L'univers est-il sa propre cause?

[pan-pan]

J'exagère peut-être.. discutons-en.

Ah çà! Merci Z, j'avais justement peur (oups, je craignais...) que le débat s'arrête ici... Il me semble qu'on venait tout juste de passer l'introduction. Faut pas arrêter, je suis d'accord avec Ildefonse, la marchine à vulgariser va pas mal, merci!

Hmm.. syndrome du persécuté peut-être. Je n'ai pas d'antipathie particulière pour toi, dans ce fil je suis également "tombé" sur pan-pan.

On parle de moi? Pas en mal, j'espère... Et... comment il a réagis pan-pan? Il s'est tenu debout non? On le sait, la persécution c'est pas son genre. Il s'est contenté d'assumer sa part de subjectivité, sachant bien sa limite à expliquer la science. Et je dirais, pour ne pas rajouter inutilement, il s'est respectueusement remis à la lecture des uns et des autres. Y a peut-être eu des petits accrochages sans grandes valeurs avec pépé, mais tout semble être réglé depuis. Et puisque l'on parle des autres... Il y a Pupille qui n'a pas souvent de réponses à ses questionnements.

Je dirais plutôt qu’on ne peut écarter les connaissances scientifiques dans la recherche philosophique du sens humain (quoi, pourquoi, comment)

Et comme je commence un peu à connaître ta propre philosophie, j'en comprends que les énergies, les «connexions» atomiques sont du domaine physique et ont un rapport direct avec la pensée, le raisonnement à la limite. De telle sorte que l'organisation de la pensée est du domaine physique en quelque sorte.

Ça vaut pour les humains, comme pour les animaux et leurs émotions, les fourmis et les phéromones. Ça comprend la Vie en quelque sorte puisque la science est aussi incapable de déterminer qu'est-ce qui donne l'impulsion vitale. On dira aisément que la vie est du domaine physique.

[pupille]

Ça vaut pour les humains, comme pour les animaux et leurs émotions, les fourmis et les phéromones. Ça comprend la Vie en quelque sorte puisque la science est aussi incapable de déterminer qu'est-ce qui donne l'impulsion vitale. On dira aisément que la vie est du domaine physique.

Il m’est difficile de vous répondre sans devoir répéter certains de mes arguments qui ont été largement exposés et dénigrés sur le forum d’autant plus que j’ai eu « deux vies », une sous le nom de Dustin Dewin et celle-ci, pupille. Ici, l’exploration même « relativement rationnelle » n’est pas bienvenue. Le degré de réceptivité en regard de tout ce qui n’est pas prouvé est pour ainsi dire nul… l'inconnu, l'incompris et l'insolite composant avec l'irrationnel et la douce folie.

Je serai donc bref question « d’accommoder » aussi mes détracteurs. Je dis que l’atome (aux travers ses composantes et particules, quarks up and down, électrons et antiélectrons…) a une double nature. Cette double nature de l’atome, « sensorielle et perceptive, physique et psychique permet l’émergence d’une organisation moléculaire complexe et diversifiée, qui gère et génère la Vie dans sa forme animée et inanimée. Les électrons de par leurs orbites, permettraient à l'atome un mouvement en l'espace. Ils assureraient une force directrice au sein de l'atome. La « perception sensorielle » intrinsèque au monde atomique devient sous cet angle l’énergie constituante et évolutive des êtres et des choses. Voir développement ici et ici et là.

Voilà, je ne sais trop si ces explications supplémentaires vous seront utiles. La connaissance est une volonté d’émancipation qui permet aux êtres de mieux s’orienter en la nature. Le savoir « Passer du connu à l’inconnu » n’est pas un processus du genre révélation extérieure à l’humanité, mais bien un processus biologique et cérébral qui permet aux humains de faire avancer leur savoir et leur culture pour éviter toute stagnation. Ici et maintenant je questionne « croyances et certitudes » humaines, et j’ai suggéré quelques avenues, sans plus. Le Cycle de la vie; une dialectique d’un contact originel de facteurs endogène et exogène créant la matière et qui part du principe que l’émancipation de cette matière tire son point de départ de la physique terrestre pour graduellement s’acheminer à la « conscience du cosmos ».