@jean7,
Je vous renvois lire mes propos, toutes les réponses y sont déjà:
--> La morale est un compromis sociale, ce n'est pas une grandeur objective, et ce n'est pas amalgamable à la souffrance physique

(les cultes de la souffrances ça existes sous ne multiple forme*).
--> Les grandes religion monothéistes (et surtout les cathos) pratiquent un culte positif de la souffrance (ne vous en déplaise).
--> Affranchi d'une morale "objective" révélée, l'homme est en mesure de s'approprier la morale pour en faire une chose intelligente et évolutive qui va dans le sens des inspirations des membres d'une société ... c'est ainsi qu'évolue, encore aujourd'hui, notre morale (les exemples récent pullulent ... et les cathos intégristes descendent dans les rues bible en mains pour s'insurger de cette évolution).
*Sacrifice humain, SM, vœux de de chasteté et de pauvreté, ...
Au demeurant, vos utilisation malhabile de "ça j'en sais rien", pour ne pas avoir à faire face à une réalité m'ont beaucoup amusé ... vraiment !
Et au passage, nous sommes dans un état laïque, issue d'une culture avec un passé cathos ... notre pays n'est pas cathos, ça fait un moment déjà

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Allons causer avec les autres,
Salutation,
unptitgab a écrit :Salut Jean, certes j'ai la chance d'avoir des parents incroyants et donc de n'avoir pas subit comme eux l'outrage du baptême, pour laver le crime d'être né, ni le plus grand outrage encore de la baffe de l'évêque pour la confirmation et c'est peut-être pour cela que contrairement à toi je vois un réel culte de la souffrance et la condamnation de ce qui fait du bien, donne du plaisir dans les trois grandes religions monothéistes toutes branches confondues et en particulier le catholicisme, pénitence, repentir, adoration des saints qui en ont tous bien chier sinon ils ne pourraient pas l'être. Alors je dois avouer que je comprends mal que vous fassiez un lien quasi systématique entre morale et sensation corporelle, la morale catholique, par exemple, étant en contradiction avec ceci, l'hédonisme n'est pas franchement ce qui est promulgué dans les rares messes auxquelles j'ai eu la malheur d'assister.
Il ne l'admettra pas

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Dissonance cognitive toussa toussa.
Il a besoin que la morale soit "objective", afin de défendre ses idéologies pour le moins foireuses.
En même temps il nous dit que selon lui l'Homme n'est pas prêt à vivre sans religion

, il devrait consulter les chiffre de la non-croyance en France ... les non-croyant seront bientôt devant les cathos

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Sinon, appliquons donc ce principe "la morale découle des sensation physiques" ... orgie générale !!!!
A plus,
Ah oui ... j'oubliais l'autre ...
Dash a écrit :
Voyez, le petit Dash il croit qu’on est d’accord sur le fond ... alors qu’en fait non, on a des points de vue antagonistes.
En effet, en lisant votre échange à tous les deux, l’un de vous (
Psyricien) défend le fait que la morale serait basée sur « rien », sinon que des idées abstraites alors que l’autre prétend qu’elle se base forcément sur des observations concrètes.
Zut ... le grand interpréteur n'a pas compris.
La morale est basée sur un compromis sociale ! Ce n'est pas "rien" (sinon merci de me citer), c'est le fondement même de la société, et ce pourquoi elle marche.
La position de jean7 est que l'on peut amalgamer mal physique et mal au sens morale.
A trop vouloir interpréter ce que vous lisez, vous en perdez le sens ...
Et je partage la dernière vision de Jean7. La nuance étant que tous n’interprèteront pas tout à fait de la même façon ce qui est observé et que, dans l’application, face à autrui, l’on est souvent plus ou moins exigeant qu’envers soi-même (partial).
Dans votre cas vous êtes très peu exigeant envers vous en termes de cohérence. Ce syndrome se retrouve dans votre contestation maladive de ceux qui font preuve de cohérence, et font remarquer au autres quand ils en dévient

