Les mystères de la bible

[Jean-Francois]

1) Comment peux-tu dire ‘FAUX’, et d’où provient cette certitude?
2) Où est-il écrit dans la bible que ce n’était pas un Moabite?

Ça serait plutôt à vous de me dire pourquoi vous tenez à ce que ça soit un moabite. Parce qu'il est difficile de voir pourquoi des hébreux placeraient un moabite dans le tombeau d'un de leur saint homme. Ils l'auraient bien plus facilement laissé sur place.

Autrement, j'ai souligné la partie du texte qui fait comprendre que ça n'est pas un moabite: l'enterrement est interrompu par une bande de moabites*. Il y a une distinction claire entre ceux concernés par l'enterrement (cadavre compris) et les bandes venant de Moab. Même si l'homme n'est pas désigné comme israélite, il n'est pas membre d'une bande de pillards.

Si tu veux me contredire avec une approche agnostique, c’est OK, mais devrais-tu reconnaitre que plusieurs interprétations différentes existent?

Seulement si on préfère inventer des trucs. Si on s'en tient au texte disponible, il n'est pas logique que des hébreux profanent le tombeau d'Élisée avec le corps d'un pillard moabite.

Jean-François

* "13.20 Élisée mourut et on l'ensevelit. Or, en début d’année, des bandes, venant de Moab, pénétraient dans le pays.
13.21 Comme des gens ensevelissaient un homme, on aperçut une de ces bandes; ils déposèrent en hâte l'homme dans la tombe d'Élisée et ils partirent. L'homme toucha les ossements d’Élisée ; il reprit vie et se dressa sur ses pieds."

[Spartakus]

Sommes nous en 2023?

Aidez-moi quelqu'un, en lisant cet article, je croyais qu'on était en 1803!
La machine à exploré le temps à été inventé?

https://richardhetu.com/2023/12/07/quan ... e-a-moise/

[Gwanelle]

Sommes nous en 2023?

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Qu'il existe des illuminés, ça ne me choque pas. Mais le fait qu'ils trouvent suffisamment de voix pour réussir en politique, c'est ça qui est incroyable.

[sami83g]

Bonjour,

@Jean-François. Vous avez écrit; « Ce serait plutôt à vous de me dire pourquoi vous tenez à ce que ce soit un moabite. Parce qu’il est difficile de voir pourquoi des hébreux placeraient un Moabite dans un tombeau de l’un de leur saint homme.»

Votre question mérite qu’on s’y attarde. J’ai basé mon interprétation sur ce qui provenait de WIKIPÉDIA. Je vous présente ci-dessous les extraits qui m’ont amené à penser que les Moabites étaient des hébreux.

« Moab est un personnage de la Genèse, le premier livre de la Bible. Il est le fils que Loth eut avec sa fille aînée. »

« Le royaume de Moab aurait ensuite été partagé entre trois des douze tribus d'Israël »

« À l'époque des Juges d'Israël, une Moabite célèbre est Ruth dont l'histoire est relatée dans le livre de Ruth. »

« Dans le deuxième livre des Rois, vers −850, trois royaumes (Juda, Israël et Édom) tentent, sous la houlette de Joram, roi d'Israël, de s'emparer du royaume de Moab, qui résiste. À la suite de l'encerclement militaire des Moabites, le roi de Moab sacrifie son propre fils, ce qui lui permet de repousser ses ennemis. »

Cette dernière citation raconte que les Moabites ont déjà fait la guerre avec les tribus de Judas, d' Édom et d'Israël. Vous dites que je me suis trompé par rapport à l’ethnologie des Moabites. Peut-être que je me suis trompé si vous pensez que les tribus d’hébreux ne pouvaient pas se faire la guerre entre elles, je n’en suis pas convaincu.

Par contre, on sait tous que la croyance en la résurrection d’un mort respire la bêtise et le fanatisme religieux. Avec de tels textes, il devient assez amusant de reformuler l’action en y ajoutant une épice de réalité.

Donc, si j’accepte que les gens du MOAB ne fussent pas des hébreux, selon votre opinion, alors il me faudrait corriger ma première interprétation. Et elle se réécrirait ainsi.

