Forum Sceptique

Au contraire de ce que prétendent certains, le phénomène wokiste qui découle directement de la Théorie postmoderne n’est ni inexistant, ni anodin. On le retrouve aujourd’hui dans tous les endroits stratégiques, l’université en premier lieu. Dans ce fourre-tout appelé “Justice sociale”, les théoriciens woke établissent des “vérités” péremptoires et pseudo-scientifiques sur le « privilège blanc », le « racisme systémique », la « culture du viol », etc., rendant ainsi la déconstruction du monde occidental non seulement souhaitable mais, selon eux, absolument nécessaire à l’émancipation de tous les « opprimés ». Le wokisme est en réalité un appareil révolutionnaire qui permet à des minorités de tyranniser et de s’imposer dans les lieux de pouvoir et de savoir : « Il faut avoir un peu de cran pour s’opposer à une idéologie aussi puissante. » Les réactions outrées de certains de nos universitaires ou journalistes face à la dénonciation des dérives wokistes sont là pour en témoigner. L’idéologie wokiste, abstraite et totalitaire, ne parvient pas « à d’autres conclusions que les affirmations simplistes voulant que les hommes blancs hétérosexuels soient injustement privilégiés, qu’ils doivent se repentir et finalement laisser la place aux autres. »

L’actrice Michaela Jaé Rodriguez est devenue la première femme transgenre noire (latina plutôt) de l’histoire à remporter un Golden Globe. L’actrice de 31 ans a été nommée meilleure actrice dans une série dramatique pour son rôle de Blanca Rodriguez-Evangelista dans la série à succès ‘Pose’, qui se concentre sur la culture du drag ball des années 1980.

Une comédienne juive britanique, Maureen Lipman, reproche que l'on ai donné le rôle Golda Meir à un non-juive prétextant que «maquiller une actrice non juive pour interpréter un personnage juif, c’est-à-dire faire un « Jewface », est l’équivalent de faire un « Blackface » : les deux pratiques seraient, selon elle, profondément racistes. »

A lire ça, on peut se dire que quand il faudra absolument un con pour jouer un rôle de con, on n'aura pas de problème de casting.

Lambert85 a écrit : 14 janv. 2022, 09:27 Que penser de la dégradation d'une statue de l'artiste Eric Gill (mort en 1940) sur la facade de la BBC sous prétexte que l'artiste avait écrit dans son journal intime qu'il avait abusé de ses filles et de ses soeurs (et de son chien).
https://www.youtube.com/watch?v=6Hv0wqWUQws

Faites gaffe à la Joconde...

‘People who menstruate.’ I’m sure there used to be a word for those people. Someone help me out. Wumben? Wimpund? Woomud? Opinion: Creating a more equal post-COVID-19 world for people who menstruate.

"Les gens qui ont leurs règles. Je suis sûr qu'il y avait un mot pour ces personnes. Que quelqu'un m'aide. Wumben ? Wimpund ? Woomud ? Opinion : Créer un monde post-COVID-19 plus égalitaire pour les personnes qui ont leurs règles.

https://twitter.com/jk_rowling/status/1 ... e-n1227071

«Harry Potter 20e anniversaire»
Ensuite, il y a l’éléphant dans la pièce. L’absence quasi totale de Celle-dont-on-ne-doit-pas-prononcer-le-nom : J.K. Rowling, devenue persona non grata dans son propre univers à cause de propos jugés transphobes publiés en 2020 sur Twitter — à la suite desquels Emma Watson, Daniel Radcliffe et Rupert Grint (des acteurs du film), entre autres, l’ont désavouée.
https://www.ledevoir.com/culture/ecrans ... e-magiques

spin-up a écrit : 14 janv. 2022, 13:20 Et il y a pire, Tolkien n'a pas été invité aux réunions du Seigneur des anneaux, alors qu'il avait même pas de compte twitter.
Ils vont trop loin ces wokes.

Academics and non-academics alike interested in J.R.R. Tolkien’s high-fantasy world will read papers at the conference next week with titles such as “Gondor in Transition: A Brief Introduction to Transgender Realities in The Lord of the Rings” and “Pardoning Saruman?: The Queer in Tolkien’s The Lord of the Rings.”

Les universitaires et les non-universitaires qui s'intéressent à l'univers de haute-fantaisie de J.R.R. Tolkien liront la semaine prochaine, lors de la conférence, des articles portant des titres tels que Gondor in Transition : Une brève introduction aux réalités transgenres dans le seigneur des anneaux et le pardon à Saroumane : le queer dans le seigneur des anneaux de Tolkien.
https://nypost.com/2021/06/26/j-r-r-tol ... ity-focus/

Lambert85 a écrit : 14 janv. 2022, 13:40 Qu'est-ce que je disais !

