L'hygrométrie démontre que la quantité de matière dans un volume molaire donné varie sous certaines conditions ( Vm=M/n - n étant le nombre de molécules). Ce qui induit une variation de la population atomique ou moléculaire. Il y a au moins 3 exemples qui le démontrent.Buckwild a écrit :c'est sur le fait qu'il n'y a pas plus de molécules d'eau par cm3 dans une nuage qu'à côté de ce dernier
1 - la formation de cumulus, comme je l'ai déjà dit.
2 - l'émission, la vaporisation de particules d'eau (liquides) dans l'atmosphère. Au sein du nuage de particules, la population de molécules d'eau est plus importante que dans l'air environnant plus sec.
4 - le nuage de vapeur - exemple : population des molécules d'eau au-dessus d'un volcan qui fait fondre un glacier et population moléculaire dans l'air qui n'est pas touché par le nuage du volcan.
et - exemple extrême : densité de l'humidité, de la population moléculaire dans les brumes matinales de la canopée et population dans l'air sec du désert de Gobi à 14h au mois d'aout.
En fait, tous les phénomènes d'évaporation augmentent la teneur en molécules d'eau de l'air. C'est la condensation qui ne change rien : un cirro-stratus par exemple possède la même teneur en humidité que l'atmosphère ambiante - parce que c'est la condensation de l'humidité qui est contenue dans l'air qui forme le stratus. Mais c'est l'inverse dans un convection humide.
Denis avait parlé de 2 volumes équivalents de h2o mis dans des conditions absolument identiques, qui présentent pourtant une variation dans la couleur, l'opacité. Dans ce cas précis, il ne s'agit pas de la densité moléculaire puisque les 2 volumes d'h2o sont identiques dans leur confinemen,t mais d'un autre facteur : la vraie question est de savoir lequel => quel facteur peut engendrer une variation d'opacité, de couleur, dans 2 volumes d'h2o confinés de manière absoilument identiques? Et là, j'aurais compris la question qui en fait reposait sur une Lapalisse : c'est absolument identique car ce n'est pas différent.
Non. L'évaporation n'a aucun rapport avec le vent : l'eau s'évapore sans qu'il y ait de vent. C'est la température qui produit cet effet.Zwielicht a écrit :Tu utilises mal le vocabulaire. Une vaporisation causée par le vent est une évaporation.
Non. Et quand bien même, qu'est-ce ça peut faire? Un nuage ou une brume formée par du gaz, ça existe : brouillard d'huile, nuage de gaz, mistgaz, VPL (vapeurs de gaz liquide), tout ça existe et démontre que je ne me trompe pas.Mais c'est toi qui disais que les nuages étaient composés de gaz. Ainsi que la brume.
Pas plus précis que dans le langage commun. Un météorologue ou un chimiste nommera "nuage" exactement la même chose que toi. Simplement il dira moins d'âneries.En science ces mots ont un sens précis.
Je me demande bien ce que tu peux apporter dans un débat sur le climat, mon pauvre ami, sinon des aboiements sans portée, comme tu viens encore de le faire.Alors, tu as assez pédalé dans ta petite roue de hamster ? On peut revenir au sujet, c'est-à-dire, à la première place (sur environ 20) où tu t'es planté ?
Penser qu'on a raison sans pouvoir le démonter, c'est comme l'amour en solitaire : ce n'est qu'une masturbation. Alors fais gaffe aux ampoules