1) Un hébreu a absorbé une bonne quantité de vin et il est tombé dans un coma temporaire. (Il existe d’autres explications possibles; un hébreu s’est cogné la tête, un hébreu s’est fait frapper par un bœuf …)

2) Des hébreux ont cru qu’il était mort et ils l’ont mis dans le caveau.

3) Après un certain temps, l’hébreu s’est réveillé avec un mal de bloc (s’il avait pris trop de vin), et il est sorti du caveau sur ses deux pieds. Un groupe de Moabites arrivait et l'on ne sait pas s’il s’est sauvé ou s’il a rejoint le groupe

4) Pour cacher leur erreur et pour ne pas avouer leurs incompétences, les hébreux ont raconté qu’un hébreu avait été ressuscité par les os de leur prophète décédé.

5) La croyance en un dieu imaginaire tout puissant, Yahvé, a permis à ces croyances loufoques d'être distribuées comme de la publicité à la poste.

6) Et, des écrivains hébreux ont repris l’histoire sans mettre en doute les racontars en profondeur.

Les écrivains de ce temps antiques croyaient que plusieurs de leurs héros revenaient des morts, on en connait plusieurs autres; Élie, Jésus, Lazare … Les auteurs des livres sacrés aimaient bien croire en la résurrection parce que cela correspondait à des promesses divines schizophréniques. On sait aujourd’hui que ces croyances sont aberrantes.

Qu’en pensez-vous?

[Jean-Francois]

Qu’en pensez-vous?

Que votre pensée est très contournée et "d’un nuage épais toujours embarrassée". Je ne vous ai pas reproché l'ethnologie des Moabites ni ai même suggéré que les tribus d'hébreux ne pouvaient se faire la guerre.

Ma remarque est bien plus simple: vous ne tenez pas compte du texte, qui distingue ceux qui enterre un homme et les pillards moabites. L'homme n'est pas décrit mais il n'est, justement, pas décrit comme un pillard.

Quant à votre scénario sur le coma éthylique, il me parait toujours aussi futilement tarabiscoté même s'il correspond un peu plus au texte avec un Hébreu plutôt qu'un Moabite. Selon moi, il n'y a pas besoin d'inventer une explication (pseudo-)rationnelle pour ces quelques lignes de texte qui ne cherche même pas à rendre ce passage réaliste.

Les écrivains de ce temps antiques croyaient que plusieurs de leurs héros revenaient des morts, on en connait plusieurs autres

Je ne sais pas s'ils croyaient que ces héros avaient réellement existé. Ça n'est pas parce qu'ils utilisaient la résurrection comme élément narratif qu'ils croyaient que ça pouvait réellement arriver. Dans l'esprit de leurs auteurs, les mythes ne se passent pas forcément dans la réalité, ce qui donne une valeur symbolique et non pas réaliste aux événements racontés.

Jean-François

[sami83g]

Bonjour,

@Jean-François ; noter « il me parait toujours aussi futilement tarabiscoté ... il n'y a pas besoin d'inventer une explication (pseudo-)rationnelle pour ces quelques lignes de texte qui ne cherche même pas à rendre ce passage réaliste… Ce n'est pas parce qu'ils utilisaient la résurrection comme élément narratif qu'ils croyaient que ça pouvait réellement arriver.»

Je comprends très bien que plusieurs personnes n’interprètent pas les écrits sacrés selon ma propre interprétation. Pour comparaison, une des spécialités des théologiens consiste à dénaturer le sens des mots pour alléguer que les livres sacrés parlent continuellement d’amour. Même si une lecture objective nous prouve que les livres sacrés encouragent leurs fidèles à la haine des autres, ces exégètes de l’herméneutique religieux sauront tordre le sens des mots pour leur faire dire le contraire.

Par exemple, si des théologiens valorisaient les romans du Marquis de Sade et qu’ils vénéraient les écrits de cet auteur dans un temple sacré, alors je contesterais leurs prétentions et je bâtirais surement des scénarios tarabiscotés pour dénoncer les atrocités de ces histoires. Les héros choisis, de ce « Marquis de Sade », ne méritent pas d’être enjolivés. Que ce soit, Yahvé, Dieu, Allah ou l’âme de Marquis de Sade, tout cela se ressemble par leurs déviances qui éloignent de la paix sociale.