.
Bref, c'est donc forcément teinté de subjectivité — en pratique — et plus la morale se développe en un système complexe d’idées organisées, plus l’abstrait~subjectif est susceptible de s’y incorporer, de s'y greffer, mais je partage le fait — qu’à la base — toute morale prend sa source dans l’observation concrète de ce qui nous fait souffrir et, par extension ensuite, de ce qui peut donc faire souffrir les autres.
Comment expliquez vous les cultes de la souffrance alors ?
jean7 a écrit : Le répéter t’aide sans doute à le croire. As-tu considéré la difficulté naturelle qu’il y a de bâtir sur de l’intangible plutôt que sur du tangible ? Ne vois-tu pas une extrémisation dans ton point de vue ? Tu affirmes qu’il n’y a rien de tangible à la base de la morale ? Tu persiste et signe ?
C’est effectivement ce que la teneur de ses propos laisse entendre.
De grâce Dash ... cessez de vous lancer sur ce que "laisserais entendre" mes dire ... vous n'êtes pas doué pour l'exercice, tenez vous en donc à ce qui est écrit ! Vous allez voir, ça permet de ne pas fantasmer ... et de vraiment parler.
Je le redit au cas ou vous n'auriez pas saisie les dix premières fois:
La morale est un compromis sociale basée sur les inspirations des membres de la société (et par voie d'extension les objectifs que se fixe la dite société).
C'est subjectif, et ce ne peut pas être amalgamé a la souffrance physique (les cultes de la souffrance ça existent).
Et c’est précisément ce que je veux dire quand je dis que Psyricien permet de « s’égarer » en « tirant de tous les coté », mais, qu’à la fin, il va probablement prétendre, comme souvent, qu’il ne parlait pas d’autre chose que x ou y.
Retour à ce marotte favorite ... je ne m'égare pas ... bien au contraire.
Encore une fois, ce que vous semblez ne pas aimer, c'est que je ne dévie pas de mes propos, et là vous cherchez à coup de sur-interprétation a faire croire que c'est le cas ... bah non, ce n'est pas le cas ! Seulement dans votre petite tête de troll qui comprend pas ce qu'il lit.
Quand il va réaliser que ses propos laissent entendre que la morale n’est basée sur aucune observation concrète (
ce qui est impossible), il va probablement nuancer comme je viens de le faire plus haut et dire que ça n’empêche pas la subjectivité de s’introduire dans un système de pensée complexe — et qu’il ne parlait « que » de ça depuis le début —, mais il ne concédera jamais qu’il s’est emmêlé les pinceaux en cours de route (
ou qu’il a mal interprété certains propos) en formulant ses phrases de façon à laisser entendre que la morale n’était liée à rien de tangible. Il va donc, comme à son habitude, trouver une porte de sortie en tentant de ridiculiser son interlocuteur.
Donc je suis responsable de ce que VOUS voulez lire dans mes propos ? La belle affaire.
Non, je le redis, comme je n'en ai pas dévié ! La morale c'est un COMPROMIS SOCIALE, que ne comprenez vous pas ici ? Pourquoi avez vous besoin de sur-interpréter pour modifier le propos ?
Et c’est ça qui est lourd et désagréable avec lui! Il a toujours une réponse à tout et une « excuse » pour prétexter ne pas s’être trompé, emmêlé ou s’être mal exprimé.
Ce que vous percevez de la sorte, c'est juste le fait qu'avec certains je passe mon temps à re-expliquer les mêmes choses ... parce qu'ils sont trop "à la traine" pour comprendre ce qui est écrit, ils préfèrent inventer des propos qui ne sont pas les miens.
On le vois bien, vous ne me citez pas d'ailleurs ... vous parlez de choses mystérieuses que "laisserais entendre" mon propos.
Restez en à ce que j'écris, là on pourra peut-être discuter, sans que j'ai à vous prendre pour un demeuré !
Rendez vous compte Dash:
--> D'un coté vous me conspuez car je n'interprète pas positivement les propos de vos idoles (car selon vous il faudrait lire ce que vous avez envie de lire et non ce qui est écrit, sous prétexte que vous "supposez" apriori quels sont les intentions de vos interlocuteurs)
--> De l'autre, vous jouez le même jeu interprétatif avec mon propos ... mais bizarrement dans l'autre sens.
On arrive ainsi à la situation ou les propos de certains sont modifiés en "positif" et ceux d'autre en "négatif"

