Re: Discussions: médecine scientifique VS médecines alternatives
Publié : 19 févr. 2016, 19:52
Indispensable ? non !LoutredeMer a écrit :L' ad hominem est il indispensable?Psyricien a écrit : Vous devez être un beau charlatant si vous garantissez à vospigeonspatient une unicité du diagnostique pour chaque ensemble de symptômes ...
Mais plus marrant assurément


Ou simplement j'exprime des évidences sans prendre mon interlocuteur "par la main" pour faire "passer la pilule". Il y a tellement d'explications à mon "style", je vous laisse choisir celle qui vous sied le mieuxkinkalou a écrit :Psyciricien, vous êtes malhonnête ou provocateur, ou les 2

Une discipline n'est pas un raisonnement ni une méthode, c'est un groupe social. Personne ne dit qu'il existe une géologie scientifique, une thermodynamique scientifique ou une mécanique scientifique, parce que ce n'est pas utile.
bon vous ne répondez pas à mon objection ... dommage

Parle t-on de raisonnements scientifique ? Oui ou non ...
A vous en croire, le besoin de mettre l'adjectif impliquerais que le raisonnement scientifique n'existe pas !
Je ni peux rien si votre propos conduit à de tels hérésies (choix de mot volontairement provoquant)

Oui oui , parce que vous voulez défendre votre obédience ... ça avait échappé à quelqu'un ?La précision dans notre cas est suspecte. Depuis le début du débat, je m'oppose à l'idée qu'un groupe social fasse l'objet d'une identification à une méthode !
On a bien compris de quoi il retournait

Mettons !
On avance !
Cette confusion semble votre, merci de ne pas en accuser vos interlocuteurs !Mais alors spécifions les pratiques qui dans ce groupe social comme dans d'autres sont effectivement scientifiques, car la confusion entre le groupe social et la nature scientifique de ses actes embrouille le débat.
Je serait curieux de voir un développement de cette assertion
Ca réhabilite bon nombre de praticiens non règlementés !

En l'absence d'une certaine réglementation, la notion de science ne fait pas grand sens.
Aussi qualifier de "scientifique" des pratiques "non-réglementées" relève de la fraude ... car le critère de scientificité s'obtient par l'existence d'un certain contrôle

Approche hyper-critique. Faut-il que je détail l'erreur logique sous-jacente ?Ici, vous avez malhonnêtement tronqué ma citation. Dans la réalité, un médecin est parfois amené à donner plusieurs molécules, dont l'association n'a jamais été expérimentée ni validée. Je dis simplement, que comme à d'autres occasions, le médecin n'agit pas en scientifique, ce qui est bien normal.
Cette approche confine à la négation de l'existence de la science !
Les connaissances scientifique sont toutes testées en conditions isolés (c'est même un critère cruciale pour étudier un effet donné ... l'isoler). les tests "d'interférences" sont rares car tellement nombreux à tester, que l'on ne teste que ceux qui semble avoir un minimum d'écho dans le réel.
Fuite, somme toute assez classique. Le recours à l'hyper-critique ne vous sauvera pas iciC'est à dire que le mélange est la norme en médecine de cabinet, et c'est une rareté expérimentale. Répondez donc à ma question, et trouvez-moi cette foutue étude !

Non testables ? Vous entendez donc que cela échappe à la méthodologie scientifique ?Là je pense que vous le faites exprès. Je dis justement que la réalité ne met pas en oeuvre l'expérience, puisqu'elle applique constamment des associations non testables.
Je ne souscrit pas. On vient de franchir un pas de plus ici ... mais je vais vous laissez le bénéfice du doute, et considérer qu'il s'agit d'une simple erreur de formulation.
Une des forces de la médecine, est l'élaboration de signes "cliniques" qui permettent l'induction.
Ce qui ne change rien au concept d'induction ... ci-utile fusse t-il.
Effectivement une conséquence peut découler de plusieurs causes dans certains modèles théoriques.
Heureux de voir que vous revenez sur votre propos, c'est un début encourageant !
On a le choix de sa modélisation. Les systèmes à nombreuses causes sont inexploitables.
Donc on ferme les yeux, on met la tête dans le sable et on attend que ça passe ? Merci de vos lumière si "éclairantes".
Il vaut mieux chercher à établir une causalité unique, et à mettre les autres facteurs en "circonstances".
Et quand c'est impossible ? (la plupart du temps en fait) On fait quoi ? On invoque des entité imaginaires pour qu'elles viennent nous donner la réponse ?
J'y peux rien si c'est ce que votre propos suscitePeut-on en discuter sans ironie déplacée ?


Heureux que vous en conveniezOk !

My pleasure ... la troncation de la citation n'est d'ailleurs pas innocente
Vous commencez à me gonfler avec votre auto-satisfaction.

Ou que j'ai pris froids (who knows ?) ... il semble donc que votre assertion comme quoi le lien "effet--cause" serait unique ne tienne pasSi vous avez le nez qui coule, c'est sûrement parce que vous avez pris un coup de poing dedans !

Ravis que vous en conveniez.
[/quote][/quote]On peut apaiser le débat ? Vous êtes un sceptique du Québec plein de certitudes !
Je suis beaucoup de chose ... mais un "Sceptique du Québec" ? Non

Plein de certitudes ? non plus


Tchuss, xoxo
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