En lisant les livres sacrés, on peut facilement comprendre que leurs symboles religieux nagent dans un occultisme nuisible, vicieux et guerrier. Je résume, de façon rapide, quelques conclusions des histoires de leurs héros que j’ai tirées des livres saints.

1)--== L’histoire de Moïse raconte les aventures d’un schizophrène mégalomane et sadique.

2)--== L’histoire de Salomon raconte les aventures d’un schizophrène mégalomane et polygame.

3)--== L’histoire de David raconte les aventures d’un schizophrène mégalomane et bisexuel.

4)--== L’histoire de Jésus raconte les aventures d’un schizophrène mégalomane et homosexuel.

5)--== L’histoire de Mahomet raconte les aventures d’un schizophrène mégalomane et pédophile.

Pour chaque cas, j’ai publié plusieurs extraits des livres sacrés, au fil du temps, pour prouver ces interprétations.

Pour les théologiens et les croyants, il n’est pas surprenant qu’ils prétendent que les contradicteurs soutiennent des explications futiles et pseudo-rationnelles. L’objectif des religieux est de s’assurer que toutes les interprétations aillent dans le sens d’une bienveillance divine incontestable et d’éliminer les démonstrations qui dévoileraient la dysmorphie de leurs textes.

Pour moi, ça ne passe pas, puisque ces écrits sacrés sont irréalistes et merdiques, j’essaie de les mettre en contexte, un peu comme on pourrait mettre en contexte les écrits du Marquis de Sade pour expliquer le vice et la décadence qu’ils contiennent.

Qu’en pensez-vous?

[sami83g]

Bonjour,

Est-ce que les histoires de livres sacrés sont des débilités provenant de l’antiquité? OUI! OUI et OUI!

Pour plusieurs participants au forum, clarifions une différence importante entre l’approche du matérialisme et l’approche du spiritualisme.

Les théologiens (théistes, panthéistes ou agnostiques) imaginent l’âme et leur dieu comme une équivalence à la pureté, à l’amour véritable, à l’idéal sublime... des fantasmes d’enfants! Pour se donner un sentiment de supériorité bienveillante et pour s’approcher de cette fausse perfection divine, les religieux n’oseront pas regarder leurs livres saints pour ce qu’ils sont, c’est-à-dire un tas d’aberrations tribales. Alors, ils dévieront leur sens des réalités en clamant que le matérialisme se situe dans la vulgarité, dans l’imperfection, dans l’indigne.

Que les religieux l’avouent ou pas, cette culture d’un spiritualisme magique entraine les exégètes des livres sacrés dans une déviance morale aveugle et névrotique. Ils sont prêts à réinterpréter tous les écrits selon leurs convenances ou à restructurer des faits religieux intentionnellement destructeurs, aussitôt qu’ils croient que le phénomène provient d’une intention induite par leur divin. Même si leur dieu n’existe pas, ils feront tout pour prouver le contraire.

Je vous cite un extrait biblique pour mettre l’accent sur un exemple insensé et frappant par son absurdité; un esprit enverrait un autre dieu dans le désert pour affronter un diable?

Pourquoi ne pas affronter un dragon ou un extraterrestre? Pourquoi l’esprit n’élimine-t-il pas le diable? Pourquoi aller dans le désert pourrait-il faire son spectacle sur place pour que tout le monde le voie? Etc.

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Luc
1.10 Au moment où il sortait de l’eau, il vit les cieux s’ouvrir, et l’Esprit descendre sur lui comme une colombe.
1.11 Et une voix fit entendre des cieux ces paroles: Tu es mon Fils bien-aimé, en toi j’ai mis toute mon affection.
1.12 Aussitôt, l’Esprit poussa Jésus dans le désert,
1.13 où il passa quarante jours, tenté par Satan. Il était avec les bêtes sauvages, et les anges le servaient.
1.14 Après que Jean eut été livré, Jésus alla dans la Galilée, prêchant l’Évangile de Dieu.
1.15 Il disait: Le temps est accompli, et le royaume de Dieu est proche. Repentez-vous, et croyez à la bonne nouvelle.