.
Dash, ou l'histoire d'un homme qui ne comprend rien, et qui donc pour s'assurer que les choses soit conforme à ces petites convictions invente/modifie les propos des autres. Ainsi Dash peut continuer son petit bonhomme de chemin ... tout content de ne pas être capable de regarder le réel en face.
C’est toujours les autres qui s’expriment mal ou qui « surinterprètent » ce qu’il veut dire. Il va probablement nous faire un « récapitulatif~diagnostic », point par point, pour tenter de démontrer qu’il ne parlait pas « d’autre chose » que bla-bla-bla.

Il est vrai que si je démontre point par point la cohérence de mes propos, c'est surement une preuve que je "triche"

.
Le pauvre Dash, il est frustré de ne pas être au niveau, alors il déverse sa haine contre les personnes exigeantes qui n'apprécient pas les propos ineptes, et qui n'apprécient pas qu'on leurs fassent dire ce qu'elles ne disent pas.
Et comme je suis un type généreux, je vais vous montrer non pas un mais deux exemples de Dash et de ces sur-interprétations qui partent en couilles:
Prenons un exemple me concernant:
Le grand interpréteur a écrit :Tu partages en fait un point en commun avec Mireille et pas qu’un peu! : te ne réalise pas que tu es ta propre cause de ce que tu subis provenant de tes interlocuteurs (ce qui permet de te victimiser en « j'suis un pas jojo antisocial et c'est pour ça que vous vous objectez»).
Je corrige:
Avatar of Wrath a écrit :Encore une fois vous tombez a coté ... non je ne me victimise pas, je signale quand un argument est non-valide car il ne parle pas du sujet
Et voila qu'il adapte le propos, ce rendant compte de la bourde
Le grand interpréteur a écrit :C’est exactement ce que je dis, parfois tu ne comprends pas vraiment ce que les autres t’écrivent, car tu analyses chaque phrase que de façon technique. Bien sûr que tu ne te victimises pas de façon générale
En essayant de nous faire croire que c'est ce qu'il dit depuis le début

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Alors je me victimise ou pas ? On s'y perd

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Décidément le grand interpréteur n'est pas très doué

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Prenons un exemple sur jean7 maintenant:
jean7 a écrit :La culpabilisation et la privation à outrance y compris de jeunes enfants… Si j'en crois ma fille, c'est le fonctionnement de base du système éducatif.
Moi, le seul, l'unique ... a écrit :Il y a une différence entre sanctionner une action répréhensible, et culpabiliser quelqu'un apriori.
Par exemple un enfant fait une bêtise, il est punis.
jean7 a écrit :Ce n'est pas ce dont elle souffrait mais bien d'être considérée comme à priori indigne de confiance. Coupable par nature, tout simplement.
El grande magnifico a écrit :Vous avez une façon étrange de traiter votre fille

.
Pourquoi ne lui faite vous pas confiance ?
Le grand interpréteur a écrit :Jean7 cause du système éducatif, de nos sociétés qui tendent à infantiliser les enfants et de
sa fille qui lui a fait une remarque sur ces derniers (
j’imagine qu’elle bosse de près ou de loin en éducation 
)
jean7 a écrit :Je parlais de comment elle a vécu l'école. École laïque je précise.

, Le grand interpréteur a encore fail ... il ne sait pas lire, et ensuite vient donner des leçon de lecture entre les lignes ... mais il lit tellement entre les lignes, qu'il en oublie de lire les dites lignes !
CQFD, la méthode de lecture du grand interpréteur ne marche pas

... je recommande donc son abandon

.
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