Pour diverses raisons, qui vous ont déjà été expliquées précédemment.Quasimodo a écrit : Mais pourquoi donc ?
Ah bon ?Quasimodo a écrit : Je ne me sens pas persécuté, je suis tout simplement étonné que, sur un site réputé poli, après les esclandres de ce fil, je sois encore «en vie». On dira ce qu'on voudra, mais je ne suis tout de même pas assez zozo pour être venu m'aventurer ici avec mes histoires sans savoir que je ne recueillerais pas que des applaudissements...
il y a bien plus zozos que vous, pour autant on les a pas envoyés au bûcher. juste surprenant que vous ayez la peur d'un bannissement juste parce que vous êtes en désaccord fort avec des modérateurs...
Alors, essayez donc de guérir de vos enflammades de ce style.Quasimodo a écrit : Parlant de syndrome, il serait agréable qu'on se guérisse ici de celui qui consiste à lancer des diagnostics gratuits de ce genre, que des professionnels chevronnés prennent beaucoup de temps à formuler, et ce, uniquement pour des patients qu'ils ont examinés en clinique.
Ce qu'on en retient de la lecture de vos posts, entre arrogance, mépris à peine dissimulé et autre "Je suis étonné d'être encore en vie suite à mes échanges". Et il n'y a pas besoin de clinique, cela transpire dans vos écrits...
Non aucunement, les gens qui veulent continuer continuent, les autres s'abstiennent. La forme (cette fameuse arrogance) ne donne pas envie de continuer, et on vous le signale.Quasimodo a écrit : Ce n'est donc qu'une manoeuvre absolument dépourvue de rigueur, cherchant simplement à nuire à la crédibilité de la personne visée, pour des considérations futures.
En plus, il n'y a pas de "fond" dans ce que vous dîtes, peut être que le problème vient aussi de là, non ?
Non.Quasimodo a écrit : Bref, si vous voulez que nous demeurions bons amis, abstenez-vous donc de me traiter de malade. OK ?
Déjà, il n'y a que vous qui preniez ça comme une "maladie".
D'autre part, je ne suis pas là, ni les autres, pour être votre "ami", mais pour comprendre et donner notre avis sur vos histoires.
Mais de rien.Quasimodo a écrit : Merci à l'avance

Bon, ça c'est un beau préjugé. L'essence d'un souvenir ne vaut que ce que ça vaut, la base et encore, c'est à dire... rien. Donc, on ne peut pas dire, dans un sens comme dans l'autre, que votre souvenir puisse servir de base pour quoi que ce soit...Quasimodo a écrit : À la première question, j'ai répondu plus haut. Vous n'étiez pas là, je ne vous demanderai pas de vous taper les 7 pages, je reprends donc.
Oublier des détails est une chose. Mais oublier l'essence même de ce qui s'est passé en est une autre. Dès le moment où ces situations se sont produites, jusqu'à aujourd'hui, la nature de la situation n'a pas changé. Dès le moment où c'est arrivé, moi — et mes témoins, faut-il le rappeler — avons interprété ça comme une étonnante affaire, et, dans son essence, c'est encore comme ça qu'on la voit. Et comme ça que je la décris. Peu importe si une bâtisse à 200 mètres de là était une église ou une université, c'est de l'événement dont on se rappelle, pas du décor.
Et vous vous trompez, ce sont au contraire les détails qui font toute la différence dans un témoignage (même si, en général, le témoignage en question vaille rarement quelque chose).
Tout est possible, comme la mauvaise interprétation, un raccourci facile entre tel ou tel évènement, la croyance - même diffuse ou inconsciente - en la possibilité que, etc...Quasimodo a écrit : Sinon, quoi ? J'aurais, il y a 40 ans, trouvé ça anodin, puis, à la longue, ou brusquement un jour, je me serais mis à trouver ça spécial ? Et mes amis en même temps ? C'est un cheminement mnémonique qui vous paraît plausible ?
En quel honneur ?Quasimodo a écrit : Je signale aussi que le fait de tenir absolument à ce que mon souvenir soit inexact revient logiquement à admettre que s'il l'était, mon hypothèse serait également exacte.
Selon quel cheminement logique pourront-on déduire que, parce que nous tenons absolument à ce que votre témoignage soit faux, donc la "prémonition extra sensorielle" existe* ?
Par ailleurs, on dit juste que les données (votre témoignage) sont trop limitées, voire inexistantes, et trop sujettes à caution pour qu'on puisse affirmer quoique ce soit avec. En plus d'apporter quelques faits supplémentaires, comme par exemple que de nombreuses personnes ont ce "nez" à un moment ou à un autre de leur vie, mais que ce n'est pas pour autant qu'ils possèdent un "don" particulier.
Il est certain que vos souvenirs sont les vôtres, jusque là cela ne pose pas de problème.Quasimodo a écrit : Croyez que j'ai pris fort bonne note de cet «aveu», car, que ça en choque certains ou pas, je demeure jusqu'à nouvel ordre dépositaire exclusif de mes souvenirs. Moi et mes amis savons mieux que des tiers ce qui nous est arrivé. Il est bizarre d'avoir à le rappeler.
Par contre, penser qu'ils sont forcément exactes et en tirer une conclusion hâtive, ce n'est à mon sens pas une très bonne idée car cela revient à ignorer que l'âge passant, les autres souvenirs acquis et le filtre cognitif qui biaise forcément notre vision des choses les influencent grandement.
Le mieux serait, alors, de fabriquer une machine à remonter le temps, afin de remonter la chaîne cause/effet qui a fait que.Quasimodo a écrit : Je vous remercie pour votre deuxième question. Elle me donne l'occasion de reformuler ce que j'ai déjà dit autrement. Peut-être que cette fois-ci...
Non, je ne crois pas que ce qui est arrivé soit extraordinaire. Je ne suis pas ici pour prouver que je suis le Messie ou un prophète. Oui je comprends que ça peut arriver 400 fois par jour dans le monde, à un tas de gens. Mais de mesurer la fréquence d'une situation ne nous renseigne pas (pas complètement) sur ce qui se passe, sur comment ça fonctionne. On sait combien de fois ça c'est passé (devrait s'être passé, plutôt) mais moi, je veux savoir CE QUI s'est passé. Et je le répète (mais c'est la dernière fois — je ne dis pas ça pour vous) je crois que ceci n'est pas extraordinaire, ni extra-terrestre, mais naturel et humain.
Une dernière question, tout de même: Comment voulez vous qu'on remonte la chaîne sans les détails ? Voilà un mystère qui me semble fort peu soluble.

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* Puisque visiblement vous n'appréciez pas les différentes remarques vous signalant votre attitude quelque peu déplaisante, mais à ce moment là il serait fort judicieux d'éviter ce genre de procès d'intention qui lui n'est point appuyé par le moindre fait.