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Des religieux fanatiques iront jusqu’à croire que cette histoire de leur Jésus (un demi-dieu qui a été poussé dans le désert par un esprit pour être tenté par un diable) est véridique. Les plus sages, d’entre eux, parleront d’allégories symboliques, et ils modifieront le sens des mots de ce texte pour l’adapter à l’évolution de notre société. Ou encore, les plus gênés des théistes refuseront de prendre position sur la véracité de ce texte en se disant agnostiques.

Évidemment, nous savons que ces textes prennent leurs sources dans l’imagination d’humains. Toutes les légendes comme celles des Grecs ou des Romains prennent aussi leurs sources dans l’imaginaire.

Et la magie du mystère?

Ces rêvasseries schizophréniques ne surprennent plus personne et elles peuvent être amusantes. Par contre, ces histoires deviennent nuisibles lorsque des malades mentales prétendent que ces livres rapportent des faits véritables venant d’un dieu.

Qu’en pensez-vous?

[sami83g]

Bonjour,

La persistance aux croyances religieuses, est-ce un mystère?

Des musulmans croient que l’islam est une religion pacifique. Pourtant et en fait, cette doctrine est belliqueuse. Des imans viennent baragouiner que les paroles de leurs prophètes sont déformées si un incroyant rapporte les écrits tels que lus. Lorsqu’on lit le coran, on réalise rapidement la mentalité, vicieuse et guerrière, que ce document propage contrairement à ce que racontent les imans. Par exemple, je vous cite un autre extrait du coran où leur prophète méprise les autres croyances et les insoumis en promettant des richesses à ses fidèles.

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9. Le repentir (At-Tawbah)
28. Ô vous qui croyez! Les associateurs ne sont qu'impureté: qu'ils ne s'approchent plus de la Mosquée sacrée, après cette année-ci. Et si vous redoutez une pénurie, Allah vous enrichira, s'Il veut, de par Sa grâce. Car Allah est Omniscient et Sage.

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Avez-vous lu? Les associateurs sont les juifs et les chrétiens, c’est-à-dire les personnes ne croyant pas à la religion de l’islam. Ce texte ne parle pas des incroyants, mais on assume que l’insulte d’impureté (excréments, crasses …) s’appliquerait autant, sinon plus, à ces insoumis. Ce texte encourage, de façon évidente, la xénophobie chez les fidèles de l’islam.

On comprend facilement que les personnes musulmanes modérées, qui participent à la démocratie, nageront dans une dichotomie émotionnelle, si elles essaient de mettre en pratique les directives issues du coran. Pour cette raison, une multitude de musulmans ne veulent pas lire le coran et ils se fieront seulement à l’interprétation théologique d’imans manipulateurs.

En critiquant le coran, les détracteurs sont perçus comme des provocateurs et des êtres malfaisants par ces imans. Les politiciens de notre société démocratique ne devraient pas céder à ces pressions et à ces interprétations belliqueuses. On ne devrait pas empêcher la critique publique des livres sacrés. Pourtant c’est ce que la société fait avec des lois. Pensons aux lois qui concernent le multiculturalisme, ces lois négligent les désirs universalistes des incroyants et elles permettent de lever de fausses accusations contre les détracteurs des atrocités religieuses, sous le prétexte qu’ils entretiendraient des discours haineux et discriminatoires.

On vérifie mes dires facilement avec le rapport de la commission Bouchard-Taylor de 2007, où les opinions des incroyants sont pratiquement inexistantes et où ces philosophes et sociologues suggèrent de donner des avantages sociaux à la pratique de superstitions religieuses. Ils permettent aux religieux d’outrepasser des lois universalistes pour faciliter des coutumes religieuses nuisibles aux autres communautés. Ces lois créent inévitablement de la discrimination envers les incroyants. Ce régime discriminatoire, légitimé par des lois, désigne ces méfaits publics sous le taxon d’accommodements raisonnables.

