants, de rendre «fou» leur conjoint avec l'aide de psychiatres et d'avocats dépravés.
Et puisque j'avais été débriefé, je pouvais prévoir ce qui s'en venait, les manigances étaient évidentes. Je pensais m'en sortir facilement, mais j'avais mal évalué la puissance du vice. Il me fallait trouver le médicament qui rendait fou. J'ai réalisé qu'il y en a une quantité énorme de drogues qui créent ce phénomène. Peu importe, c'est l'arrêt soudain d'une de leur drogues qui crée la folie.
Je connaissais les arnaques, et si je disais que je vivais une grosse arnaque, je savais que ça ne passerait pas, on me traiterait de parano, et je confirmerais leur croyance. Donc, je me suis demandé comment un homme, qui ne connait pas ces arnaques, réagirait. Pour m'en sortir, j'ai agi de cette façon.
Je m'en suis sorti et mon espoir était d'accuser la psychiatre de complotisme. Il y a un mur, un énorme mur qui les protège.
J’ai la "conviction intime'' qu’on peut critiquer et changer des ''convictions intimes''.