Re: 11 Septembre 2001
Publié : 25 juin 2009, 03:12
Il était pas assez chaotique à votre goût?Ekosys a écrit :La résistance structurelle de l’immeuble aurait dû ralentir la chute et rende le tout chaotique
Il était pas assez chaotique à votre goût?Ekosys a écrit :La résistance structurelle de l’immeuble aurait dû ralentir la chute et rende le tout chaotique
Bon, vous insistez pour démontrer que vous préférez perdre du temps à lancer des "red herrings", plutôt que de "la fermer" puisque vous n'avez rien à dire au sujet du 9/11:Sayajin a écrit :J-F à quoi bon débattre en sachant pertinament que vous et beaucoup de vos super copains ne changeront de toute façon jamais de position par pure et simple fierté?
http://www.youtube.com/watch?v=r2Dnjw8tVVwGrossbouffe a écrit :Moi je ne vois pas des planchers, mais bien le haut en entier du batiment qui lâche.
http://www.youtube.com/watch?v=RxKtyrS4uzA
Et d'où tenez-vous vos suppositions?Si les planchers avaient lâchés en premier pour entrainer la chute de la tour, il y aurait eu éjection de débris avant ce phénomène d'entrainement vers le bas, or il n'y en pas eu. On s'entend qu'un étage de plancher qui lâche ça ne se fait pas discrètement. D'ailleurs, vous le dites vous mêmes, les plumets sont causés par l'effondrement des planchers.
Tous les buildings doivent suivre les codes de bâtimentDonc ProfDeScience, tu penses qu'ils auraient construit une tour qui devait résister à un impact horizontal et ce en utilisant des poutres qui travaillent surtout en compression avec une contrainte uniforme, ça manque de logique.
Les État-Unis sont un grand territoire.Le poids des avion n'étaient pas à leur maximum parce qu'ils allaient à Los Angeles, c'était un vol transcontinental et pas transatlantique ni transpacifique.
D'où tenez-vous cela?Ils effectuaient alors environ la moitié du trajet maximal permis par ce modèle d'avion,
Et si c'était autre chose que de l'acier?Je cite Wikipédia, qui en général et prudent pour les trucs zozo, qui dit qu'en dessous de WTC 1,2 et 7 des marres d'acier fondu ont été retrouvées. C'est bien connu, le kérosène fait littéralement fondre l'acier.
La première guerre était contre les Talibans, qui hébergeaient et soutenaient Al Qaeda, les responsables du 11 septembre, et la guerre en Irak était pour enlever un dangereux régime qui se moquait des inspecteurs internationaux et en faisait payer le prix à sa population.Ces deux conneries de guerres, en fait, ont été menée pour différentes raisons(armes de destruction massive inexistantes, anthrax posté par un étasunien(bel outil de propagande)).
Tous les immeubles, peu importe leur structure, sont fait pour résister à la compression bien plus qu'à la distorsion. La plupart du temps, seul le phénomène de résonnante du à l'oscillation que crée le vent est réellement pris en compte pour la distortion. L'impact d'un avion crée une oscillation bien plus forte que le vent et même avec toutes les bonnes volontés du monde, il est impossible de la canaliser correctement dans une structure aussi uniforme et rectiligne.Donc ProfDeScience, tu penses qu'ils auraient construit une tour qui devait résister à un impact horizontal et ce en utilisant des poutres qui travaillent surtout en compression avec une contrainte uniforme, ça manque de logique.
Les compagnies prévoient toujours plus de carburant qu'il n'est nécéssaire (mesure de sécurité obligatoire) et le surcoût est d'ailleurs prévu sur le prix des billets, au même titre que les différentes taxes sur le pétrole. La seule chose qui n'est pas prévu c'est le prix du pétrole lui même, si bien que beaucoup de compagnie essaie d'obtenir un prix prévu à l'avance pour une durée donnée (ce qui comporte un risque en cas de baisse du prix en dessous de celui prévu...air france en à récemment fait l'expérience alors que quelque mois auparavant, le prix fixé avec son fournisseur était très en dessous des pics atteint par le baril en bourse.)Le poids des avion n'étaient pas à leur maximum parce qu'ils allaient à Los Angeles, c'était un vol transcontinental et pas transatlantique ni transpacifique. Ils effectuaient alors environ la moitié du trajet maximal permis par ce modèle d'avion, donc à moitié chargé de carburant.
