Il faudrait faire des statistiques plus sérieuses par rayon.
Bah oui et pas seulement sur 1 magasin, mais par chaine sur le pays et par type de produits, bref une enquête sérieuse qu'on pourrait traiter objectivement et pas un reportage.
Toi qui est contre le bio, si tu 70 pour 100 des produits (dans certains rayons) l'étaient, tu ferais la tronche.
Reperdu, je ne suis pas contre le bio. J' achètes même du jambon des œufs et du maïs garanti nourri sans OGM par carrouf, parce que mon critère d'achat c'est le rapport qualité/prix, et qu'ils sont moins cher que les produits de marque, j'ai pas les moyens de me payer de la bouffe idéologique. La taille du rayon bio je m'en contrefiche j'en achètes à l'occasion au rayon fruit quand ils ont l'air plus appétissant et c'est pas toujours le cas.
Le coca casher c'est le même que le coca pas casher, alors à moins que la différence de prix soit plus importante que la différence de prix entre deux bouteilles de coca vendus dans deux magasin différents, pour moi c'est kifkif.
J'ajoute que l'industriel interrogé précise dans le reportage dit bien qu'il est passé au casher parce que la grande distribution lui a demandé.
J'ai pas regardé jusqu'au bout ça reste qu'un reportage accumulant les témoignages.
Qu'il y ait des pressions en tout genre je n'en doute pas, mais les coopératives, les syndicats, les assos de défense des consommateurs, c'est à ça que ça sert non ?
Si des producteurs se sont vus retirer leur produits des magasins ça se saurait, j'ai du mal à croire qu'ils auraient tous céder sans rechigner et sans en faire parler, en France on aurait eu des manifs dans tous les sens.
Le début du reportage laisse clairement entendre qu'il y a une demande montante des entreprises pour accéder à la certification Pierre a évoqué la comission Bouchard-Taylors je te cite les conclusions à ce sujet :
" Perception répandue : Dans le secteur de l’alimentation, de nombreuses
entreprises modifient secrètement leurs recettes et investissent des sommes
substantielles pour rendre leurs produits conformes aux normes de la
religion juive orthodoxe. Il s’ensuit une importante hausse des prix que les
consommateurs absorbent à leur insu. Au Québec, cette hausse est de l’ordre de plusieurs dizaines de millions de dollars chaque année, et peut-être davantage. Ces revenus sont partagés entre les entreprises et les rabbins.
Les faits reconstitués : Il n’existe actuellement aucune étude synthèse qui fasse autorité sur le sujet. Cependant, on dispose de témoignages et d’aperçus partiels, mais fiables, qui établissent clairement que
a) l’intérêt que manifestent les entreprises pour la certification casher relève de stratégies de marché qui s’étendent à une partie des États-Unis ;
b) les frais additionnels que doivent assumer les consommateurs sont minimes ;
c) les exigences liées à la certification peuvent amener des entreprises à modifier certains procédés de production (lavages additionnels, par exemple), mais non pas à modifier la composition de leurs produits ; et
d) les rabbins ne tirent pas profit de la certification."