Si on n'a pas comme postulat l'invariance de la vitesse de la lumière, alors ces postulats permettent aussi d'aboutir aux équations de la mécanique newtonienne.jroche a écrit : 21 déc. 2017, 12:38 Ben tout ce que j'ai vu comme postulat de départ, chez Poincaré comme chez Einstein, c'est qu'il est impossible de déterminer une vitesse et une immobilité absolues, d'où le nom de relativité. Et on peut arriver, mathématiquement, à partir de là et du cadre conceptuel (espace homogène et isotrope, mouvements rectilignes à vitesse constantes...)
que vaut c dans E=mc² si on n'a pas une vitesse de la lumière invariante valant c ?jroche a écrit : 21 déc. 2017, 12:38 jusqu'à y compris E=mc², sans avoir besoin de vitesse limite. NB tout ça je l'ai appris en fac il y a longtemps.
Les équations de Lorentz, comme celles de la relativité générale, interdisent l'existence de vitesses supérieurs à c. Si on découvre un jour une particule qui va plus vite, ça voudra dire que la relativité générale, comme la relativité restreinte, sont fausses.jroche a écrit : 21 déc. 2017, 12:38 Par contre, il en découle tout aussi mathématiquement les équations de Lorentz qui ne permettent pas de traiter une vitesse supérieure à c. Donc si on trouvait une telle vitesse on ne pourrait pas la traiter par la RR, qui trouverait là une limite. Mais elle a déjà des limites, sans quoi on n'aurait pas besoin de la RG, et ça ne la détruit pas pour autant.
La relativité restreinte est un cas particulier de la relativité générale, qui ne s'applique qu'aux référentiels inertiels en mouvement rectiligne uniforme. Le fait qu'elle ne s'applique pas aux cas en dehors de son champs d'application ne signifie pas qu'elle est fausse pour autant.