Les explosifs (même le thermite) non plus, n'aurait pas fait fondre de quoi faire des flaques, à moins d'en utilisé un nombre tellement important que l'on aurait nécessairement vu immédiatement les explosion. L'utilisation d'un explosif de type thermite aurait sectionné les poutres, certe, mais je ne vois pas par quel miracle le peu d'acier fondu produit se serait désolidarisé des poutres à chaque étage pour se rassembler en marre.Je cite Wikipédia, qui en général et prudent pour les trucs zozo, qui dit qu'en dessous de WTC 1,2 et 7 des marres d'acier fondu ont été retrouvées. C'est bien connu, le kérosène fait littéralement fondre l'acier.
l'enquête sur les fonds de terroriste est plutôt du ressort des services secrets, donc le silence de la commission n'a rien d'étonnant. C'est même d'ailleurs plutôt en défaveur du complot, parce qu'avec un complot de cet envergure, l'administration pouvait bien aussi trafiquer le rapport pour faire croire à des fonds venant d'un pays à envahir, non?Ces deux conneries de guerres, en fait, ont été menée pour différentes raisons(armes de destruction massive inexistantes, anthrax posté par un étasunien(bel outil de propagande)) qui ne se tiennent pas parce que la commission du onze septembre a jugé inutile d'enquêter sur la provenance des fonds utilisés par les terroristes.
Bien dit BeetleJuice !BeetleJuice a écrit :C'est le problème de nos sociétés d'images. On est tellement habitué à tout avoir par image qu'il nous faut du sensationnel pour croire et si en plus, le sensationnel ne correspond pas à nos préjugés sur une question (que l'on soit compétent ou pas) c'est qu'il est suspect. L'image, dans notre société, on se l'est tellement approprié comme vecteur de vérité, que si elle ne semble pas montrer la vérité qu'on attend c'est que les faits mentent (c'est avec ce genre de comportement que la rumeur du moon hoax persiste, justement parce que les clichés ne correspondent pas à ce que le péquin moyen s'était imaginé).
Conséquemment, nous sommes alors portés à inventer des « histoires convaincantes », de manière impulsive sans vraiment investiguer[color=#FF0000]*[/color]Wikipedia :cartes heuristiques a écrit :Des informations répétées par plusieurs sources ou à plusieurs reprises acquièrent plus facilement une représentation mentale.
C'est ainsi qu'une rumeur peut se répandre.
C'est trop dur de regarder de nouveau ce qui s'est passé entre les impacts des avions et leur effondrement ?Je cite Wikipédia, qui en général et prudent pour les trucs zozo, qui dit qu'en dessous de WTC 1,2 et 7 des marres d'acier fondu ont été retrouvées. C'est bien connu, le kérosène fait littéralement fondre l'acier.
Ce n'est pas ce que je pense qui est important, mais les faits. Il n'y a aucun manque de logique. La principale contrainte est en compression et les poutres sont conçues en conséquence. C'est ça, la logique.Grossbouffe a écrit :
Donc ProfDeScience, tu penses qu'ils auraient construit une tour qui devait résister à un impact horizontal et ce en utilisant des poutres qui travaillent surtout en compression avec une contrainte uniforme, ça manque de logique.
Le poids des avion n'étaient pas à leur maximum parce qu'ils allaient à Los Angeles, c'était un vol transcontinental et pas transatlantique ni transpacifique. Ils effectuaient alors environ la moitié du trajet maximal permis par ce modèle d'avion, donc à moitié chargé de carburant. Ils ne les auraient certainement pas remplis, ça leur aurait couté plus cher pour rien. Juste en passant, en fait ça ne change pas grand chose.
