Re: Le temps
Publié : 27 mai 2015, 18:39
Je suis la source de ce que j'ai écrit. Je donnes mon opinion sur le texte de NEMROD34.Cogite Stibon a écrit :La source, 25, toujours vérifier la source
Je suis la source de ce que j'ai écrit. Je donnes mon opinion sur le texte de NEMROD34.Cogite Stibon a écrit :La source, 25, toujours vérifier la source
Vérifier la source du texte de Nemrod ... Évaluer la crédibilité de cette source ... septicisme 101 ...25 décembre a écrit :Je suis la source de ce que j'ai écrit. Je donnes mon opinion sur le texte de NEMROD34.
Je n'ai pas besoin de vérifier les sources de ce qu'a écrit NEMROD, ce qu'il a écrit n'as pas de sens et aucun scientifique actuel ne peut penser ce que NEMROD écrit.Cogite Stibon a écrit :Vérifier la source du texte de Nemrod ... Évaluer la crédibilité de cette source ... septicisme 101 ...25 décembre a écrit :Je suis la source de ce que j'ai écrit. Je donnes mon opinion sur le texte de NEMROD34.
Vous devriez quand même vérifier, là vous commencez à vous enfoncer sérieusement...25 décembre a écrit :Je n'ai pas besoin de vérifier les sources de ce qu'a écrit NEMROD, ce qu'il a écrit n'as pas de sens et aucun scientifique actuel ne peut penser ce que NEMROD écrit.
wikipedia a écrit :Le Gorafi est un pastiche de site d'information, créé en mai 2012 durant la campagne présidentielle française sur le modèle de The Onion, un journal satirique de fausses informations.
Personnellement tant que tu dis du bien des gémeaux je suis prêt à croire à l'astrologiePepejul a écrit :Oui parce qu'elle est également un génie de la pédagogie comme l'a affirmé la sage-femme qui l'a vue naître. En plus elle est gémeaux alors tu imagines !
Pssssst encore un jeu de mot laidPepejul a écrit :Gémeau à faire en ce moment.
"redondance", "mémoires", "intersubjectivité": pourriez-vous expliciter un peu plus ce que viennent faire ces notions ?ABC a écrit :
Pour que cette information soit robuste, c'est à dire résiste aux agressions de l'environnement (l'environnement de mémoires contenues dans le système), il me faut une énorme redondance, bref, des bains thermiques donc de l'entropie (de l'information perdue). Je stocke donc une information stable dans le temps, partageable sans incohérence (donc intersubjective), mais très insuffisante pour caractériser complètement l'état du système puisque j'ai du sacrifier une énorme quantité d'information pour obtenir la stabilité des informations qui pour moi (pour nous en fait, on est plusieurs dans ce système isolé) est pertinente.
C'est grâce à cette redondance, que l'information enregistrée est en mesure de résister aux agressions du support d'enregistrement par son environnement. J'ai une information solide, pertinente à mon échelle d'information, partageable sans incohérence, mais très très inférieure à la quantité d'information qui serait requise pour décrire complètement l'état du système dans lequel j'ai enregistré cette information. L'impossibilité de diminuer le manque d'information requis pour caractériser complètement l'état du système isolé en dessous d'un certain niveau (manque d'information sur l'état du système qu'on appelle l'entropie du système) est donc une sorte de rendement informationnel. Pour moi, c'est de cette contrainte de nature informationnelle et statistique qu'émerge l'écoulement irréversible du temps.
Cela signifie que, selon lui, l'espace-temps existe déjà "tout déroulé" et qu'on ne peut donc pas modifier le passé. C'est un point de vue qu'on ne peut pas vraiment contredire puisqu'on n'en sait rien. Toutefois, l'interprétation rétrocausale de la mesure faible et de l'expérience du choix retardé suggère au contraire une modification, non contrôlable, du "passé", c'est à dire la modification d'enregistrements considérés comme irréversibles.Emanuelle a écrit : Etienne Klein, précise que la physique n'interdit pas de voyager dans le temps mais si l'on voyage dans le temps on ne peut y être qu'observateur et non acteur. Peut-être vous pouvez m'éclairer là-dessus?
Je ne vois pas bien comment, physiquement, il parvient à établir une distinction entre les deux.Emanuelle a écrit :Si je reparle d'E. K. c'est que cela me semble important cette distinction entre irréversibilité du temps et irréversibilité des phénomènes.
Ça fait peu de temps que je commence, plus ou moins, à accepter cette hypothèse, plutôt par défaut d'ailleurs, parce que je ne vois pas de moyen d'y échapper. Ça fait une quinzaine d'années que je m'intéresse au problème de la mesure quantique, de la non localité quantique et de l'écoulement irréversible du temps. Je cherchais (entre autres) à savoir s'il n'y aurait pas moyen d'éviter à l'observateur macroscopique de jouer un rôle dans l'écoulement irréversible du temps et dans la mesure quantique.Emanuelle a écrit : Pour en revenir à l'irréversibilité des phénomènes temporels. Pour vous, cela rejoint la question du passage de la frontière entre quantique et classique.