Christopher demonstrated however, making use of his extensive knowledge of Tolkien’s Christian Neoplatonism and Alain de Lille, how many of Saruman’s faults are associated with concepts traditionally surrounding sinful practices, first and foremost sodomy. This then constitutes Saruman’s queerness and no suggestion was made that Tolkien would have wanted to pardon him for that.

Christopher a cependant démontré, en utilisant sa connaissance approfondie du néoplatonisme chrétien de Tolkien et d'Alain de Lille, comment de nombreux défauts de Saroumane sont associés à des concepts entourant traditionnellement les pratiques de péché, en premier lieu la sodomie. C'est ce qui constitue la nature homosexuelle de Saroumane et il n'a pas été suggéré que Tolkien aurait voulu le pardonner pour cela.
https://thetolkienist.com/2021/07/10/to ... ar-report/

Lambert85 a écrit : 14 janv. 2022, 09:27 Que penser de la dégradation d'une statue de l'artiste Eric Gill (mort en 1940) sur la facade de la BBC sous prétexte que l'artiste avait écrit dans son journal intime qu'il avait abusé de ses filles et de ses soeurs (et de son chien).
https://www.youtube.com/watch?v=6Hv0wqWUQws

Faites gaffe à la Joconde...

Kraepelin a écrit : 14 janv. 2022, 13:53 Jutra aimait les garçons puberts

thewild a écrit : 14 janv. 2022, 13:58

Kraepelin a écrit : 14 janv. 2022, 13:53 Jutra aimait les garçons puberts

prépubères ?

Kraepelin a écrit : 14 janv. 2022, 13:53 Ici, au Québec, nous avons un Gala annuel du cinéma. Jusqu'en 2016, le Gala et ses prix étaient appelés des prix "Jutra" en l'honneur du cinéaste québécois Claude Jutra, un pionnier. En 2016, suite à la parution d'une biographie qui rapportait que Jutra aimait les garçons puberts, le scandale éclate. Une des victimes va même à la télé dénoncer le défunt cinéaste. Les villes retirent le nom de Jutra de la toponymie de leurs rues, les institutions rebâtissent leurs bâtiments et finalement le gala change le nom des prix du cinéma. Comme les cinéastes québécois ont presque tous des squelettes dans le placards, Québec cinéma ne prend pas de chances et rebaptise le prix, "prix Iris".

Lambert85 a écrit : 14 janv. 2022, 13:40 Qu'est-ce que je disais !

Lambert85 a écrit : 14 janv. 2022, 14:09
L'école Boswells de Chelmsford dans l'Essex avait donné le nom de J.K.Rowling à un de ses batiments, elle l'a renommé Kelly Holmes, du nom d'une championne olympique anoblie. Pas de bol, la championne avait critiqué le fait que des athlètes trans participent à des compétitions féminines et a depuis soutenu sa prédécesseur(e) ! C'est dur d'être woke !
https://www.dailymail.co.uk/news/articl ... olmes.html

La nageuse transgenre de l’Université de Pennsylvanie, Lia Thomas, a été battue par une autre nageuse transgenre.
Lia Thomas de l’Université de Pennsylvanie avait provoqué la controverse pour avoir battu plusieurs records lors de compétitions de natation féminines et éliminé des adversaires.
Mais lors d’une rencontre de natation de l’Ivy League samedi, un Yalie, Iszac Henig, a battu Thomas dans les courses féminines de 100 et 400 mètres nage libre, a rapporté le Daily Mail.
Henig, qui passe de femme à homme, a établi un record pour le 50 yards nage libre féminin, a indiqué le média.
Henig a pu concourir dans l’équipe féminine parce qu’elle n’avait pas encore commencé le traitement à la testostérone, selon un article de juin dans le New York Times..

Kraepelin a écrit : 14 janv. 2022, 14:03

thewild a écrit : 14 janv. 2022, 13:58

Kraepelin a écrit : 14 janv. 2022, 13:53 Jutra aimait les garçons puberts

prépubères ?

14 -15 ans, disait on. Plus jeunes a aussi été suggéré, mais je ne suis pas sûr que ça ait été documenté. Va savoir avec ces artistes...

Kraepelin a écrit : 14 janv. 2022, 14:18 Les exagérations d'hier, qui nous faisaient bien rires et que nous n'aurions jamais cru possibles, sont devenues les normes d'aujourd'hui.