Elles ont eu un comportement remarquable aussi en tombant "droit" plutôt qu'en se renversant, cela a certainement limité le nombre de morts. C'est tout au crédit des concepteurs, même s'ils n'ont probablement pas pensé à un tel scénario. Malheureusement, cette chute "droite" est grandement ce qui a titillé les conspirozozos de tout poil qui pensent de manière analogique ("ça ressemble à une démolition contrôlée, donc c'est une démolition contrôlée").LeProfdeSciences a écrit :4- On peut dès lors considérer que les tours ont eu un comportement remarquable, et non pas un comportement suspect, en résistant aussi longtemps
mais qu'ils sont bêtes!Jean-Francois a écrit : Malheureusement, cette chute "droite" est grandement ce qui a titillé les conspirozozos de tout poil qui pensent de manière analogique ("ça ressemble à une démolition contrôlée, donc c'est une démolition contrôlée").
De s'obstiner à dire que si c'est similaire c'est forcément la même chose, certainement. A mon avis, puisqu'ils n'ont pas été foutus de trouver le moindre indice solide à l'effet que les tours ont été minées, ceux qui n'ont toujours pas changé de disque sont plutôt bêtes.richard a écrit :mais qu'ils sont bêtes!Jean-Francois a écrit : Malheureusement, cette chute "droite" est grandement ce qui a titillé les conspirozozos de tout poil qui pensent de manière analogique ("ça ressemble à une démolition contrôlée, donc c'est une démolition contrôlée").
Je pense que la dévastation aurait été nettement plus grande si les hauts des tours étaient tombés de côté. Peut-être qu'il y aurait quelques survivants dans les tours elles-mêmes, mais il y aurait certainement eu des morts de plus dans le voisinnage. Enfin, c'est très spéculatif.Lambert85 a écrit :Le nombre de morts n'était pas si limité que ça
T'as tout compris.ça va aussi vite qu'une démolition contrôlée, il y a des explosions comme dans une démolition contrôlée, les poussières et les gravats sont les mêmes que dans une démolition contrôlée, mais ce n'est pas une démolition contrôlée
C'est factuellement faux. Mais même si c'était vrai: et puis? Il y a quelque chose qui devrait empêcher des buildings aussi massifs de s'effondrer rapidement une fois fragilisés? Vous avez un précédent de démolition - contrôlée ou non - d'un bâtiment de cette taille qui puisse servir à établir une comparaison?richard a écrit :ça va aussi vite qu'une démolition contrôlée
Il y a des personnes qui ont entendu "comme des bruits" d'explosion mais aucune explosion n'est visible et il est difficile de différencier à l'oreille, dans une situation plutôt chaotique, une explosion d'un fracas dû à l'effondrement de pièces lourdes.il y a des explosions comme dans une démolition contrôlée
A mon avis, c'est un des arguments les plus crétins lancés par les conspirozozos: qu'est-ce qui caractériserait de manière unique des "poussières et gravas de démolition contrôlée"*? Ce que vos propos démontrent surtout, c'est que vous ne savez pas, ou ne voulez pas tenir compte du fait qu'une démolition contrôlée compte beaucoup sur la gravité pour que tout s'écroule exactement comme lors d'un effondrement. (Vous pensez qu'une démolition contrôlée consiste à tout "atomiser"?) Sauf que:les poussières et les gravats sont les mêmes que dans une démolition contrôlée
mais ce n'est pas une démolition contrôlée
Je pense que vous seriez incapable d'expliquer cette métaphore... parce que si vous y réfléchissiez un peu, vous verrez qu'elle ne veut pas dire grand chose.c'est du WTC dry!