En tout cas, surtout pas des variables cachées locales. La violation des inégalités de Bell prouve que ce n'est pas possible.Emanuelle a écrit :J'ai lu certaines de vos conversations sur futura sciences et ailleurs. Si j'ai bien compris, vous seriez plutôt en faveur d'une interprétation dite réaliste. Cela veut-il dire que vous cherchez des variables cachées non locales pour expliquer comment se fait ce passage ? Ces variables cachées non locales seraient-elles des "informations fines"
Pour moi, le support de l'information, ce sont des grandeurs d'état macroscopiques car elles sont :Emanuelle a écrit :L'information est-elle en train d'acquérir en physique un statut comme celui de la matière, de l'énergie, du temps et de l'espace comme je l'ai lu. Cela me semble une excellente chose. Voilà un concept qui pourrait peut-être permettre de dépasser certaines querelles idéologiques… Quel serait le "support" de l'information ? Y a-t-il des hypothèses émises sur ce point ?
Je ne suis pas bien sûr qu'il existe une frontière zézé/zozo passant par là (le sujet me semble trop technique pour pouvoir donner lieu à des querelles de ce type. Ce que tu crois c'est des croyances. Non césuikidikilé).Emanuelle a écrit :Est-il exact de parler du monde quantique comme d'un monde de potentialités ou est-ce une interprétation (de zozo en plus si ça se trouve). Et le passage entre quantique et classique serait comme une sorte d'actualisation de ces potentialités ?
En admettant que sous la frontière classique quantique, l'écoulement irréversible du temps et le principe de causalité n'existent pas encore parce qu'ils émergent au franchissement de la frontière classique-quantique, la "non localité" s'explique alors par la possibilité de faire des allers-retours dans le temps permettant de respecter l'invariance de Lorentz, donc la localité.Emanuelle a écrit :Au niveau quantique il y a une sorte de non-localité mais c'est peut-être parce qu'à ce niveau l'espace n'existe pas comme au niveau macroscopique.
Elles sont en relation directe avec l'émergence d'un monde classique via la décohérence et le processus d'Environement Induced superselection proposé par Zurek pour modéliser l'émergence d'un monde classique. A l'issue du processus de décohérence et d'Einselection, de l'information sur l'état du système considéré est diffusée et enregistrée de façon redondante dans son environnement. Il enregistre ainsi des informations classiques (l'environnement joue donc le rôle de mémoire) et permet l'intersubjectivité, c'est à dire le fait que les observateurs macroscopiques soient d'accord sur la valeur du résultat d'une mesure. Ils observent le même résultat.Emanuelle a écrit :"redondance", "mémoires", "intersubjectivité": pourriez-vous expliciter un peu plus ce que viennent faire ces notions ?
Je trouve qu' E.K. n'est pas clair sur ce point.Emanuelle a écrit :Je reviens sur Etienne Klein, pas pour vous contredire mais pour préciser ce qu'il dit dans ces vidéos que j'ai regardées. Il ne parle pas justement de l'écoulement du temps. Il dit que dire que le temps s'écoule est une façon impropre de parler; "c'est faire la même erreur que de dire qu'un chemin chemine ou qu'un cahier à musique chante. On confond l'objet et sa fonction." Il propose, si j'ai bien compris, de définir le temps comme ce qui renouvelle en permanence l'instant présent.
Étienne Klein a écrit :le cours du temps désigne le fait que "le temps passe", qu'en passant il produit de la durée et seulement de la durée
Finalement est-ce que le temps passe ou ne passe pas ?Étienne Klein a écrit :Le temps ne passe pas, ce sont uniquement les choses qui passent dans le temps.
Moi je me demande si ça lui arrive d'être clair et exact dans l'une des ces interventions de vulgarisation ...Je trouve qu' E.K. n'est pas clair sur ce point.
Étienne Klein ne fait pas que donner son idée sur le temps, il essais de nous faire réfléchir sur ce que peut être ou ne pas être le temps. Tes deux citations devraient se lire bout à bout. Le cours du temps s'interprète comme souvent comme si c'était un fleuve qui coule, d'où l'impression que le temps passe produisant la durée. Mais en fait le temps ne passe pas, ce sont les choses matérielles qui passent dans le temps. Et j'ajoute que le temps est dans la matière et que la matière simple ou composée est soumise au temps.Raphaël a écrit :Je trouve qu' E.K. n'est pas clair sur ce point.Emanuelle a écrit :Je reviens sur Etienne Klein, pas pour vous contredire mais pour préciser ce qu'il dit dans ces vidéos que j'ai regardées. Il ne parle pas justement de l'écoulement du temps. Il dit que dire que le temps s'écoule est une façon impropre de parler; "c'est faire la même erreur que de dire qu'un chemin chemine ou qu'un cahier à musique chante. On confond l'objet et sa fonction." Il propose, si j'ai bien compris, de définir le temps comme ce qui renouvelle en permanence l'instant présent.