Les injustices, que ces accommodements génèrent, ont été à la source de plusieurs dérives sectaires, elles alimentent les frustrations chez les incroyants et elles entrainent des déséquilibres intercommunautaires.

Ces spécialistes de la théologie, ces pro-religieux, réaliseront-ils la stupidité des recommandations de leur rapport ? Quand comprendront-ils que le dieu n’existe pas?

Qu’en pensez-vous?

[sami83g]

Bonjour,

De temps en temps, le ridicule des livres sacrés frise tellement le burlesque qu’on ne peut s’empêcher de rire, avec cœur, de leurs amas de stupidités.

Savez-vous vous comment Jésus soigne un sourd-muet? Vous allez constater que les humoristes de notre siècle n’inventent pas mieux que ce conte abracadabrantesque pour faire rire les gens.

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Marc
7.31
Jésus quitta le territoire de Tyr, et revint par Sidon vers la mer de Galilée, en traversant le pays de la Décapole.
7.32
On lui amena un sourd, qui avait de la difficulté à parler, et on le pria de lui imposer les mains.
7.33
Il le prit à part loin de la foule, lui mit les doigts dans les oreilles, et lui toucha la langue avec sa propre salive;
7.34
puis, levant les yeux au ciel, il soupira, et dit: Éphphatha, c’est-à-dire, ouvre-toi.
7.35
Aussitôt ses oreilles s’ouvrirent, sa langue se délia, et il parla très bien.
7.36
Jésus leur recommanda de n’en parler à personne; mais plus il le leur recommanda, plus ils le publièrent.
7.37
Ils étaient dans le plus grand étonnement, et disaient: Il fait tout à merveille; même il fait entendre les sourds, et parler les muets.


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Avez-vous lu? Entre vous et moi, si l’on croit à ce miracle, on peut croire, aussi, que la terre est plate, on peut croire, aussi, que les djinns forment une armée puissante, on peut croire, aussi, que le diable nous joue des tours…

Résumons les actes de Jésus, de cet extrait, qui ont permis à ce grand dieu de soigner un sourd-muet.

a) Il se cacha pour aller soigner son patient. Pourquoi, et on ne connait pas ce patient.

b) Il mit les doigts dans les oreilles du patient pour lui enlever sa surdité.

c) Il met sa salive sur la langue du patient pour lui rendre la parole.

d) Il appliqua peut-être sa salive avec sa propre langue, on ne sait pas.

e) Il compléta son traitement en prononçant une parole magique.

f) Il revint de sa cachette et il raconta comment il peut soigner miraculeusement.

g) Il demande à ses disciples de ne pas vanter ses exploits.

h) Les disciples se permettent de vanter cet exploit malgré le commandement de ce dieu.

i) Jésus ne punit pas ses disciples pour leur désobéissance.

j) L’histoire ne dit pas un mot sur la vie du patient à la suite de ce miracle.

Tout cet épisode nage dans un ridicule hilarant. Nous pouvons rire sans gène de ces arnaques religieuses.

Le défi, pour ceux qui réalisent toute l’invraisemblance de ces écritures saintes, consiste à respecter publiquement les personnes qui y croient. Les gens possèdent le droit d’imaginer ou de croire, que Jésus était un dieu sauveur, que Mahomet était un messager divin, que Moïse parlait avec le plus puissant des dieux… Mais évitons de se moquer des personnes croyantes en public.

On peut se moquer des textes religieux et de leurs enseignements, et l’on sait que la croyance en ces balivernes ne mérite pas le respect, on le comprend! Mais la personne soutenant ces balivernes ésotériques et superstitieuses reste un humain et elle mérite le respect civil pour la simple raison qu’on ne connait pas son passé, son éducation, son histoire. Voyez-vous la différence???

Dans la même direction, pour partager une bonne attitude civique, le principe de réciprocité implique que les croyants devraient aussi respecter les personnes non-croyantes. Ces citoyens rejettent les religions et ils préfèrent des explications biologiques et scientifiques plutôt que du charabia religieux.