Une spirale de crème, flottant dans une tasse de café, tourne comme une galaxie. Comme une galaxie, ça a des bras clairs et des bras foncés. Au niveau microscopique, c'est même composé d'une myriade de petits "systèmes solaires atomiques"...ça va aussi vite qu'une démolition contrôlée, il y a des explosions comme dans une démolition contrôlée, les poussières et les gravats sont les mêmes que dans une démolition contrôlée, mais ce n'est pas une démolition contrôlée
Je me souviens d'un reportage présenté lors de l'émission Découverte (Radio-Canada) quelques temps après les attentats. Un des ingénieurs interviewés disait que les structures très hautes étaient conçues de manière à s'effondrer sur elles-mêmes en cas de catastrophe, pour limiter les dégâts environnant.Jean-Francois a écrit :Elles ont eu un comportement remarquable aussi en tombant "droit" plutôt qu'en se renversant, cela a certainement limité le nombre de morts. C'est tout au crédit des concepteurs, même s'ils n'ont probablement pas pensé à un tel scénario. Malheureusement, cette chute "droite" est grandement ce qui a titillé les conspirozozos de tout poil qui pensent de manière analogique ("ça ressemble à une démolition contrôlée, donc c'est une démolition contrôlée").LeProfdeSciences a écrit :4- On peut dès lors considérer que les tours ont eu un comportement remarquable, et non pas un comportement suspect, en résistant aussi longtemps
Jean-François
mais nous sommes entièrement d'accord mon cher Denis, c'est comme pour le canada dry "ça a la couleur de l'alcool, le goût de l'alcool... mais ce n'est pas de l'alcool".Denis a écrit :Pourtant, ce n'est pas une galaxie.
J'espère que ton "entièrement" recouvre ça.mais nous sommes entièrement d'accord mon cher Denis
richard a écrit :ça va aussi vite qu'une démolition contrôlée, il y a des explosions comme dans une démolition contrôlée, les poussières et les gravats sont les mêmes que dans une démolition contrôlée, mais ce n'est pas une démolition contrôlée, c'est du WTC dry!
Le BPAT sont ceux qui ont sorti la thèse du gâteau.L'évaluation de ce travail est rendu impossible par le refus du NIST de publier les simulations des effondrements que demandent des ingénieurs civils indépendants[63]. Cependant, la modélisation des structures internes est affectée des mêmes insuffisances que celles qui avaient été constatées pour les travaux du BPAT (ainsi, le modèle montre les 47 colonnes centrales comme identiques alors que 16 d'entre elles étaient doubles des autres) et les simulations des impacts utilisent pour les deux tours le même modèle de structure interne, conduisant à l'obtention de dégâts plus importants pour WTC2 (niveau 80) que pour WTC1 (niveau 95). Mais surtout, le NIST n'a pas cherché à rattacher ces simulations aux résultats des tests qu'il avait fait réaliser sur la tenue des planchers (qui n'ont manifesté qu'une flèche de 10 cm), sur la résistance au feu de la structure centrale sous charge maximale par le laboratoire Underwriters (quatre essais durant 2 heures sans effet notable[22]), sur la tenue de l'isolant thermique sous l'impact de balles d'armes à feu (pas de décrochage), ni des analyses et calculs relatifs aux températures atteintes, au plus de 500°C).Enfin, la faiblesse intrinsèque de la méthode choisie par le NIST reste la prise en compte de la seule section atteinte par les impacts, évitant ainsi la problématique de la non résistance des structures porteuses, notamment interne, au-dessous des étages frappés par les avions. cette problématique est écartée avec le postulat selon lequel « une fois engagée, la chute des étages supérieurs ne pouvait plus être interrompue »(p.144-145).
Je dois être trop stupide pour comprendre.Analysés par le NIST, les échantillons de poutres externes des étages impactés indiquent pour la plupart une exposition à une température maximale de 250 °C, une faisant exception avec une température supérieure, mais en dessous de 600 °C. Les calculs réalisés par cet organisme ont indiqué des températures maximales d'environ 500 °C[23]. Ces résultats sont cohérents avec les données d'expérimentations réalisées par l'industrie métallurgique où des feux d'hydrocarbures dans des parkings n'ont pas été capables d'échauffer les poutres d'acier non protégées à plus de 360 °C.