Étienne Klein a écrit :le cours du temps désigne le fait que "le temps passe", qu'en passant il produit de la durée et seulement de la duréeFinalement est-ce que le temps passe ou ne passe pas ?Étienne Klein a écrit :Le temps ne passe pas, ce sont uniquement les choses qui passent dans le temps.
Bonjour,Martin pécheur a écrit : .......
Je dirais que le temps est une cause et le vieillissement un effet. Le fait naturel précède toute théorie. Sans microbes on aurait pas besoin de la microbiologie. Le concret et l'abstrait, la physique et l'esprit pensant. Certains parlent de "métaphysique" pour relier l'un à l'autre.
Un concept , même mathématique, n'a pas pour prétention de créer le phénomène mais de le décrire fidèlement. C'est ici que l'observation et l'expérimentation deviennent nécessaires pour vérifier les postulats......
C'est ce que j'ai tenté de faire en disant que le temps c'est le mouvement de la matière et la matière en mouvement. Mais tu as le droit de ne pas partager ce point de vue.
Bonjourmathias a écrit : Bonjour,
Le temps ne serait-il pas que le nombre en mouvement ? Dites à haute voix ou intérieurement : un, deux, trois, etc. Néanmoins, il reste à définir le nombre.
Le temps est dans la matière ? Ou exactement ? On peut faire une dissection pour le trouver ?Et j'ajoute que le temps est dans la matière et que la matière simple ou composée est soumise au temps.
C'est une vision des choses mais Héraclite a dit "Le Temps est un enfant qui joue en déplaçant des pions" qui est une autre appréhension du temps. Je ne sais pas laquelle est la plus juste.Psyricien a écrit :Le temps, c'est un sous-espace de l'espace-temps.
Ce serait très pratique dans ce cas si on trouvait un moyen pour extraire le temps de la matière, moi qui manque toujours de temps.25 décembre a écrit :Et j'ajoute que le temps est dans la matière
C'est ton problème ... tu ne sais pas, tu crois ....richard a écrit :C'est une vision des choses mais Héraclite a dit "Le Temps est un enfant qui joue en déplaçant des pions" qui est une autre appréhension du temps. Je ne sais pas laquelle est la plus juste.Psyricien a écrit :Le temps, c'est un sous-espace de l'espace-temps.
Cette idée découle du fait que s'il n'y avait pas eu de matière il n'y aurait pas de temps. Quand la matière est apparue le temps est arrivé au même instant et l'espace est apparue lorsque la matière s'est diluée c'est-à-dire que chaque grain de matière s'est éloigné de l'autre. La toile de bosons de Higgs s'étend en même temps que l'univers se dilate. La toile de l'espace-temps de Einstein est et fut pendant près de 100 ans la meilleure explication mais le ce n'est pas la dernière. Dans 20 ou 50 ans on parlera d'Einstein comme on parle de Newton et de Galilé.Psyricien a écrit :Le temps est dans la matière ? Ou exactement ? On peut faire une dissection pour le trouver ?Et j'ajoute que le temps est dans la matière et que la matière simple ou composée est soumise au temps.
Matière simple ? Matière composé ? C'est quoi ?
Le temps, c'est un sous-espace de l'espace-temps. Dans cette dimension, on est toujours en mouvement, ce qui la rend très pratique pour ordonner les évènements lié par la causalité.
G>
Mi voui ... et d'ou vous viens cette connaissance insondable ? Ce sont les rennes du père qui vous l'ont soufflé ?Cette idée découle du fait que s'il n'y avait pas eu de matière il n'y aurait pas de temps. Quand la matière est apparue le temps est arrivé au même instant et l'espace est apparue lorsque la matière s'est diluée c'est-à-dire que chaque grain de matière s'est éloigné de l'autre. La toile de bosons de Higgs s'étend en même temps que l'univers se dilate. La toile de l'espace-temps de Einstein est et fut pendant près de 100 ans la meilleure explication mais le ce n'est pas la dernière. Dans 20 ou 50 ans on parlera d'Einstein comme on parle de Newton et de Galilé.
En 2015 nous savons que si je suis près d'un astre ayant une masse plus importante que celle de la terre mon temps sera au ralentit par rapport aux habitants de la terre et le même effet se produit lorsque je me déplace à grande vitesse.
Ce qui démontre que le temps est attaché à l'objet.
l'objet étant ici un assemblage de matière, un humain.
Le temps pour un atome (étant aussi un assemblage de matière), dans les mêmes conditions sera le même que le mien. Et le temps sera le même pour la un élément de matière non composé.
Cette matière simple n'est pas encore définie par les scientifiques.
Ou des petit lutin qui dense le french cancan, si la théorie des lutins est valable.Ce pourrait être une corde si la théorie des cordes est valable.