Pourquoi amener ce point de vue?

Les religieux-politiciens protègeront leurs croyances archaïques en brandissant le drapeau de la discrimination si leurs sectes ne reçoivent pas des accommodements qu’ils désirent. Ces religieux-politiciens encourageront les jeux de victimisation et ils réclameront des avantages fiscaux. Ces religieux-politiciens voteront pour des lois religieusement biaisées. Par exemple, pensons aux lois du multiculturalisme, aux lois vaporeuses qui permettent, selon un contexte arbitraire, d’accuser de racistes, de crime haineux, d’antisémitistes, d’islamophobes ceux qui critiquent publiquement les religions. (CDPDJ, Amnistie internationale, La ligue des droits et Libertés, FAE, Alliance des Chrétiens, Association de droit Lord Reading, Organisation mondiale des Sikhs, Conseil national des Musulmans, etc.)

Pourtant on sait que leur dieu n’existe pas!

Les incroyants ont le droit de se moquer des écritures saintes et ils savent que les histoires des prophètes nagent dans le monde archaïque de la mégalomanie et de la schizophrénie tribale. Exprimer cette compréhension des textes sacrés n’est pas de la discrimination, à l’inverse, les religieux-politiciens qui empêchent cette critique font de la discrimination. Le réalisez-vous?

Qu’en pensez-vous?

[sami83g]

Bonjour,

Racisme, antisémite, islamophobe ???

Peut-on accuser de racisme une personne lorsqu’elle critique les mythes grecs et les mythes romains? La réponse est négative!

Il existe des mythes grecs et romains, antérieurs à ceux des saintes écritures, que l’on peut critiquer sans problème. Faisons quelques comparaisons.

A) Le plus puissant de tous les dieux;

A.1) Selon les romains ou les grecques, les dieux, Jupiter ou Zeus, seraient les plus puissants de tous les dieux.

A.2) Selon les saintes écritures, Yahvé ou Allah, seraient les plus puissants de tous les dieux.

B) Un dieu donne des pouvoirs aux humains;

B.1) Selon les mythes grecques, Anios le fils d’apollon aurait reçu des dons d’un démiurge, comme plusieurs autres demi-dieux.

B.2) Selon les saintes écritures, Abraham, Moise, Jésus, Mahomet et d’autres prophètes auraient reçu des dons divins de leur dieu.

C) Une généalogie expliquant les premiers hommes;

C.1) Selon les mythes grecques, Prométhée serait un Titan fils de Japet, fils d’Ouranos… et il aurait créé les humains.

C.2) Selon les saintes écritures, le premier homme Adam, aurait été créé avec de la poussière par leur dieu.

D) Des plaisirs sexuels paradisiaques;

D.1) Selon des mythes grecques, des nymphes, d’une grande beauté, amoureuses des dieux, copuleraient aussi avec les hommes.

D.2) Selon les saintes écritures, il y aurait douze vierges qui attendraient les martyrs de l’islam au paradis.

E) Etc., Etc.

Sérieux, on peut critiquer les légendes grecques et romaines, sans subir aucune conséquence. Par contre, si on critique les fabulations issues des écritures saintes, de la thora, des évangiles ou du coran, on risque de se faire accuser d’antisémite, de raciste ou d’islamophobe. Aberrant!

Le mystère des agnostiques?

Les agnostiques retiennent leurs opinions devant les invraisemblances enseignées par les livres sacrés. Alors pour être cohérent, les agnostiques retiennent-ils leurs opinions devant les fabulations des mythes grecques ou romains? La réponse est négative! Ces gens admettent que Jupiter ou Zeus n’existent pas, mais ils retiennent leurs opinions par rapport à l’existence de dieu, de Yahvé ou d’Allah. La mentalité agnostique opère donc avec un régime à « deux poids – deux mesures ».

Ces idéologues agnostiques s’imaginent-ils être bienveillants en refusant de reconnaitre que tous les dieux n’existent pas? Savent-ils que leurs silences complices, par rapport aux messages des livres sacrés, encouragent la haine, les conflits et les guerres?

Qu’en pensez-vous?