C'est bien connus pour ce genre de structures on engage des ingénieurs sous-qualifiés à rabais pour que ça coûte moins cher. Comme ça, si jamais ça s'effondre on va pouvoir dire que c'est la faute du mauvais ingénieur.Frank Demartini, superviseur du chantier de construction, qui avait ses bureaux au 88e étage de la tour Nord et y périt suite à sa décision d'aider à l'évacuation des occupants piégés, avait précisé, lors d'un entretien du 25 janvier 2001, que les tours pouvaient probablement soutenir plusieurs impacts d'avions de ligne grâce à leur conception. Selon ces ingénieurs, toutes les colonnes extérieures d'un côté de l'immeuble, ainsi que celles proches des coins adjacents, pouvaient même être sectionnées que cela n'empêcherait pas la structure en « tube » de continuer à remplir parfaitement sa fonction.
Méchant wikipédia conspirozozo qui tente de faire croire qu'il ne l'est pas en dénonçant les théories du complot.Une caractéristique commune aux trois effondrements est qu'ils se firent, selon les indications données par la FAQ no 6 du NIST, le rapport de la FEMA ou les calculs du professeur Bazant (11-12 s, 9-10 s et 6,3-6,5 s respectivement pour les tours WTC1, WTC2 et WTC7), en un temps légèrement supérieur à celui d'une chute dans le vide (8-9 s, 7,5-9 s et 6 s), indiquant une absence de résistance des structures porteuses centrales, ce que l'ingénieur expert en structures béton Bazant exprime en parlant de la chute des étages supérieurs dans un tube vide[35] [réf. incomplète]. Une autre est la production de jets de gaz et poussières jaillissant des façades, au moins dix étages au-dessous du front de destruction pour les jumelles, dans les étages pour WTC7.
Probablement à cause du deuxième élément que j'ai cité, mais vous ça ne vous arrête pas. D'ailleurs la thèse du décrochage des planchers est principalement soutenue par la thèse des incendies, mais si la thèse des incendies est tombées à l'eau..... que reste-t-il.La thèse de l'acier qui fond [modifier]
Dès le 11 septembre, les médias présentaient les explications d'experts, la plupart des ingénieurs de structures, professeurs d'université, tels que Hyman Brown[53] ou Richerd Ebeltoft[54] pour qui les incendies, ayant dégagé une chaleur intense (proche de 1 500 °C), avaient fait fondre l'acier des structures. Le lendemain, un article du New Scientist soutenait une thèse identique[55]. Cette explication par le « feu infernal », reprise un mois plus tard dans le Scientific American[56], bien qu'ayant bénéficié de ces cautions, disparut du débat avec la publication d'études ultérieures.
C'est déjà vraiment con et suspect de ne pas vouloir les publier, alors de s'y fier ressemble à un léger manque de rigueur ou à un parti pris.Puis, le magazine Scientific American a fait paraître le 9 octobre un article exploitant les résultats d'une simulation effectuée par des ingénieurs des structures du MIT, « Quand les tours jumelles s'effondrèrent ». Le paramètre essentiel qui sous-tend les interventions de plusieurs experts en structures aurait été l'intensité des incendies qui, avec leur durée (hypothèse de l'accumulation de la chaleur dans les masses métalliques), aurait fini par faire perdre sa résistance à la structure centrale de soutien. Le modèle de simulation utilisé n'a cependant pas été publié, empêchant ainsi son évaluation.
Ce genre de phrase ajoutée, sans référence, mise en ligne par n'importe qui. Tiens, si j'ai du temps à perdre, je pense modifier les articles de Wiki pour les rendre plus neutres.Enfin, la faiblesse intrinsèque de la méthode choisie par le NIST reste la prise en compte de la seule section atteinte par les impacts, évitant ainsi la problématique de la non résistance des structures porteuses, notamment interne, au-dessous des étages frappés par les avions. cette problématique est écartée avec le postulat selon lequel « une fois engagée, la chute des étages supérieurs ne pouvait plus être interrompue »(p.144-145).