L’Élu a écrit :La spiritualité, c'est pareil. On a, ou pas.
On se demande alors pourquoi ceux qui en ont (les gentils) viennent lancer leurs éclairs contre ceux qui en manquent et qui n'y auront jamais accès (les affreux). Une partie de bisque, bisque, rage ?
Tu devrais conclure tes posts par : "Na, na, nanère, je l'ai mais pas vous, na, na, nanère". Cela améliorerait leur niveau intellectuel que je trouve parfois un peu juste.
Si vous avez déjà eu le souffle coupé à l'écoute d'une musique, face à un tableau, pour l'amour d'un(e) autre, si vous avez un jour eu la sensation d'éteindre le flux de votre intellect, si vous avez perdu toutes vos certitudes devant un paysage sublime, vous avez certaines prédispositions pour la spiritualité.
Et ses splendeurs sont à jamais inaccessibles aux vilains sceptiques, crois-tu ? Quel ignorant, tu fais ! On n'a cessé de te dire que, sentiments, opinions, savoir sont des domaines disjoints, non exclusifs l'un à l'autre. Tu fais comme si on ne t'avait rien dit pour continuer dans tes puériles diatribes contre la Science, comme si penser qu'elle était la seule source de savoir objectif excluait morale, émotion esthétique, vie sociale, entraide ...
Sur le chapitre de la sensibilité aux autres, à leur écoute, à l'empathie, tu nous a montré que tu n'étais qu'une brute épaisse, dépourvu de tout ce qui peut rendre une conversation ou un dialogue agréable et fructueux. Une sorte de bête des Vosges de la "spiritualité", en somme.
Si tu représentes ce qui se fait de mieux dans le domaine de la "spiritualité", comprends que la plupart d'entre nous soit si peu enclins à te suivre. On a sa dignité, quand même !
Sur ce, je vais réécouter le Requiem de Mozart, J'adore ! Et ça me reposera des fâcheux donneurs de leçon, incapables d'appliquer à eux mêmes ce qu'ils prônent.
@Florence
Qu'est ce qui t'arrive ? Pourquoi cette extrême mansuétude aux clowneries grotesques de ce guignol arrogant. Tu nous avais habitué à plus de mordant. Un coup de fatigue ?
Les faits ne pénètrent pas dans le monde où vivent nos croyances. Marcel Proust
Gloire à qui n'ayant pas d'idéal sacro-saint
Se borne à ne pas trop emmerder ses voisins ! Georges Brassens
Mon Dieu ! Mon Dieu ! Pourquoi m'as-tu abandonné ? Dieu